
Blessée, Stevie Nicks contrainte de reporter une série de concerts
Les fans américains et canadiens devront encore attendre quelques semaines avant de voir sur scène Stevie Nicks. La chanteuse américaine aujourd'hui âgée de 77 ans est contrainte de reporter huit concerts solos prévus un peu partout aux États-Unis et au Canada, a annoncé son équipe le 2 août sur les réseaux sociaux. La star des Fleetwood Mac a l'épaule fracturée et doit repousser sa tournée.
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« En raison d'une blessure récente ayant entraîné une fracture de l'épaule qui nécessitera un temps de récupération, les concerts prévus en août et septembre seront reprogrammés », peut-on lire sur le communiqué. Les dates concernées par le report sont celles de Detroit, Toronto, Brooklyn, Cincinnati et Tampa. L'interprète de Dream se produira finalement dans ces villes entre le 28 octobre et le 10 décembre. Ses autres concerts prévus entre le 1er et le 25 octobre à Portland, Sacramento ou encore Las Vegas sont maintenus. « Stevie a hâte de revoir tout le monde bientôt et s'excuse auprès des fans pour ce désagrément. » Les billets prévus aux dates originelles restent valables pour les concerts reportés.
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Nouvel album en préparation
Cette nouvelle intervient alors que Stevie Nicks a annoncé il y a quelques jours la réédition de son album Buckingham Nicks, réalisé en duo avec son ancien compagnon Lindsey Buckingham. Le disque, qui n'a jamais été réédité en physique, ni mis en ligne sur les plateformes de streaming, sortira le 19 septembre en quantité limitée à 5000 exemplaires. C'est cet album qui a permis aux deux chanteurs d'être repérés par Mick Fleetwood pour rejoindre le groupe de pop-rock Fleetwood Mac.
Parallèlement, Stevie Nicks travaille sur son quatorzième album studio, comme elle l'a annoncé aux Pollstar Awards, une cérémonie américaine dédiée à la musique. Elle le décrit comme plus « autobiographique », composé de titres écrits « à partir de mes véritables souvenirs d'hommes fantastiques que j'ai pu fréquenter. Ce ne sont pas des chansons fictives de princesses où on se demande de qui on parle. Vous comprendrez maintenant de qui je parle. »
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«Il n'y avait aucune limite à l'amour qu'elle donnait» : la mère de Brad Pitt, Jane Etta Pitt, est décédée à 84 ans
Jane Etta Pitt, la mère de l'acteur, est décédée ce mercredi 6 août à l'âge de 84 ans. Elle laisse derrière elle trois enfants et quatorze petits-enfants. Ce n'est pas Brad Pitt mais sa mère, Jane Etta Pitt, qui est aujourd'hui au cœur de l'actualité. La mère de l'acteur hollywoodien est décédée ce mercredi 6 août à l'âge de 84 ans. L'information, révélée par le média américain TMZ, n'a pas encore fait l'objet d'une réaction publique de la part de la star. En revanche, sa nièce Sydney Pitt, fille du frère cadet de l'acteur Doug Pitt, lui a rendu un hommage à travers un long message publié sur son compte Instagram. «Ma douce grand-mère, Jane Etta, nous n'étions pas encore prêts pour que tu partes, mais te savoir enfin libre de chanter, danser et peindre à nouveau rend les choses un peu plus faciles» écrit-elle avant de vanter la bonté de sa défunte grand-mère. «Elle a inventé les jeux les plus stupides juste pour nous faire rire, et elle croyait en l'équité, en faisant passer les autres en premier et en faisant le bien, simplement parce que c'était la bonne chose à faire» peut-on lire sous la publication. Jane Etta Pitt, ancienne institutrice née en 1940, laisse derrière elle ses trois enfants, Brad Pitt (1963), Doug Pitt (1966) et Julia Pitt (1969) ainsi que 14 petits-enfants. «Elle pouvait suivre ses 14 petits-enfants sans manquer un rythme. Il n'y avait aucune limite à l'amour qu'elle donnait, et tous ceux qui l'ont rencontrée» poursuit sa petite fille sur Instagram. Publicité Un lien fort entre mère et fils Originaire de Memphis, dans le Tennessee, c'est sur les bancs de l'université de l'Oklahoma qu'elle fait la connaissance de William Pitt, qui deviendra plus tard son époux et le père de leurs trois enfants. Très proche de sa mère, Brad Pitt n'a jamais caché l'importance qu'avait cette dernière dans sa vie. Lors d'une interview donnée en juin dernier à l'émission Today à l'occasion de la promotion de son film F1, l'acteur avait déclaré :«Je dois dire bonjour à ma mère parce qu'elle te regarde tous les matins», avant de conclure avec un simple mais fort : «Je t'aime, maman.» Au fil des années, Jane Etta Pitt avait accompagné son fils à plusieurs événements publics majeurs, comme les Golden Globes en 2007 ou encore la cérémonie des Oscars en 2012, témoignant de leur évidente complicité.


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La gymnaste et le dictateur : le destin impossible de Nadia Comaneci sur France.tv
Ce documentaire de Pola Rapaport donne la parole à «La petite fée de Montréal» et retrace la carrière dorée puis la fuite aux États-Unis de la championne roumaine. Montréal, été 1976. Nadia Comaneci entre dans l'histoire du sport. gée de 14 ans, elle brille sur les barres asymétriques lors du concours individuel de gymnastique des Jeux olympiques. Et devient célèbre dans le monde entier après que les juges lui délivrent la note inédite de 10 sur 10 lors de cette compétition. Un exploit retransmis et commenté par les caméras de télévision du monde entier. « Voici mon histoire », explique d'emblée Nadia, en introduction de Comaneci, la gymnaste et le dictateur, un documentaire disponible sur la plateforme et programmé ce mois-ci sur LCP-Public Sénat. Le film écrit et réalisé par Pola Rapaport retrace sa brillante carrière en lui donnant la parole. En 56 minutes, la réalisatrice aborde également les liens qui ont uni la pépite dès ses premiers succès au pouvoir roumain, sans toutefois les décrypter en profondeur. « On dit qu'une histoire entre deux personnes a toujours trois versions : la mienne, la sienne et la vérité », précise Nadia Comaneci, dont la voix off est assurée en français par Lizzie Brocheré. À lire aussi JO 1976 : Nadia Comaneci, la symphonie parfaite Publicité Sourire rare Sur le podium de Montréal, Nadia Comaneci laisse éclater sa joie et affiche un sourire rare, que l'on redécouvre avec une certaine émotion grâce aux images d'archives. Avec sa note parfaite qui fait bugger le tableau d'affichage et cinq médailles olympiques dont trois d'or, la gymnaste vit un véritable conte de fées. « Dépassée et effrayée », elle découvre aussi son immense popularité. Elle est décorée de la médaille de « Héros du travail socialiste », la plus prestigieuse décoration de son pays. Un symbole de la grandeur roumaine et une image que Nicolae Ceaucescu va vouloir protéger à tout prix. « Nadia était un symbole de la perfection communiste. C'était une enfant de l'ère Ceaucescu », souligne Bela Karolyi, son ancien entraîneur, qui n'a pas sa langue dans sa poche tout au long du film. À l'adolescence, le gouvernement prend la main sur la championne. En Roumanie, le peuple manque de tout. « J'étais très malheureuse mais je n'ai jamais avalé d'eau de Javel », répond Comaneci en évoquant les rumeurs de suicide évoquées à l'époque. Après les JO de Moscou, en 1980, Karolyi s'enfuit aux États-Unis. Et laisse Nadia Comaneci entre les mains de Nico Ceaucescu, le fils du dictateur, et les griffes d'Elena, la femme, « un vampire ». D'aucuns lui prêtent une relation intime avec l'héritier potentiel du pouvoir. « C'est un mensonge », affirme-t-elle. Elle dément toujours aujourd'hui. Regarder la vidéo Nadia Comaneci, la gymnaste et le dictateur, le teaser vidéo du documentaire En 1984, à l'âge de 23 ans, Nadia Comaneci se retire de la compétition. Elle devient entraîneur national, gagne moins de cent dollars par mois et est écartée des feux de la rampe par le pouvoir. « Je ne faisais plus partie du cercle des favoris. » Interdite de voyager, elle se sent conduite dans une impasse. Et choisit de fuir, elle aussi. La réponse à un destin impossible dans son pays, avant la chute sanglante des époux Ceaucescu en décembre 1989. Mariée à l'ancien gymnaste Bart Corner, dont elle a eu un fils Dylan-Paul en 2006, Nadia Comaneci vit aujourd'hui en Oklahoma. « Une happy end », sourit-elle en conclusion de ce documentaire à la fois nostalgique et tragique, beau et émouvant.


Le Figaro
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«Hollywood s'est complètement retourné contre moi» : un ancien acteur de Desperate Housewives raconte son calvaire
Invité du podcast américain Nothing Left Unsaid, le comédien Neal McDonough qui interprétait Dave Williams dans la série à succès s'est confié sur ce qui l'a éloigné des grands rôles du cinéma américain. Un cas à part à Hollywood. Alors qu'il n'est pas rare de voir les couples de stars américains se déchirer, Neal McDonough, lui a choisi sa femme au lieu de sa carrière. L'interprète de Dave Williams dans Desperate Housewive s a révélé ce qui l'a conduit à être blacklisté des grands tournages américains. « J'ai toujours fait inclure dans mes contrats que je n'embrasserais pas une autre femme à l'écran, a confié le comédien. C'était surtout moi qui avais un problème avec ça, alors que je me disais : 'Je ne veux pas faire subir ça à ma femme. Je sais qu'on va bientôt avoir des enfants, et je ne veux pas leur faire vivre ça non plus'», a-t-il ajouté. Publicité Un amour illimité pour celle qui partage sa vie. « Il faut dire les choses : c'est une très belle femme, et rien ne peut rivaliser avec ma Ruve (sa femme depuis 2003, NDLR) », a-t-il commenté avant d'ajouter à propos des baisers de cinéma : « Mais plus sérieusement, c'était simplement une chose avec laquelle je n'ai jamais été à l'aise ». Une limite pour le respect de sa femme et de son couple, que le père de trois enfants n'a jamais voulu franchir. Une raison honorable, certes, mais qui a eu de graves conséquences sur la carrière de l'acteur. « Hollywood s'est complètement retourné contre moi », a-t-il déclaré. L'acteur a expliqué : « Je n'ai jamais été le héros du film. Je n'ai jamais été dans la position où je peux embrasser la fille à la fin parce que, comme tout le monde le sait, je refuse d'embrasser une autre femme à l'écran ». À lire aussi «Gaby me manque» : Eva Longoria annonce les retrouvailles spéciales des Desperate Housewives Une décision qui a grandement impacté la vie de l'artiste : « J'ai tout perdu, tout ce qu'on peut imaginer. Pas seulement les maisons et les biens matériels, mais aussi mon assurance, mon charisme. Mon identité, c'était d'être acteur. Quand on perd cette identité, on se retrouve un peu pris dans une spirale ». Une spirale qui a poussé l'homme de 59 ans à sombrer dans l'alcoolisme, pendant plusieurs années. Soutenu par sa famille et grâce à sa foi, Neal McDonough s'en est sorti. « J'ai arrêté de boire et tout a commencé à changer. Littéralement, les nuages se sont dissipés », a-t-il relaté. Un état d'esprit visiblement gagnant, que l'acteur a exprimé : « Je n'ai pas besoin de cette béquille. Les gens m'appellent. J'ai du succès. Je m'apprécie à nouveau. Je suis un enfant de Dieu, et j'ai un travail à accomplir. Arrête de t'apitoyer sur ton sort. Relève-toi et fonce ». Une philosophie qui a payé puisque Neal McDonough s'est retrouvé à l'affiche de The Last Rodeo, sorti aux États-Unis en mai dernier et où l'acteur y tient le rôle principal. Un film pour lequel le comédien a accepté de faire une entorse à sa règle d'or des baisers de cinéma, puisqu'il embrasse à la fin sa co-star : sa propre femme, Ruve McDonough.