
Prison avec sursis requise contre l'étudiant de Paris-Dauphine qui avait piraté les profils d'étudiants juifs
Les faits remontent au 7 octobre dernier. Ce jour-là,
dix-huit étudiants juifs de Dauphine
découvrent leur photo de profil sur l'intranet universitaire remplacée par un drapeau palestinien accompagné du slogan « Free Palestine ». La date ne doit rien au hasard. Elle marque l'anniversaire
des attaques du Hamas contre Israël
. L'université ne tarde pas à réagir. L'accès au portail est suspendu, la procureure de la République saisie pour « manipulation frauduleuse », ciblant « uniquement des personnes de confession juive ».
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- Le Parisien
Les évêques de France invitent à « reconsidérer » la promotion du prêtre Dominique Spina condamné pour viol
Leur réaction était attendue par une large partie des catholiques français. Les évêques de France souhaitent que l'archevêque de Toulouse revienne sur sa décision de promouvoir Dominique Spina, un prêtre condamné pour viol sur mineur en 2006, estimant que cette nomination ne peut que « raviver des blessures » et « déconcerter » les fidèles. « Nous avons engagé un dialogue constructif avec Mgr Guy de Kerimel, archevêque de Toulouse, l'invitant à reconsidérer la décision qu'il avait prise quant à la nomination du chancelier de son diocèse » indique dimanche la présidence de la Conférence des évêques de France dans un communiqué. « En effet, une telle nomination à un poste aussi important, canoniquement et symboliquement, ne peut que raviver des blessures, réveiller des soupçons et déconcerter le peuple de Dieu », souligne l'organisation. « Le parti de la miséricorde » Début juin l'archevêque de Toulouse a nommé au poste de chancelier le prêtre Dominique Spina, condamné en 2006 à cinq ans de prison dont un avec sursis pour le viol d'un lycéen de 16 ans en 1993. À voir aussi L'archevêque a expliqué avoir « pris le parti de la miséricorde » pour nommer ce prêtre à qui il n'a « rien à reprocher » dans une « fonction administrative » - le chancelier établit les actes administratifs et endosse un rôle de conseil. Une décision qui a suscité l'incompréhension. En réaction, plusieurs collectifs de victimes d'établissements catholiques dont Notre-Dame de Bétharram ont fait part de leur « colère » face à une situation « inacceptable ».


Le Figaro
42 minutes ago
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Les évêques de France se rendront «en Terre Sainte» mi-août
Ce voyage est organisé dans un contexte de «tragédie humanitaire» à Gaza et d'«interminable attente» de la libération des otages israéliens, a déclaré la Conférence des évêques de France. La présidence de la Conférence des évêques de France (CEF) se rendra «en Terre Sainte» du 16 au 20 août dans un contexte de «tragédie humanitaire» à Gaza et d'«interminable attente» de la libération des otages israéliens, a-t-elle annoncé ce dimanche 10 août. Cette visite entend «manifester le soutien de notre Église, non seulement aux communautés chrétiennes mais aussi à tous les amis de la paix, quelles que soient leurs convictions ou leurs religions, dans une période extrêmement douloureuse et incertaine», selon le communiqué. Publicité Assurer un «soutien matériel et spirituel» Les responsables de la CEF, présidée par le cardinal Jean-Marc Aveline, archevêque de Marseille, veulent faire de cette visite «à l'Église qui vit à Jérusalem et dans toute la région», le «premier geste» de leur mandat, entamé en juillet. Leur ambition est d'«assurer aux peuples de cette terre, spécialement aux plus pauvres, le soutien matériel et spirituel dont ils ont besoin», affirment-ils dans leur communiqué. Le pape Léon XIV a assuré le 3 août que l'Église et la jeunesse du monde étaient solidaires avec ceux vivant dans des régions déchirées par la guerre lors de la messe de clôture du Jubilé des jeunes à Rome qui a attiré des catholiques du monde entier. L'offensive israélienne, qui dure depuis 22 mois, a tué au moins 61.430 Palestiniens, selon le ministère de la Santé de Gaza, dirigé par le Hamas, des chiffres que l'ONU juge fiables. La guerre a été déclenchée par l'attaque du Hamas contre Israël en octobre 2023, qui a fait 1219 morts, principalement des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur des chiffres officiels.


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Les évêques de France critiquent la promotion d'un prêtre condamné pour viol sur un adolescent
RELIGION - Une décision vivement critiquée jusqu'au sein de l 'Église catholique. Les évêques de France souhaitent que l'archevêque de Toulouse revienne sur sa décision de promouvoir un prêtre condamné pour viol sur mineur en 2006, estimant que cette nomination ne peut que « raviver des blessures » et « déconcerter » les fidèles. « Nous avons engagé un dialogue constructif avec Mgr Guy de Kerimel, archevêque de Toulouse, l'invitant à reconsidérer la décision qu'il avait prise quant à la nomination du chancelier de son diocèse » indique ce dimanche 10 août la présidence de la Conférence des évêques de France dans un communiqué. « En effet, une telle nomination à un poste aussi important, canoniquement et symboliquement, ne peut que raviver des blessures, réveiller des soupçons et déconcerter le peuple de Dieu », souligne l'organisation. « Le parti de la miséricorde » Début juin l'archevêque de Toulouse a nommé au poste de chancelier le prêtre Dominique Spina, condamné en 2006 à cinq ans de prison dont un avec sursis pour le viol d'un lycéen de 16 ans en 1993. L'archevêque a expliqué avoir « pris le parti de la miséricorde » pour nommer ce prêtre à qui il n'a « rien à reprocher » dans une « fonction administrative » - le chancelier établit les actes administratifs et a un rôle de conseil -. Une décision qui a suscité l'incompréhension et la colère. Auprès du journal La Vie, la victime du prêtre Dominique Spina a de son côté qualifié cette promotion de « choquante », dénonçant « l'entre-soi religieux ». Plusieurs collectifs de victimes d'établissements catholiques, dont Notre-Dame de Bétharram, ont également fait part de leur « colère » face à une situation « inacceptable ». « Nous avons appris à regarder ces faits d'abord du point de vue des personnes qui en ont été les victimes et qui en subissent les conséquences à longueur de vie. Ce déplacement du regard, l'écoute bouleversante de leur détresse et de leur douleur, l'accueil de leur invitation à poursuivre humblement avec elles un chemin de vérité, ont amorcé, pour notre institution ecclésiale, un long et exigeant travail de conversion, que nous sommes résolus à poursuivre », affirme la Conférence des évêques de France (CEF), présidée par le cardinal Jean-Marc Aveline, archevêque de Marseille.