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Les États-Unis et 13 pays occidentaux accusent l'Iran de mener une politique d'«assassinats et d'enlèvements» à l'étranger

Les États-Unis et 13 pays occidentaux accusent l'Iran de mener une politique d'«assassinats et d'enlèvements» à l'étranger

Le Figaro31-07-2025
Washington et une dizaine d'États alliés, dont la France, ont critiqué la «violation flagrante» de leur souveraineté perpétrée par les services de renseignement du régime de Téhéran.
Les États-Unis et une dizaine de pays alliés ont accusé l'Iran ce jeudi 31 juillet de mener une politique «d'assassinats et d'enlèvements» à l'étranger, selon une déclaration commune rapportée par l'AFP.
«Nous sommes unis dans notre opposition aux tentatives des services de renseignement iraniens visant à tuer, kidnapper et harceler des personnes en Europe et en Amérique du Nord, en violation flagrante de notre souveraineté», ont affirmé dans ce texte les gouvernements des États-Unis, du Royaume-Uni, de l'Albanie, de l'Autriche, de la Belgique, du Canada, de la République tchèque, du Danemark, de la Finlande, de la France, de l'Allemagne, des Pays-Bas, de l'Espagne et de la Suède.
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Deux jeunes âgés de 19 et 20 ans qui campaient en forêt en Ariège affirment avoir entendu un ours à proximité. Ils ont pris la fuite, et ont chuté d'une hauteur de plus de 5 mètres. Une nuit en pleine nature sous les étoiles s'est transformée en cauchemar. Pensant avoir entendu un ours, deux jeunes campeurs ont pris la fuite, chuté d'une pente en forêt, et ont fini à l'hôpital. C'est ce que rapportent nos confrères de France 3 . Les faits se sont déroulés vers 4 heures du matin le samedi 9 août, près du Trein d'Ustou, en Ariège. Deux randonneurs, âges de 19 et 20 ans, affirment s'être fait réveiller par des grognements. Rapidement, ils sortent de leur tente et aperç silhouette d'un ours se rapprochant. Pris de panique, ils ont fui précipitamment à travers la forêt, abandonnant sur place tout leur matériel. Publicité Dans leur course, les deux randonneurs ont chuté d'une pente de plus de cinq mètres. Gravement blessés, ils sont néanmoins parvenus, au prix d'un effort considérable, à rejoindre la maison de la mère de l'un d'eux, située non loin à Ustou. Alertés, les sapeurs-pompiers les ont pris en charge avant leur transfert au centre hospitalier de Saint-Girons. Sans surprise, selon la mère de la jeune femme, «ils sont tous les deux encore très faibles». Des recherches infructueuses Dans les Pyrénées, environ une centaine d'ours vivent à l'état sauvage, dont 80 % dans les Pyrénées centrales (Comminges, Ariège, Pyrénées-Orientales, Catalogne et Andorre). L'éventuelle présence de l'animal près du campement a aussitôt mobilisé deux agents de l'Office français de la biodiversité (OFB), accompagnés d'un chien spécialisé dans la détection d'excréments d'ours. Sur place, ils ont relevé des traces de sangliers, de blaireaux et de chevreuils, mais aucun indice prouvant la présence d'un plantigrade. Le maire d'Ustou, également président de la fédération pastorale de l'Ariège, s'est rendu sur les lieux. La préfecture précise que le témoignage des deux jeunes «sera important pour comprendre ce qui les a poussés à fuir», une fois leur état de santé compatible avec une audition.

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Aventureux, le phoque moine s'est approché très près des baigneurs. Les sauveteurs en mer ont décidé de hisser le drapeau rouge et fermer trois plages pour ne prendre aucun risque. Explications. Les baigneurs de Saint-Malo se souviendront de leurs vacances d'été. Lundi 11 août, déjà, un groupe de dauphins s'était approché anormalement des côtes, provoquant la fermeture de la plage et l'interdiction de la baignade. La frustration des vacanciers s'est répétée le lendemain, mardi 12 août, avec de nouveau le drapeau rouge hissé. En cause, un phoque moine de Méditerranée (Monachus monachus). Trois plages fermées par précaution L'animal, mesurant environ 1,50 mètre, est apparu aux alentours de 16h30 et n'a plus quitté la zone de baignade. Il était visiblement à son aise, puisque les sauveteurs le voyaient toujours en fin de journée, vers 20h30. Publicité Par mesure de précaution, ils ont interdit la baignade, considérant que l'animal était trop proche des baigneurs, à seulement quelques centimètres d'eux. Ainsi, les plages de Minihic, de Rochebonne et du Pont ont été fermées. À lire aussi Espagne : une plage de Majorque évacuée après la morsure d'une octogénaire par un mystérieux poisson Un animal pouvant être dangereux s'il est stressé Un sauveteur de la SNSM confie au Pays Malouin : «On avait le mauvais rôle, les gens n'étaient vraiment pas contents mais il ne faut pas oublier qu'une blessure de ce mammifère peut être lourde de conséquences. Il y a quelques années, une femme s'est fait mordre ici à Saint-Malo, et a déclenché une septicémie.» «Le phoque est un animal sauvage , pouvant griffer et mordre lorsqu'il se sent en danger, rappelle sur son site le parc naturel marin des estuaires picards et de la mer d'Opale (EPMO). Il peut potentiellement transmettre des maladies.»

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