
Maître Laure Fitoussi, avocate engagée exerçant en droit routier à Strasbourg
Un parcours atypique et une matière exigeante
Après avoir obtenu son diplôme d'avocat, Maître Laure Fitoussi débute sa carrière en collaboration dans un cabinet parisien spécialisé en droit routier. Ce domaine, jusque-là inconnu car peu enseigné à l'université, est pour elle une découverte. « J'ai eu un véritable coup de cœur, explique-t-elle, car cette matière combine plusieurs branches du droit, notamment le droit pénal, le droit administratif et le droit civil. » Le droit routier traite d'infractions pénales allant de l'usage du téléphone au volant jusqu'à l'homicide involontaire, en passant par les contestations des décisions préfectorales liées aux suspensions ou aux invalidations de permis. Cette complexité et la diversité des cas rendent la pratique particulièrement stimulante.
Son exercice professionnel la conduit également à plaider devant différents tribunaux partout en France, en fonction des lieux d'infractions, ce qui l'oblige à maîtriser des usages et jurisprudences variables. Après plusieurs années d'exercice à Paris, elle choisit Strasbourg pour installer son propre cabinet. Bien que le cabinet soit basé en Alsace, Maître Laure Fitoussi intervient sur l'ensemble du territoire national, que ce soit devant les tribunaux correctionnels et de police, ou devant les tribunaux administratifs.
Un cabinet à taille humaine pour un accompagnement personnalisé
Ce qui distingue Maître Laure Fitoussi, c'est sa gestion indépendante de tous ses dossiers. « Je suis les dossiers de mes clients depuis leur ouverture jusqu'à la plaidoirie finale », insiste-t-elle. Ce suivi exclusif est un réel avantage pour ses clients, qui peuvent ainsi bénéficier d'un contact direct et privilégié avec leur Conseil. « Dans les grands cabinets, les clients se plaignent trop souvent de voir leur dossier confié à un avocat avec lequel ils n'ont encore jamais échangé, ce qui peut générer de l'inquiétude et une perte de confiance. »
Cette proximité permet une meilleure compréhension des dossiers et une plus grande réactivité, deux éléments essentiels dans des procédures souvent stressantes pour les usagers de la route. Maître Fitoussi place l'honnêteté au cœur de la relation qu'elle entretient avec ses clients, évitant ainsi les promesses irréalistes. « Je refuse d'accepter un dossier que je ne maîtrise pas ou pour lequel les chances de succès sont minimes. Je préfère faire preuve d'une totale transparence plutôt que de faire régler à mes clients une prestation que je sais à l'avance inefficace. »
Une éthique forte et une volonté de moderniser la profession
Au-delà de son expertise, Maître Fitoussi porte une attention particulière à l'éthique dans sa pratique. Elle déplore les dérives fréquentes dans le droit routier, où l'on promet parfois monts et merveilles afin d'attirer des clients paniqués à l'idée de perdre leur permis de conduire. Pour elle, la transparence et le respect de la réalité juridique sont essentiels.
Par ailleurs, elle ambitionne de faire évoluer son cabinet vers une organisation entièrement dématérialisée. « La justice est une institution encore assez conservatrice, le papier y est encore très présent », déplore-t-elle. Elle a la volonté de réduire drastiquement l'usage du papier pour gagner en efficacité et en respect de l'environnement. Cette transition numérique est encore rare dans le secteur, ce qui peut également constituer un argument différenciant auprès d'une clientèle moderne et soucieuse d'écologie.
Avocate en droit routier à Strasbourg
Maître Laure Fitoussi
Des services adaptés et une expertise pointue au service des clients
Le cabinet de Maître Fitoussi traite exclusivement du droit routier, ce qui lui permet de concentrer sa veille juridique et son expertise sur ce domaine précis. Elle n'accepte que très peu de dossiers hors de ce cadre, afin de garantir une qualité optimale de ses prestations.
Son activité couvre un large éventail : défense des auteurs présumés d'infractions pénales routières (excès de vitesse, alcoolémie, usage de stupéfiants au volant, rodéo urbain, délit de fuite, refus d'obtempérer, homicide involontaire), contestation des décisions administratives touchant les permis de conduire (suspension, annulation ou invalidation pour solde de points nul), ainsi que les litiges civils liés aux professionnels de l'automobile et aux assurances.
Un engagement au service des automobilistes
Consciente de l'anxiété et des enjeux auxquels font face ses clients, Maître Fitoussi accorde une place importante à l'accompagnement humain. Son approche consiste à rassurer, informer et accompagner ses clients avec rigueur, tout en évitant les promesses irréalisables.
Elle se démarque ainsi par son intégrité et son refus de céder aux pratiques commerciales agressives que l'on peut parfois rencontrer, ce qui lui permet de bâtir une relation de confiance durable avec ses clients.
Maître Laure Fitoussi est une avocate indépendante et engagée, dont la pratique du droit routier combine rigueur juridique, éthique et humanité. Installée à Strasbourg, elle offre un service personnalisé ainsi qu'une expertise approfondie couvrant les aspects pénaux, administratifs et civils du droit routier. Son ambition de dématérialiser son cabinet et son approche humaine en font une professionnelle de confiance, parfaitement adaptée aux défis actuels de la justice.
Pour toute question ou prise de rendez-vous, son cabinet reste à votre disposition à Strasbourg et sur l'ensemble du territoire français.
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Parisien
27 minutes ago
- Le Parisien
Autonomie de la Corse : le projet constitutionnel maintenu sans tenir compte du Conseil d'État
Ils ne tiennent pas compte de l'avis de l'institution. Le ministre de la Décentralisation a accepté de défendre le projet de loi initial de révision constitutionnelle sur la Corse , sans intégrer aucune des profondes modifications du Conseil d'État, ont indiqué mercredi à l'AFP les élus corses Gilles Simeoni et Jean-Martin Mondoloni. Mardi, de 20 heures à minuit, François Rebsamen avait réuni élus et préfets de Corse à Paris pour « prendre connaissance de l'avis du Conseil d'État » sur le projet de révision constitutionnelle visant à octroyer à l'île une autonomie dans la République, a précisé le ministère dans un communiqué ce mercredi. « La réunion visait à nous convaincre d'intégrer tout ou partie du projet tel que modifié par le Conseil d'État, ce que nous avons absolument refusé », a indiqué Gilles Simeoni, le président autonomiste du conseil exécutif de Corse. Consulté par l'AFP, le projet amendé par le Conseil d'État enlevait notamment la notion de « communauté » corse et octroyait seulement au gouvernement et non à la Collectivité de Corse la possibilité « d'adapter des dispositions de nature législative ». Mais « au terme de la réunion, et conformément à ce que nous demandions à l'unanimité, à l'exception des élus de droite, le ministre Rebsamen a décidé de proposer que soit transmît le texte initial du projet d'écritures constitutionnelles, validé en mars 2024 », a précisé Gilles Simeoni. François Rebsamen s'est engagé à « inscrire ce texte à l'ordre du jour du Conseil des ministres du 30 juillet , pour transmission en l'état au parlement », s'est encore félicité l'élu corse, reconnaissant néanmoins que l'avis du Conseil d'État, « même s'il est consultatif, a une force et une autorité juridique incontestables ». « Le ministre s'est engagé à dire en fin de semaine au président de la République et au Premier ministre qu'il souhaitait présenter en Conseil des ministres le projet d'écritures constitutionnelles tel que validé à l'issue du processus de Beauvau en 2024, et donc sans les modifications du Conseil d'État », a confirmé Jean-Martin Mondoloni, président du groupe d'opposition de droite à l'Assemblée de Corse, opposé à l'octroi d'un pouvoir législatif à la collectivité de l'île. Dans son communiqué après la réunion mardi soir, le ministre a « réaffirmé l'engagement de porter le processus à son terme, pour donner à la collectivité de Corse une compétence normative de nature législative et réglementaire, (…) dans le respect des principes républicains ». Pour être adoptée, cette réforme constitutionnelle devra être votée dans les mêmes termes par l'Assemblée nationale et le Sénat, puis, lors de leur réunion en Congrès, à la majorité des trois cinquièmes. Et ce, alors que l'extrême droite est contre et la droite sceptique.


Le Parisien
27 minutes ago
- Le Parisien
Municipales à Paris : « déni », « outrance »… Renvoyée en procès, Rachida Dati étrillée par ses rivaux
Son renvoi en correctionnelle prononcé ce mardi par les magistrats pour des faits présumés de corruption et de trafic d'influence semble, une fois de plus, ne pas l'inquiéter outre mesure. Rachida Dati, qui ne cesse de répéter qu'elle n'a « peur de rien ni de personne » assure qu'elle ne « renoncera sur rien » . Et surtout pas à la mairie de Paris. Tandis qu'Emmanuel Macron l'a rapidement assuré de son maintien à son fauteuil de ministre de la Culture et que Gérald Darmanin a déclaré qu'il souhaitait toujours « ardemment qu'elle soit maire de Paris », la candidate (encore non officielle) aux municipales de 2026 fait fi des accusations qui pèsent sur elle et sur sa campagne.


Le Figaro
27 minutes ago
- Le Figaro
Disparition de 360 kg de cocaïne à Marseille : l'Office central antistupéfiants perquisitionné par l'IGPN
Ces perquisitions seraient liées au dossier d'importation frauduleuse de stupéfiants surnommé «Trident». Elles concerneraient un commandant de police et son binôme. Des perquisitions ont eu lieu mardi au siège de l'office antistupéfiants (OFAST) à Nanterre (Hauts-de-Seine) ainsi qu'aux domiciles de deux policiers, par des agents de l'IGPN, la police des polices, selon des sources proches du dossier citées par l'AFP. L'inspection générale de la police nationale (IGPN) a procédé à des perquisitions dans les bureaux et les domiciles de deux policiers, a précisé la source, confirmant une information du journal Le Parisien. Selon Le Parisien, ces perquisitions seraient liées au dossier d'importation frauduleuse de stupéfiants surnommé «Trident». Elles concerneraient un commandant de police - «une figure de la lutte anti stups en France» - et «son binôme». Publicité Dans ce dossier dirigé par la Juridiction nationale de lutte contre la criminalité organisée (Junalco), deux hauts gradés, la cheffe de l'OFAST à Marseille et son adjoint, ont été mis en examen fin juin notamment pour «complicité de faux en écriture publique par une personne dépositaire de l'autorité publique» et «violation du secret d'une enquête portant sur la criminalité organisée». «Dissimulations de quantité» En avril, deux policiers de l'OFAST de Marseille avaient déjà été mis en examen, puis placés en détention provisoire, eux pour trafic de stupéfiants en bande organisée, blanchiment ou encore association de malfaiteurs. Puis en juin, un autre avait à son tour été mis en examen. L'enquête de la Junalco a révélé de possibles «échanges entre des policiers et d'autres personnes, portant sur la cession d'au moins 360 kg de cocaïne, en dehors de tout contrôle hiérarchique, et sur la dissimulation des quantités réelles arrivées sur le territoire». Sollicité par l'AFP sur les perquisitions de mardi, le parquet de Paris et de la Junalco a indiqué n'avoir aucun commentaire à faire à ce stade. L'OFAST, chef de file français de la lutte contre le trafic de stupéfiants, a été créé en 2020 et compte plus de 200 agents, issus notamment de la police, de la gendarmerie et des douanes.