logo
Rugby féminin : les joueuses porteront des protège-dents lumineux pour signaler les chocs violents à la tête lors de la Coupe du monde

Rugby féminin : les joueuses porteront des protège-dents lumineux pour signaler les chocs violents à la tête lors de la Coupe du monde

Le Figaro10 hours ago
World Rugby a indiqué ce lundi, en conférence de presse, à Londres, que l'objectif est d'introduire ce système dans toutes les compétitions de rugby de haut niveau.
Les joueuses qui disputeront la Coupe du monde de rugby en Angleterre, du 22 août au 27 septembre, porteront des protège-dents connectés qui s'illumineront en cas de choc important à la tête, a annoncé lundi World Rugby.
Le protège-dents s'allumera en rouge si une joueuse subit un choc suffisamment violent pour potentiellement causer une commotion cérébrale. Le flash lumineux permettra aux joueuses, au corps arbitral mais aussi aux spectateurs de déceler les impacts violents à la tête. L'arbitre devra alors arrêter le match et la joueuse concernée quittera le terrain pour subir un examen médical dans le cadre du protocole commotion.
Publicité
Une mesure bientôt étendue ?
L'objectif est d'introduire ce système dans toutes les compétitions de rugby de haut niveau, ont précisé les représentants de World Rugby lors d'une conférence de presse à Londres. Toutes les joueuses de la Coupe du monde féminine porteront ces protège-dents, à l'exception de deux d'entre elles qui portent un appareil dentaire, a précisé Eanna Falvey, médecin en chef de World Rugby.
Selon une statistique World Rugby, dans le rugby masculin, environ 85% des joueurs portent des protège-dents connectés, qui ne sont pas pour l'heure obligatoires. L'instance internationale a introduit le protège-dents connecté lors du tournoi international féminin WXV en 2023, avant de le généraliser à l'échelle mondiale l'année suivante.
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

« C'est quelque chose de très fort pour moi qui suis né à Rouen » : pourquoi le président de l'Asvel Gaëtan Muller a repris les Dragons
« C'est quelque chose de très fort pour moi qui suis né à Rouen » : pourquoi le président de l'Asvel Gaëtan Muller a repris les Dragons

L'Équipe

time5 hours ago

  • L'Équipe

« C'est quelque chose de très fort pour moi qui suis né à Rouen » : pourquoi le président de l'Asvel Gaëtan Muller a repris les Dragons

Après trois glorieuses décennies sous la direction de Thierry Chaix, les Dragons de Rouen sont désormais propriété de Gaëtan Muller, le président délégué des basketteurs de l'Asvel. C'est une révolution de palet. Après 29 ans et des titres à la pelle sous la férule de Thierry Chaix, Rouen, le plus grand club français de l'ère moderne, a un nouveau président et propriétaire : Gaëtan Muller (42 ans), président délégué d'une autre institution multiple championne de France (l'Asvel en basket) et entrepreneur à succès dans l'événementiel. « C'est quelque chose de très fort pour moi qui suis né à Rouen, car les Dragons sont un fleuron de la ville », confie le nouveau patron, intronisé le 23 juin après une année de tuilage durant laquelle il était actionnaire minoritaire. Dans le secteur sportif, le changement dans la continuité Entraîneur, directeur sportif, manager général : les noms changent, mais le secteur sportif reste entre les mains expertes de grands anciens. Après dix ans dans le costume d'entraîneur, l'ex-gardien de but emblématique (2009-2015) Fabrice Lhenry endosse celui de directeur sportif. Son successeur sur le banc de touche, Carl Mallette, fut un attaquant vedette des Dragons (2005-2012), tout comme le nouveau manager général, Marc-André Thinel (2005-2020). Et le prédécesseur de ce dernier, l'historique Guy Fournier, autre ex-grand buteur normand (1988-1996), conservera un rôle de conseiller après son départ en retraite. « Les sachants sont en charge de faire les bons choix sportifs » Gaëtan Muller, président de Rouen Ancien basketteur pro, Gaëtan Muller n'a en revanche pas du tout manié la crosse et le palet. « Les sachants sont en charge de faire les bons choix sportifs », dit le nouveau président. « Gaëtan a de nouvelles idées, mais il veut garder ce qui a bien fonctionné pendant des années, apprécie Fabrice Lhenry. Marc-André (Thinel) et moi avons fait le recrutement ces derniers mois. On lui expliquait pourquoi un joueur nous intéressait et il disait : "Si c'est celui que vous voulez, banco." » Après une saison médiocre (élimination dès les quarts de finale des play-offs), Muller, soucieux de ne pas mettre une pression excessive, a fixé comme objectif « la conquête d'un titre dans les trois ans ». De grands projets de développement La grande ambition du nouveau boss est économique, il l'a baptisée « Cap 2030 ». « Pour résister aux clubs qui grandissent dans les métropoles, pour exister en Coupe d'Europe, il faut doubler notre budget (actuellement d'un peu plus de 4 millions d'euros) », explique-t-il. Pour cela, le dirigeant vise, avec le soutien de la mairie, la construction d'une nouvelle patinoire de 5 000 à 10 000 places pour remplacer la vénérable enceinte de l'Île-Lacroix (3 300 places) : « L'Arena est la colonne vertébrale de mon projet, dit celui qui a accompagné la construction de la LDLC Arena de l'Asvel (12 000 places) à Décines (Rhône). Puisque Rouen s'autoproclame capitale du hockey français, il nous faut la plus grande patinoire de France. » Une première étape a été franchie fin juin quand la métropole a voté le lancement d'une étude pour trouver une future implantation. Quand les Dragons de Rouen avaient perdu la flamme L'ex-propriétaire Thierry Chaix se montre très optimiste quant à l'avenir de son bébé dans le giron de Gaëtan Muller : « Il a la structure et un réseau à Rouen, il va mener le club à un niveau plus élevé. Je suis en toute confiance, c'est un mec qui a une vision à long terme, qui sait compter et qui ne fera pas n'importe quoi. » Une double casquette avec l'Asvel Ce rachat d'un club dans sa ville d'origine suscite des interrogations vis-à-vis de l'Asvel, dont Gaëtan Muller est le patron au quotidien, le relais du propriétaire et président Tony Parker. D'autant que le club lyonnais a connu de sévères déboires financiers. Mais Muller assure que cette nouvelle casquette ne change rien à son implication auprès des basketteurs rhodaniens. Pas plus que ses nombreux autres investissements dans le tennis, l'athlétisme ou ailleurs. « Je reste président délégué de l'Asvel. J'en ai parlé à Tony (Parker), qui est un ami de trente ans, il y a zéro sujet, dit le dirigeant, qui continuera à résider à Lyon. Les choses sont très claires et transparentes. Je dirige un groupe (Sport Plus Conseil) qui fait 20 millions d'euros de chiffre d'affaires, avec 80 collaborateurs. Je suis dans la logique de développement de ce groupe, c'est une opportunité qui s'est présentée. À l'Asvel, cela fait 12 ans et forcément, un jour, elle sera revendue. Mais ce n'est pas du tout un sujet aujourd'hui. Et les deux sujets ne sont pas du tout liés. » Il entend d'ailleurs appliquer à Rouen un fonctionnement similaire à celui de l'Asvel, avec Charles Roche, le directeur du tournoi de tennis de Rouen, dans le rôle de vice-président.

«Ce que j'ai fait est impardonnable» : accusé de harcèlement et agression sexuelle, l'ex-skieur Joël Chenal «s'excuse»
«Ce que j'ai fait est impardonnable» : accusé de harcèlement et agression sexuelle, l'ex-skieur Joël Chenal «s'excuse»

Le Figaro

time6 hours ago

  • Le Figaro

«Ce que j'ai fait est impardonnable» : accusé de harcèlement et agression sexuelle, l'ex-skieur Joël Chenal «s'excuse»

Mis en cause par douze femmes, l'ancien skieur s'exprime dans une interview accordée au Dauphiné Libéré. L'ex-skieur Joël Chenal, accusé de harcèlement et agression sexuelle, s'«excuse» pour des faits «impardonnables», dans un entretien publié lundi sur le site du Dauphiné Libéré . «Ce que j'ai fait est impardonnable. Je veux m'excuser par rapport à tout le mal que j'ai fait (...) aux jeunes filles», déclare l'ancien vice-champion olympique de géant devenu entraîneur pour la Fédération française de ski entre 2013 et 2017. Sans aborder les détails, il évoque des faits commis sur une période d'une «dizaine d'années» et assure avoir mesuré «trop tard» leur gravité, mettant en cause la Fédération. «Après 2017, on me dit qu'on ne va pas me reprendre (comme coach). Personne ne m'a dit pourquoi (...) Quelque part je pense qu'ils savaient», déclare-t-il au quotidien régional, en regrettant de ne pas avoir été accompagné. Il assure avoir entamé depuis 2021 une «démarche de thérapie» et attend désormais d'être entendu pas la justice. Publicité Arrêté d'urgence du ministère des Sports Le parquet d'Albertville a indiqué fin juillet avoir reçu une plainte pour agression sexuelle, confirmant une information du Monde. Dans une enquête en deux volets, le quotidien a rapporté que l'ancien skieur était mis en cause par douze femmes, dont celle qui a porté plainte pour «agression» pour des faits présumés remontant à 2015 alors qu'elle avait 17 ans. Le ministère des Sports a annoncé qu'«un arrêté d'urgence» avait été publié pour «interdire d'exercer» comme entraîneur à Joël Chenal.

Cyclisme : un vététiste espagnol suspendu un an pour harcèlement sexuel sur une autre athlète en compétition
Cyclisme : un vététiste espagnol suspendu un an pour harcèlement sexuel sur une autre athlète en compétition

Le Parisien

time6 hours ago

  • Le Parisien

Cyclisme : un vététiste espagnol suspendu un an pour harcèlement sexuel sur une autre athlète en compétition

L'Union cycliste internationale (UCI) a prononcé une suspension d'un an à l'encontre d'Edgar Carballo Gonzalez, vététiste espagnol de 36 ans spécialisé dans la descente et l'enduro, pour des faits qualifiés de harcèlement sexuel. La procédure a été déclenchée après la plainte d'une autre coureuse, transmise via la plateforme confidentielle de signalement « UCI SpeakUp ». Celle-ci accuse le sportif de lui avoir adressé des avances sexuelles insistantes et d'avoir eu des contacts physiques inappropriés dans sa camionnette, stationnée sur le parking d'une épreuve officielle. Malgré son refus explicite, il aurait également utilisé le mot « viol » au cours de l'échange. Pour la commission d'éthique de l'UCI, ces agissements ont porté atteinte à la dignité de la plaignante et constituent un harcèlement sexuel. En conséquence, le coureur est interdit de toute activité liée au cyclisme pour une durée de douze mois. Il conserve toutefois la possibilité de contester cette décision devant le Tribunal arbitral du sport.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store