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La Presse
an hour ago
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Ottawa rencontre le lobby du canola
(Ottawa) Le ministre de l'Agriculture, Heath MacDonald, et le ministre du Commerce international, Maninder Sidhu, rencontrent les groupes producteurs de canola mercredi après-midi, à la suite de l'annonce par la Chine d'imposer au Canada des droits de douane de 75,8 % sur cette culture. La Presse Canadienne Les ministres doivent rencontrer le Conseil canadien du canola et l'Association canadienne des producteurs de canola dans la journée de mercredi. Les nouveaux droits de douane devraient entrer en vigueur jeudi. L'industrie du canola appelle Ottawa à agir rapidement, avertissant que Pékin menace d'imposer des droits de douane si élevés qu'ils fermeraient de facto son marché de 5 milliards au Canada. La Chine a lancé une enquête antidumping sur les exportations canadiennes de canola il y a près d'un an. Cette procédure a été lancée en réponse aux droits de douane de 100 % imposés par le Canada sur les véhicules électriques chinois. Avec des informations de Nick Murray et de Jeremy Simes


La Presse
3 hours ago
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La guerre commerciale frappe 3000 produits d'épicerie, déclare le patron de Metro
L'action de Metro perdait 6,81 $, ou 6,41 %, à 99,22 $ à la Bourse de Toronto vers midi. La guerre commerciale a eu un effet sur les prix à l'épicerie en raison de la riposte d'Ottawa sur les importations des États-Unis, a constaté le patron de Metro. Stéphane Rolland La Presse Canadienne « Il y a environ 3000 unités de gestion des stocks [code numérique qui identifie les produits d'un détaillant] qui sont affectées en ce moment par les droits de douane, a dit le président et chef de la direction de Metro, Eric La Flèche, au cours d'une conférence téléphonique, mercredi, avec les analystes financiers. Nous négocions âprement les demandes de hausse de prix. Il faut que ce soit le bon code, que ce soit prouvé. » Les hausses demandées avoisinent « le haut de la fourchette de pourcentage à un chiffre », soit plus de 7 %. « On ne termine pas nécessairement là, mais nous négocions du mieux possible afin de réduire les impacts », a-t-il dit. M. La Flèche a nuancé que le nombre de demandes de la part de ses fournisseurs n'était pas exceptionnellement élevé. « Nous sommes toujours dans un environnement normal. » Il souligne que l'inflation alimentaire avoisine les 3 %. « Nous aimerions plus être à 2 %, mais nous sommes à 3 % ces jours-ci. » Dans ce contexte, l'appétit des consommateurs pour les aubaines n'a pas diminué, ce qui profite à son enseigne à escompte, Super C. Les marques privées ont aussi le vent dans les voiles. M. La Flèche a constaté que la bataille des circulaires s'était intensifiée « un petit peu » au cours du trimestre comprenant les mois d'avril, mai et juin. « Je ne veux pas faire peur à personne [aux investisseurs], a nuancé le PDG du détaillant montréalais. L'environnement a toujours été concurrentiel. Nous avons observé une hausse des activités promotionnelles avec l'ouverture de magasins, les conversions [d'enseignes conventionnels en enseignes à bas prix]. Il y a eu beaucoup d'activités dans le marché. » Résultats inférieurs aux attentes Le rythme de croissance a décéléré dans le secteur de l'alimentation. Les ventes comparables, une donnée clé pour mesurer la croissance en excluant les ouvertures et fermetures de magasins, ont augmenté de 1,9 % au troisième trimestre clos le 5 juillet. Les analystes anticipaient en moyenne une progression de 3,3 %, selon Valeurs mobilières TD. M. Flèche a défendu les résultats trimestriels. « Nous avons eu un bon trimestre et je ne suis pas d'accord avec l'idée que nous ayons subi une baisse notable. Ce n'est assurément pas le cas quand on regarde nos ventes et la croissance du bénéfice par action. Nous sommes satisfaits de notre performance. » Les ventes de Metro pourraient avoir profité, l'an dernier, d'une campagne de boycottage contre son concurrent Loblaw, initiée sur le média social Reddit, pour protester contre l'augmentation des prix du panier d'épicerie, souligne l'analyste Michael Van Aelst, de Valeurs mobilières TD. « En regardant sur deux ans, pour enlever l'effet du boycottage, les ventes comparables de Metro ont augmenté de 4,3 %, ce qui est mieux que Loblaw à 3,7 % », a précisé l'analyste. Le propriétaire des enseignes Metro et Jean Coutu a dévoilé des résultats inférieurs aux attentes des analystes au troisième trimestre, malgré une augmentation de 9 % de son bénéfice net. Le bénéfice net a atteint 323,0 millions au troisième trimestre, comparativement à 296,2 millions à la même période l'an dernier. Le bénéfice ajusté par action est de 1,52 $. Les revenus, pour leur part, progressent de 3,3 % à 6,9 milliards. Avant la publication des résultats, les analystes anticipaient un bénéfice par action de 1,53 $ et des revenus de 6,9 milliards, selon la firme de données financières Refinitiv. L'action de Metro perdait 6,81 $, ou 6,41 %, à 99,22 $ à la Bourse de Toronto vers midi.


La Presse
3 hours ago
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Ruby Liu réfute les inquiétudes des propriétaires
(Toronto) Une milliardaire britanno-colombienne qui souhaite acquérir des baux de La Baie d'Hudson réfute les affirmations des propriétaires selon lesquelles elle ne pourra pas exploiter ses locaux avec succès. Tara Deschamps La Presse Canadienne Dans de nouveaux documents judiciaires, Ruby Liu affirme que ces inquiétudes sont malavisées et qu'elle est tellement confiante en son projet qu'elle garantira personnellement la première année de loyer qu'elle devra leur verser. Mme Liu souhaite racheter 25 anciens baux de La Baie d'Hudson pour les transformer, ainsi que trois autres qu'elle a acquis dans des centres commerciaux dont elle est propriétaire, en un nouveau grand magasin avec des espaces de divertissement, de restauration et de loisirs. Les propriétaires affirment que leurs baux ne permettent pas de telles utilisations et que, même s'ils le permettaient, les échéanciers et les budgets de Mme Liu sont trop irréalistes compte tenu de l'ampleur des travaux et des réparations nécessaires à leurs propriétés. Mme Liu affirme que les locaux n'ont pas besoin de toutes les réparations exigées par les propriétaires, car La Baie d'Hudson y opérait déjà sans les rénovations. Si des réparations s'avèrent nécessaires, elle affirme que son entreprise les effectuera, même si elles dépassent son budget actuel. Pour contrer les affirmations des propriétaires selon lesquelles elle n'a pas de fournisseurs prêts à s'engager à proposer des marchandises à ses magasins, elle a soumis au tribunal des lettres de marques comme Conair et Northern Reflections indiquant qu'elles sont disposées à travailler avec elle.