
Investir dans les ETF, comment ça marche ?
Ces paniers d'actions
d'obligations répliquent un indice boursier, qu'il s'agisse du CAC 40, du S&P 500 ou du MSCI World. Ils peuvent aussi répliquer des groupes d'actions plus complexes et financièrement plus risqués : des entreprises responsables, des titres de dette très précis sur leur date de maturité ou leur pays d'origine, des paniers d'actions renforcés par des effets de levier…
Ces ETF présentent plusieurs avantages : d'abord, ils coûtent moins cher que l'achat de toutes les actions séparées. Ils permettent une très grande diversification, puisque vous investissez dans des dizaines ou centaines d'entreprises à la fois, pour des prix très bas, parfois quelques euros seulement.
Enfin, et surtout, les frais de gestion sont très inférieurs à l'investissement 'actif' : d'habitude, des gestionnaires de fonds constituent des paniers d'actions manuellement, appliquant des frais. Ceux des ETF sont de l'ordre de 0,05% à 0,8% - cela peut tripler ou quadrupler pour les autres fonds.
Il peut être très intéressant d'utiliser une néo-banque pour réduire encore les frais - les banques classiques prélèvent des frais supplémentaires. Une structure comme
Trade Republic
s'est spécialisée dans les ETF.
Les frais sont très peu élevés : aucun frais de courtage, et une simple commission fixe de 1 € appliquée pour chaque transaction sur des actions ou des ETF. Surtout, Trade Republic a rendu gratuits ses plans d'investissement programmé : vous pouvez investir la même chose à intervalle régulier, sans frais.
Cette stratégie, en plus d'être très adaptée aux ETF, permet de lisser le risque de perte : en achetant régulièrement, on achète quand le marché est bas, puis haut ; en moyenne, le montant moyen de l'achat est lissé dans le temps. Attention, ce type de placement comporte des risques, il est important de comprendre les produits sur lesquels vous investissez avant de vous lancer.
>>Cliquez ici pour ouvrir un PEA Trade Republic
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Figaro
2 hours ago
- Le Figaro
Le bénéfice de TF1 au 1er semestre lesté par une surtaxe exceptionnelle
Le bénéfice net de TF1 a fortement reculé au premier semestre, passant de 96 à 78 millions d'euros, du fait d'une surtaxe exceptionnelle et des «incertitudes macroéconomiques» pesant sur les revenus publicitaires, a annoncé le groupe mardi dans un communiqué. «La surtaxe devrait peser entre 20 et 25 millions sur l'ensemble de l'année 2025», a précisé le directeur financier du groupe Pierre-Alain Gérard, qui a souligné qu'en dehors de cet élément exceptionnel, le bénéfice du groupe est quasi stable, ainsi que son chiffre d'affaires consolidé à 1,1 milliard d'euros. Le chiffre d'affaires publicitaire, à 782 millions d'euros, subit une légère baisse (-2,5%) en raison de «l'intensification des incertitudes macroéconomiques depuis le début du mois d'avril 2025», qui «a pesé sur les investissements des annonceurs», mais reste porté par le chiffre d'affaires publicitaire de TF1+. Lancée en janvier 2024, la plateforme de streaming a vu son chiffre d'affaires publicitaire augmenter de 41,4%, à 92 millions d'euros. Publicité 35 millions de streamers par mois «TF1+ rassemble 35 millions de streamers par mois en moyenne au premier semestre 2025, avec un nouveau record de 39 millions de streamers atteint au mois de juin», se félicite le groupe dans leur communiqué. Une nouvelle forme de monétisation de TF1+ sera mise en place à partir de septembre, à travers le «micropaiement». «En contrepartie du paiement d'une somme modeste», qui n'a pas encore été précisée, les utilisateurs auront accès à des contenus de haute qualité sans coupure publicitaire. Côté programmes, «Bonjour!» devient la troisième matinale de la télévision et sera rallongée de 30 minutes à la rentrée, a annoncé le groupe. TF1 note également l'impact positif du changement de numérotation de la TNT sur l'audience de sa chaîne info LCI. La branche média du groupe TF1 est confiante pour le second semestre 2025, qui sera notamment marqué par le retour de la «Star Academy» et de la série «HPI», avec Audrey Fleurot, pour ses ultimes épisodes. De nouvelles fictions seront lancées sur TF1 et TF1+, comme «Montmartre» et «Été 36». Côté sport, le groupe, qui a diffusé l'Euro de football féminin 2025 en juillet, diffusera la Coupe du monde de rugby féminine à partir du 22 août. L'autre perspective qui permet «d'ouvrir de nouveaux horizons publicitaires» pour TF1 est l'accord signé avec Netflix : à partir de l'été 2026, tous les abonnés Netflix en France pourront regarder les chaînes du groupe TF1 et les contenus à la demande de TF1+, directement sur Netflix.


Le Figaro
4 hours ago
- Le Figaro
Air Liquide confirme ses objectifs 2025 après une hausse de 7,2% de son bénéfice au 1er semestre
Le groupe français de gaz industriels Air Liquide a confirmé mardi ses objectifs financiers pour 2025, après une hausse de 7,2% de son bénéfice net et de 2,6% de son chiffre d'affaires au premier semestre. De janvier à juin, Air Liquide a réalisé un bénéfice net de 1,8 milliard d'euros et 13,72 milliards d'euros de ventes, porté par «des moteurs de croissance diversifiés, notamment dans les secteurs de l'électronique et de la transition énergétique». Publicité Le groupe a confirmé prévoir d'«augmenter de nouveau sa marge opérationnelle» hors effet énergie, «une croissance du résultat net hors opérations exceptionnelles et significatives» et une «progression de 200 points de base de sa marge opérationnelle» d'ici fin 2026, selon son communiqué.


Le Figaro
4 hours ago
- Le Figaro
Baisse du taux du livret A, hausse des prix du gaz, allocation de rentrée scolaire… Ce qui change en août 2025
Ce 1er août, de nouvelles réformes vont entrer en vigueur, comme chaque mois. Le Figaro fait le point. Comme tous les ans, le passage de juillet à août est marqué par l'entrée en vigueur d'un nombre conséquent de nouvelles mesures gouvernementales. Voici les principaux changements à retenir. Le Livret A passe de 2,40% à 1,70% dès le 1er août Publicité Le taux du placement préféré des Français passe à 1,7%. Une baisse proposée par la Banque de France et justifiée par la diminution de l'inflation au 1er semestre 2025. «Pour le livret A, le taux de 1,7 % présente deux avantages, se défend Bercy, il reste nettement supérieur à l'inflation et permet de protéger l'épargne des Français. Le fait d'épargner reste intéressant». Deuxième avantage : «La baisse reste extrêmement positive pour le logement social. Pour rappel, lorsque le taux du livret A baisse, les bailleurs sociaux peuvent emprunter plus et donc construire plus de logements sociaux, ce qui est important dans un contexte où le logement est extrêmement tendu», indique-t-on. Le Livret développement durable et solidaire voit son taux aligné sur celui du Livret A, sa rémunération baisse donc aussi à 1,7%. Le livret d'épargne populaire (LEP) voit son taux ramené de 3,5% à 2,7% Réservé aux ménages modestes, ce taux baisse lui aussi. Une diminution limitée pour les 12 millions de LEP ouverts, puisqu'elle était initialement prévue à 2,2% selon Bercy. «Pour le LEP, la formule n'a pas été appliquée exactement. Un geste a été fait en faveur de l'État. C'est pour encourager l'épargne de tous, et que, quel que soit le niveau d'épargne, on encourage les gens à épargner, y compris les petites sommes. Un arbitrage a été fait pour encourager les logements sociaux et les plus modestes», détaille le ministère de l'Économie. Hausse de la TVA sur le gaz et l'électricité Jusqu'au 1er août, le taux de TVA sur l'abonnement au gaz et à l'électricité était réduit à 5,5%, tandis que celui sur la consommation était de 20%. À partir de cette date, la TVA sur les abonnements au gaz et à l'électricité va augmenter pour passer, lui aussi à 20%. La raison est simple : pour harmoniser la fiscalité sur le droit européen, une directive impose à la France d'appliquer un taux de TVA uniforme sur l'ensemble des composantes tarifaires d'un produit énergétique. Conséquence : le prix d'un abonnement au gaz ou à l'électricité va fortement augmenter. Mais pour que cette hausse soit la plus indolore possible pour les consommateurs, deux autres taxes vont baisser. D'abord le tarif d'utilisation des réseaux publics d'électricité (dit Turpe), qui comme son nom l'indique ne concerne que l'électricité. Avec cette baisse, la hausse du coût d'un abonnement électrique sera moindre que celle d'un abonnement au gaz. La deuxième taxe qui baisse est celle de l'accise. Prélevée directement sur la consommation de gaz ou d'électricité, elle va baisser de la façon suivante entre le 1er août et le 31 décembre 2025: Réduction de l'accise électricité : de 33,7 €/MWh à 29,98 €/MWh Réduction de l'accise gaz : de 17,16 €/MWh à 15,43 €/MWh Conséquence: ceux qui consomment moins d'électricité et de gaz devraient être légèrement perdants, car la part fixe soumise à la hausse de la TVA) a plus de poids sur leur facture que la part variable (concernée par la baisse de l'accise) selon une simulation sur le comparateur du médiateur de l'énergie menée par MoneyVox, ainsi qu'une comparaison effectuée par l'application Hello Watt. Publicité En revanche, les consommateurs utilisant davantage d'électricité sont gagnants, selon le CRE: «Le niveau moyen de l'abonnement augmente de 23€ TTC par an et la part électricité moyenne baisse de 27€ TTC par an, soit une baisse nette de la facture d'environ 4€ TTC par an (pour une consommation moyenne de 4,4 MWh par an, la facture moyenne TTC passe donc de 1 050€ TTC à 1 046€ TTC).» Le prix du gaz augmente La CRE a publié son indicateur et le prix du gaz grimpe en août, notamment pour la partie abonnement. Ce dernier coûtera désormais 134,14 euros TTC pour la cuisson et l'eau et chaude par an (+16,21 euros) et 330, 80 euros TTC pour le chauffage (+39,97 euros). Ainsi, les foyers chauffés au gaz verront leur facture augmenter de 40 euros. Une forte hausse qui se justifie notamment par la hausse de la TVA sur le gaz comme expliqué précédemment. À l'inverse, le prix moyen du kWh baisse légèrement. Le prix moyen TTC du kWh est de 0,13920 euro pour la cuisson et l'eau chaude (contre 0,13970 euro en juillet), et de 0,10801 euro pour le chauffage (contre 0,10852 euro en juillet). Les prix repères moyens augmentent aussi légèrement avec un prix repère moyen de 98,22 €/MWh HT (contre 95,47 euros/MWh HT en juillet), soit 141,48 €/MWh TTC (136,36 euros/MWh TTC) tous consommateurs confondus. L'allocation de rentrée scolaire va être versée dès le mardi 5 août Pour plus de trois millions de familles modestes, l'aide permettant d'assumer les coûts des fournitures scolaires sera versée à partir du mardi 5 août dans les départements de Mayotte et de la Réunion et dès le mardi 19 août en métropole et dans les départements de la Guadeloupe, de la Guyane et de la Martinique. Elle est allouée aux parents des enfants ayant entre 6 et 18 ans, et va de 423,48 à 462,33 euros par enfant en hexagone, pour des ressources ne pouvant dépasser 28 444 euros par foyer. Publicité Des frais additionnels pour les récalcitrants au compteur Linky Les récalcitrants à la pose d'un compteur Linky devront payer 6,48 euros HT de frais supplémentaires tous les deux mois. Par ailleurs, si les index de consommation n'ont pas été communiqués à Enedis depuis plus d'un an, des frais de relevés additionnels de 4,14 euros s'ajouteront. Cependant, pour ceux qui font face à une impossibilité technique, ces frais ne s'appliqueront pas. Le « cas d'impossibilité technique indépendante du client » doit être identifié par Enedis. Un versement bienvenu du trop-perçu par la DGFIP Pour finir, une bonne nouvelle. Le 25 juillet ou le 1er août, plusieurs millions de contribuables en France se sont vus, ou se verront rembourser, le trop-perçu à la source ou le reste de leurs crédits d'impôt par le DGFIP. « Vous êtes éligible au remboursement si le montant prélevé en 2024 dans le cadre du prélèvement à la source est supérieur au montant final de votre impôt, ou bien si vous avez droit à une restitution de réductions ou crédits d'impôts » explique le gouvernement. Un versement bienvenu, depuis la mise en œuvre de la réforme du prélèvement à la source. Pour en avoir le cœur net, en théorie, un avis de situation déclarative à l'impôt 2025 sur les revenus 2024 a été envoyé dans l'espace particulier de impô