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Transferts : Bayonne annonce le départ du deuxième-ligne Veikoso Poloniati

Transferts : Bayonne annonce le départ du deuxième-ligne Veikoso Poloniati

L'Équipe7 days ago
Le deuxième-ligne d'origine néo-zélandaise, mais international tongien, Veikoso Poloniati quitte déjà le club de l'Aviron Bayonnais ce lundi, seulement un an après son arrivée.
Après à peine une saison sous les couleurs de l'Aviron Bayonnais, Veikoso Poloniati (29 ans) quitte déjà le club basque. Les dirigeants des Ciel et Blanc ont officialisé la nouvelle par communiqué ce lundi. « Le joueur s'oriente désormais vers un nouveau projet professionnel » est-il écrit sans que le nom de son futur club soit précisé.
En provenance du Racing 92, l'international tongien (3 sélections) n'aura disputé que 14 matches, dont seulement 8 comme titulaire.
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Euro féminin : plus que celui arc-en-ciel, le brassard «respect» représente toutes les joueuses françaises, selon Mbock
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Le Figaro

time38 minutes ago

  • Le Figaro

Euro féminin : plus que celui arc-en-ciel, le brassard «respect» représente toutes les joueuses françaises, selon Mbock

Griedge Mbock, capitaine de l'équipe de France, a commenté l'absence du brassard arc-en-ciel chez les Bleues, alors qu'une majorité de nations l'ont arboré depuis le début de l'Euro 2025. La capitaine de l'équipe de France, Griedge Mbock, a affirmé lundi que le brassard avec le mot «respect» «représente vraiment toutes les causes» défendues par les Bleues, qui ont donc fait le choix de ne pas porter celui en arc-en-ciel lors de l'Euro féminin 2025. Depuis le début de la compétition, neuf équipes (Suisse, Allemagne, Angleterre, Danemark, Finlande, Islande, Norvège, le pays de Galles et la Suède) sur seize ont porté le brassard arc-en-ciel, mais cela n'a pas été le cas des Bleues. Lors des trois matches de la phase de groupes, les capitaines successives des Bleues, suppléantes de Mbock blessée, ont porté un brassard avec le mot «respect». Publicité «On a un groupe qui représente vraiment toutes les causes possibles : il est multiculturel, multi-religieux, avec des orientations sexuelles différentes, ce n'est pas un brassard qui va définir les causes qu'on veut défendre», a expliqué la capitaine, pour la première fois devant la presse depuis le début de l'Euro car indisponible jusque-là à cause d'une blessure à un mollet. Mettre en avant une cause plus qu'une autre, ce serait exclure les autres. Griedge Mbock, capitaine de l'équipe de France «Le brassard avec le mot 'respect' c'est celui qui représente vraiment l'ensemble de notre groupe et les différentes causes qu'on veut défendre», a-t-elle ajouté, soulignant le fait que la France avait le «groupe avec le plus de diversité» en Europe et dans le monde, et qu'«il est uni». «Tout le monde peut représenter la cause qu'elle veut individuellement, on a énormément de respect entre nous [...], on veut rester sensible avec tout le monde», a-t-elle poursuivi. Selon la capitaine, il «faut faire en sorte que tout le monde soit représenté et pas forcément mettre en avant une cause plus qu'une autre car ce serait exclure les autres». La FFF n'avait pas eu le mot pour le brassard arc-en-ciel avant l'Euro Samedi, le sélectionneur des Bleues, Laurent Bonadei, avait déjà été interrogé sur le sujet, répondant qu'une concertation allait avoir lieu avec les joueuses. «Le mot respect, qui est inscrit dessus, rassemble beaucoup de causes, comme la lutte contre le racisme. Ce n'est pas seulement pour la cause LGBT+. C'est un joli brassard. Nous n'étions pas au courant de cette initiative de l'UEFA, c'est un oubli et nous l'avons appris seulement ce samedi. On va en parler entre nous», avait-il dit avant le match contre les Néerlandaises. Interrogée par l'AFP, la FFF avait affirmé ne pas avoir eu d'information à ce sujet avant le début de la compétition. De façon générale, les Bleues prennent peu position et sont peu engagées sur ces sujets sociétaux, a en outre rappelé à l'AFP une source proche de la FFF. Publicité Contacté sur le sujet, l'UEFA n'avait pas répondu dans l'immédiat. Selon l'instance, ce brassard symbolise «une société plus juste et égalitaire, qui accepte tout un chacun, quel que soit son milieu, ses croyances, son genre et son orientation sexuelle». Dimanche, Les Dégommeuses (collectif contre les discriminations dans le sport), ont annoncé avoir envoyé à la fédération un brassard arc-en-ciel.

Tour de France : Simon Yates remporte la 10e étape, Healy prend le maillot jaune, les favoris se neutralisent
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time39 minutes ago

  • Le Parisien

Tour de France : Simon Yates remporte la 10e étape, Healy prend le maillot jaune, les favoris se neutralisent

Fini les grosses cuisses, place aux amoureux d'altitude. Ce lundi, pour la 10e étape du Tour de France , le peloton s'est enfoncé pour la première fois en haute montagne. Avec huit difficultés répertoriées, le massif central pouvait déjà faire des dégâts au classement général. Partis dans l'ultime ascension, alors que Simon Yates venait de remporter l'étape dans l'échappée, Tadej Pogacar et Jonas Vingegaard n'ont pas forcé et accepté un statu quo entre les favoris. En supériorité numérique dans l'échappée, l'équipe EF Education-EasyPost a fait le gros du travail pendant toute la journée. Pour mettre sur orbite leur coéquipier Ben Healy, déjà vainqueur de la 6e étape , Neilson Powless, Harrison Sweeny et Alex Baudin se sont relayés en tête de groupe, éliminant un à un les concurrents. Au sommet de l'antépénultième difficulté, ils n'étaient déjà plus que 13 à l'avant, dont Valentin Paret-Peintre, Simon Yates, Ben O'Connor ou Lenny Martinez. Enfin sur un terrain qui lui convient mieux, le Français a passé la journée à chasser les points aux sommets des côtes. Passé en tête des cinq premières, il s'est assuré de prendre le maillot à pois de meilleur grimpeur, 47 ans après son grand-père Mariano, faisant un premier pas vers l'un de ses objectifs affichés avant ce Tour de France. Il n'avait toutefois pas les jambes pour disputer la victoire d'étape. À 25 km de l'arrivée, les coéquipiers des favoris ont mis en route. Alors que les UAE-Emirates de Tadej Pogacar imprimaient le tempo depuis les premiers hectomètres, les Visma-Lease a Bike de Jonas Vingegaard ont pris le relais pour user l'équipe adverse. Une tactique qui ne s'est pas avérée payante, malgré les accélérations de Sepp Kuss et Matteo Jorgenson. Alors que Ben Healy menait bon train en tête de course pour aller chercher le maillot jaune, les leaders se regardaient à l'arrière. Impressionnant, l'Irlandais a finalement été contré dans la dernière ascension par Simon Yates et Ben O'Connor, qui l'ont laissé sur place. Le vainqueur du dernier Giro a finalement été le plus fort, et a décroché la victoire d'étape. Ben Healy se consolera avec la première place du classement général. Cette ultime montée, celle du Puy de Sancy, a, enfin, été le théâtre d'une bataille entre les candidats à la victoire finale. Remco Evenepoel a été le premier à attaquer, suivi par Oscar Onley. Repris, le Belge a été contré par Tadej Pogacar. Seul Jonas Vingegaard est parvenu à prendre la roue. Les deux hommes n'ont toutefois pas forcé et ont grimpé les derniers hectomètres à un rythme de sénateur, permettant à Evenepoel, Roglic et Jorgenson de revenir. En revanche Kévin Vauquelin a cédé sa troisième place au classement général. Le Français a concédé du temps sur Pogacar et Vingegaard. Il termine cette étape à la 21e place à 5′37″ de Simon Yate.

Après sa saison à rallonge, le PSG en pleine réflexion sur les meilleures options pour régénérer son effectif
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L'Équipe

time41 minutes ago

  • L'Équipe

Après sa saison à rallonge, le PSG en pleine réflexion sur les meilleures options pour régénérer son effectif

La lourde défaite face à Chelsea, dimanche, en finale de la Coupe du monde des clubs, et l'impression de fatigue diffusée ont relancé le débat autour de la profondeur de banc du PSG. Les visages sont fermés. Les corps semblent usés. Les Parisiens regardent, de loin, les célébrations des joueurs de Chelsea, dimanche soir. Il est presque minuit à Paris. Et de l'autre côté de l'Atlantique, la saison du Paris-SG s'achève. Au bout de trois titres majeurs (L1, Coupe de France et Ligue des champions) et 65 matches. Cette finale de la Coupe du monde des clubs perdue (0-3), à l'issue d'une rencontre au cours de laquelle le PSG n'a jamais paru en mesure de résister dans l'intensité, sera bientôt un souvenir lointain. Et sans doute, pour l'effectif parisien, un épiphénomène. Dont Luis Enrique et Luis Campos devront, eux, tirer les conséquences. Alors qu'ils ciblaient un recrutement précis (défenseur central droitier, attaquant polyvalent), l'entraîneur et le conseiller football parisien peuvent-ils faire évoluer leurs plans et décider d'un renouvellement plus profond de l'effectif ? Alors que le PSG a structuré son exceptionnelle fin de saison et notamment ce tournoi américain autour d'une rotation à 14-15 joueurs (en intégrant Lucas Beraldo, Warren Zaïre-Emery, et Désiré Doué/Bradley Barcola), et que des éléments comme Gonçalo Ramos mais surtout Lee Kang-in ont vu leurs temps de jeu se réduire, la question se pose. L'impression - logique - de fatigue diffusée dimanche par ce groupe renforce cette interrogation. Pour garder sa compétitivité et éviter une avalanche de blessures l'an prochain, Paris pourrait avoir besoin, un peu plus que prévu, de se régénérer. Dans l'axe, des besoins à combler Les besoins au poste d'axial ont été ciblés, depuis plusieurs mois, par la direction sportive. Le dossier menant à l'Ukrainien de Bournemouth Illya Zabarnyi (22 ans, sous contrat jusqu'en 2029) répond à cette logique. Sur le poste d'axial gauche, compte tenu des velléités de départ de Beraldo et de l'état de Presnel Kimpembe, la question va se poser. Mais l'équation n'est pas si simple : Lucas Hernandez, qui n'a affiché aucun état d'âme cette saison, n'entend pas refaire une saison avec ce statut de remplaçant. Alors que Milan Skriniar - prêté au Fenerbahçe ces derniers mois - est amené à partir définitivement, ce sont au moins deux centraux dont Paris aurait besoin. Axel Tape, 18 ans en août, aurait pu être une solution, mais il a privilégié le Bayer Leverkusen. L'évolution de Noham Kamara (18 ans) sera intéressante à suivre. Quant au poste de gardien, tout dépendra de l'évolution du cas Gianluigi Donnarumma, à un an de la fin de son contrat. Pour Matveï Safonov, qui trouve le temps long, et Arnau Tenas, la situation pourrait aussi évoluer. Sur les côtés, des doublures à installer Sur les côtés, le chantier est aussi ouvert. Le duo Nuno Mendes - Achraf Hakimi ne dispose pas de recours fiables. La paire a montré des ressources athlétiques exceptionnelles cette saison. Un doute existe forcément quant à la capacité des deux hommes à enchaîner à ce niveau en 2025-2026. Luis Enrique a multiplié les initiatives à ces postes (Zaïre-Emery, Neves, Mayulu...), sans qu'aucune ne puisse être considérée comme une solution durable. À moyen terme et alors que Nordi Mukiele, de retour d'un prêt au Bayer Leverkusen, est amené à partir, le PSG dispose avec le jeune David Boly (16 ans) d'un vrai potentiel de haut niveau à droite, mais en attendant, les besoins sont évidents. Au milieu, un profil expérimenté recherché Le trio Joao Neves - Vitinha - Fabian Ruiz s'est imposé comme le socle du collectif en 2024-2025. Derrière, avec la rotation Zaïre-Emery et Senny Mayulu, en qui le staff croit beaucoup, le PSG a des alternatives crédibles. Mais au-delà de l'utilisation du premier au poste de latéral se pose la question du recrutement d'un profil différent des joueurs déjà présents dans ce secteur. La domination, dimanche, de Moisés Caicedo, a ainsi rappelé le déficit athlétique. Les décideurs, eux, aimeraient ajouter de l'expérience dans l'entrejeu. Avec un profil de haut niveau comparable au Munichois Joshua Kimmich (30 ans, sous contrat jusqu'en 2029). Devant, de la polyvalence espérée Avec Ousmane Dembélé, Bradley Barcola, Khvitcha Kvaratskhelia et Désiré Doué, Luis Enrique dispose de quatre joueurs de très haut niveau dans ce secteur. La tendance n'est pas, en l'état, à un départ de Ramos. Fidèle à sa méthodologie, Campos reste vigilant sur le marché des numéros 9 : il maintient le contact, par exemple, avec l'entourage du Napolitain Victor Osimhen (26 ans, sous contrat jusqu'en 2026), proche de Galatasaray. Tout comme avec l'ailier polyvalent de l'AC Milan Rafael Leao (26 ans, 2028). 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