
« Buffalo Kids » : un sacré western pour enfants à voir en famille !
marqué les esprits avec « Sacrées momies »
, sorti en 2023.
Nous sommes aux États-Unis, au début du XXe siècle. Arrivés à bord d'un transatlantique, comme tant d'immigrants à la recherche d'une vie meilleure, Mary et Tom, orphelins irlandais, débarquent à New York. Les frangins doivent y retrouver leur oncle. Il est censé les accueillir avant de les emmener, chez lui, en Californie pour y vivre ensemble.
Mais personne ne les attend sur le quai. Ils vont devoir se débrouiller seuls pour rejoindre la côté ouest. Malins et dégourdis, ils sautent dans un train, se mêlant à un groupe d'enfants. Et c'est le début de folles péripéties, au cours desquelles ils multiplieront les rencontres : enfants orphelins, comme eux, mais aussi des indiens Cheyenne et de méchants brigands.
Les images des grands espaces sont splendides. Costumes, décors, débordent de couleurs. On retrouve
le souffle des westerns
avec leurs paysages grandioses, nature foisonnante, cowboys et bisons. Et de sacrées péripéties.
Parce que Mary et Tom vont en croiser, dans cette conquête de l'Ouest, des gangsters cruels, vrais méchants, prêts à tout pour trouver des pépites d'or. Les deux gamins vont devoir se creuser la tête pour se sortir de leurs griffes. Et ils y parviendront dans un joyeux « happy end » qui fait du bien.
Ces enfants-là débordent de malice, généreux et débrouillards. Les créateurs portent un regard frais et positif sur le handicap à travers le personnage de Nick, inspiré par le fils de Pedro Solis, décédé il y a trois ans. L'ensemble est plein de jolis messages, jamais mièvres, sur la différence, l'amitié, le rêve, l'entraide. On en ressort gonflé à bloc. À voir en famille !
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Figaro
12 hours ago
- Le Figaro
La puissante apparition de Rihanna, enceinte et ses deux fils dans les bras, sur le tapis rouge de Los Angeles
La chanteuse a fait une apparition remarquée à Los Angeles, entourée de ses deux fils, RZA et Riot, et en attente du troisième, lors de la première du film Les Schtroumpfs. Quelques jours à peine après avoir assisté aux funérailles de son père à la Barbade, Rihanna a fait une réapparition publique aussi attendue que symbolique. Ce dimanche 14 juillet, la chanteuse de 37 ans a foulé le tapis (bleu) des studios Paramount à Los Angeles pour la première du film Les Schtroumpfs, en compagnie de ses deux fils, RZA (3 ans) et Riot (1 an), dans ses bras — et une grossesse bien visible. Rihanna et ses fils RZA et Riot. SPUS/ABACA La mère et ses enfants posent devant les photographes. Ruymen Jim/UPI/ABACA Rayonnante dans une robe marron moulante à taille basse, ornée de dentelle, Rihanna mettait en valeur son ventre rond, confirmant qu'elle attendait un troisième enfant avec A$AP Rocky. Ce look sophistiqué était rehaussé d'une veste en cuir et d'une paire de lunettes de soleil, pour une allure un brin grungy. Publicité À noter que la superstar n'était pas là par hasard : elle prête sa voix à la Schtroumpfette dans ce nouveau film d'animation, attendu en salles le 18 juillet aux États-Unis. «Je suis excitée pour ce soir. On va voir le film ensemble pour la première fois, dans sa version complète. Ça devrait être intéressant», a-t-elle confié au micro d'Extra, évoquant avec tendresse le plaisir de partager ce moment avec ses enfants, visiblement ravis d'être aux premières loges du projet de leur mère. La star était entourée de Schtroumpfs géants. UPI/ABACA


Le Parisien
18 hours ago
- Le Parisien
Pourquoi il n'est plus possible de regarder « South Park » partout dans le monde, sauf aux États-Unis
Les fans de « South Park » vont devoir se passer de leur série fétiche. Depuis ce dimanche minuit, les 26 saisons de la série culte ont disparu des plates-formes de streaming partout dans le monde, à l'exception des États-Unis. La licence de Paramount+ pour diffuser la série à l'international a expiré et les négociations pour le renouvellement de la licence sont toujours en cours, selon The Hollywood Reporter . C'est un différend autour des droits de diffusion entre les créateurs de la série et Paramount qui prive les fans de la série. Les épisodes des 26 saisons qui étaient jusqu'à dimanche disponibles en France sur Paramount + via My Canal ou Amazon Prime ont disparu à cause d'une bataille sur les droits de diffusion streaming entre Trey Parker et Matt Stone, les créateurs de la série, et Paramount Global, la société mère de Paramount+ et de Comedy Central, où était diffusée « South Park ». Le conflit entre les créateurs de la série Trey Parker et Matt Stone et Paramount a déjà provoqué le report de la saison 27 dont le premier épisode devait sortir le 9 juillet dernier. Trey Parker et Matt Stone ont même menacé d'intenter une action en justice contre Paramount, accusant Jeff Shell, le nouveau président de Paramount Global, d'interférer dans leurs négociations Warner Bros. Discovery (WBD) et Netflix. À défaut de pouvoir visionner les 26 saisons, les fans de la série qui offre un regard satirique sur la société d'aujourd'hui peuvent toujours se contenter des émissions spéciales déclinées de la série, qui sont toujours accessibles sur les plates-formes. Aux États-Unis, le premier épisode de la saison 27 est attendu à partir du 23 juillet prochain.


Le Figaro
19 hours ago
- Le Figaro
Pourquoi Donald Trump a « pourri le prochain film » de Terry Gilliam
Le réalisateur, qui a abandonné la nationalité américaine, travaillait sur son quatorzième long-métrage, décrit comme une satire politique. Le problème ? La société américaine est devenue plus caricaturale encore que son scénario. La satire est-elle en péril depuis le retour de Donald Trump au pouvoir ? Cela ne fait aucun doute pour Terry Gilliam. Invité dans les colonnes du Hollywood Reporter mardi à l'occasion du quarantième anniversaire de son chef d'oeuvre Brazil, le réalisateur naturalisé britannique, estime que le monde de l'humour a perdu de la saveur depuis que le pouvoir américain est tombé entre les mains du leader Maga. Le président des États-Unis a « détruit la satire », affirme-t-il. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour La raison ? Tous les scénarios auxquels peuvent réfléchir les humoristes pour leurs spectacles ou leurs films sont dépassés par la réalité. La preuve ? Terry Gilliam, connu pour ses comédies, a été contraint d'abandonner l'un de ses derniers projets parce que Donald Trump « a tout gâché ». Il a « pourri le dernier film sur lequel je travaillais, regrette-t-il. Parce qu'il s'agissait d'une satire de ces dernières années et que cela s'est vraiment passé ainsi. Il l'a foutue en l'air. » Intitulé The Carnival at the End of Days avec comme sous-titre « un grand bonheur pour tous ceux qui aiment s'offenser », ce quatorzième long-métrage était décrit comme une comédie où « Dieu décide de détruire l'Humanité ». Et le seul qui aurait « pu nous sauver, c'est Satan ». Mais Trump « a détruit la satire », estime le réalisateur, ajoutant : « comment peut-on encore rire en voyant ce qui se passe dans notre monde ? » Publicité Un film avec Johnny Depp et Jason Momoa Le cinéaste essaye de rester optimiste et ne souhaite pas tourner la page de ce projet inabouti. Il songe effectivement à « récrire en grande partie son film ». Reste à savoir si Jeff Bridges, Johnny Depp, Adam Driver, Jason Momoa, Asa Butterfield, Emma Laird ou encore Tom Waits qui devaient figurer à l'affiche, seront toujours de la partie. Ce n'est pas la première fois que Terry Gilliam s'attaque à Donald Trump. Le cinéaste n'a pas hésité à traiter le président des États-Unis « d'idiot » lors de son premier mandat, dans un entretien accordé à l'AFP en 2018. « J'ai l'impression de vivre dans un monde cauchemardesque. Le monde est tellement fou qu'on ne peut rien faire. Donald Trump est un idiot ! Pendant des années, je ne cessais de dire que nous allions avoir (...) un escroc pour président, on y est. »