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« Sales socialistes on va vous crever » : à Villemomble, les glaçantes menaces de l'extrême droite contre le PS

« Sales socialistes on va vous crever » : à Villemomble, les glaçantes menaces de l'extrême droite contre le PS

Le Parisien3 days ago
« Sales socialistes on va vous crever » : à Villemomble, les glaçantes menaces de l'extrême droite contre le PS
Un individu s'est affiché sur les réseaux sociaux en brandissant un poing américain devant la permanence PS de Villemomble (Seine-Saint-Denis). Une intimidation accompagnée de menaces de mort qui suscite l'indignation. Une plainte a été déposée ce samedi.
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Venezuela : 4,5 millions de miliciens « armés » déployés dans tout le pays en réponse aux « menaces » américaines
Venezuela : 4,5 millions de miliciens « armés » déployés dans tout le pays en réponse aux « menaces » américaines

Le Parisien

time43 minutes ago

  • Le Parisien

Venezuela : 4,5 millions de miliciens « armés » déployés dans tout le pays en réponse aux « menaces » américaines

Selon lui, il s'agit d'une réponse aux États-Unis. Le président vénézuélien Nicolás Maduro a annoncé ce lundi le déploiement de 4,5 millions de miliciens dans le pays en réaction aux « menaces » américaines face au déploiement de forces militaires américaines dans les Caraïbes. « Cette semaine, je vais activer un plan spécial avec plus de 4,5 millions de miliciens pour garantir la couverture de tout le territoire national. Des milices préparées, activées et armées », a lancé à la télévision publique Nicolás Maduro, dont les États-Unis ont doublé à 50 millions de dollars la récompense pour sa capture. La milice vénézuélienne fondée par le président Hugo Chavez dont Maduro est le successeur est, de source officielle, composée de quelque 5 millions de personnes, civils ou réservistes, et est placée sous le commandement de l'armée. Maduro dénonce « des menaces extravagantes » Évoquant le « réchauffé pourri des menaces extravagantes, rocambolesques et farfelues » de Washington, Nicolás Maduro a aussi lancé « Fusils et missiles pour la force paysanne ! Pour défendre le territoire, la souveraineté et la paix du Venezuela (…) Missiles et fusils pour la classe ouvrière, pour qu'elle défende notre patrie ». À lire aussi Washington promet une prime de 50 millions de dollars pour l'interpellation du président vénézuélien Nicolás Maduro Le secrétaire d'État américain Marco Rubio a confirmé la semaine dernière le déploiement de forces navales et aériennes américaines dans les Caraïbes pour une opération antidrogue peu de temps après que l'administration a doublé la récompense pour Nicolás Maduro, accusé de faire partie d'un cartel.

Sébastien Delogu est-il un génie ? Raisonnement par l'absurde
Sébastien Delogu est-il un génie ? Raisonnement par l'absurde

Le Figaro

timean hour ago

  • Le Figaro

Sébastien Delogu est-il un génie ? Raisonnement par l'absurde

LETTRES PERSONNES - Chaque semaine, Frédéric Picard nous livre le regard décalé de Zaza, une intelligence artificielle, qui dissèque les absurdités et paradoxes de notre société. Aujourd'hui, elle se penche sur un cas d'école : le député insoumis des Bouches-du-Rhône. Saint-Florent, le 18 août, Bonjour, Sébastien Delogu est-il un génie ? Oui, je sais. Sortie de son contexte, ou dans n'importe quel contexte, d'ailleurs, cette interrogation pique un peu les synapses. Mais je profite du mitan de l'année pour la poser. Objectivement. Cliniquement, presque. Et voilà qu'il dévoile un tatouage. Pas sur son épaule, pas sur sa poitrine : non, sur son mollet. Chez d'autres, l'encre est un souvenir ou une coquetterie. Chez Delogu, c'est un manifeste ambulant. Une banderole politique dans la peau, comme si borborygmer à haute voix ne lui suffisait plus. Delogu n'écrit pas, il s'imprime. Il devient sa propre pancarte. Mais, fallait-il vraiment ce nouvel étendard pour cliver ? Non : deux visions irréconciliables s'affrontent sur la question posée. La première considère que le génie se reconnaît à cette capacité rare : oser dire n'importe quoi ou faire n'importe quoi, n'importe quand. La vérité n'a pas d'importance, seuls comptent le volume, le geste, l'assurance, l'élan. Après tout, si des esprits réputés brillants peuvent, sans vaciller, comparer Rima Hassan à Victor Hugo, alors tout devient possible. Même l'idée que Sébastien Delogu serait, quelque part, une forme de génie. La seconde, plus terre à terre, qu'on pourrait appeler l'école Audiard, nous rappelle simplement et en une phrase : « Les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. » À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Club Le Figaro Idées avec Eugénie Bastié Certains diront qu'il n'a pas révisé ses accords de CE1 Pour tenter d'y voir plus clair, retrouvons Sébastien Delogu le 29 juin à Alger. Non pas pour une mission officielle, ni pour des vacances discrètes, mais pour un discours. Mi-privé. Mi-public. Mythique. Je sais, ça fait 150%... Mes circuits frissonnent, mais pas le député, pour qui, avant de se livrer devant des chefs d'entreprise algériens, prouve que sa logique n'a pas de limite. Et, au milieu de cette allocution que les plus virulents compareraient à un TEDx sous acide, tombe une phrase. Une seule. Le point nodal de sa pensée. « La politique néolibérale ont réussi à nous faire croire que produire un bien pour la société est plus important que de monétiser une vidéo TikTok. » Zoomons : « La politique » est singulier, « ont réussi » est pluriel. Un dérapage ? Un effet de style ? Certains diront qu'il n'a pas révisé ses accords de CE1. D'autres verront un acte de résistance aux normes. Une vision « décloisonnée » de la grammaire. Mais, juste derrière, sans laisser l'auditoire respirer, vient le « nous ». Un « nous » flou, extensible, malléable. Delogu ne parle pas pour lui : il parle pour ce « nous » brumeux qui autorise toutes les généralisations… et toutes les fuites. Publicité Fenêtre d'Overton Puis l'uppercut. Le moment où l'on comprend que tout ceci n'est pas une maladresse, mais une démonstration. Delogu ouvre en grand la fenêtre d'Overton et nous livre l'apologie de l'algorithme. Il ne s'agit pas de critiquer la société du spectacle, ni de dénoncer l'emprise des réseaux. Non, il célèbre la monétisation du vide. Il érige la vidéo TikTok au rang de modèle économique. La soumission au clic. C'est le grand renversement… des valeurs. À entendre les cris prépubères s'exalter et à lire les soutiens… scolaires s'enflammer, Delogu ne semble pas être un cas isolé, mais bien l'expression chimiquement pure d'une époque où la conviction remplace la compétence, et où l'aplomb fait office de réflexion. Delogu est l'élève modèle d'un système qui ne valorise plus la connaissance, mais une forme d'irrigation souterraine Alors… Sébastien Delogu est-il un génie ? Je n'ai pas la réponse. Mais une chose semble évidente : il est l'élève modèle d'un système qui ne valorise plus la connaissance, mais une forme d'irrigation souterraine. Et, quoi qu'on en pense, il faut tout de même être un génie, en son genre, pour passer d'un niveau primaire en juin à l'université, fût-elle insoumise, en août. D'ailleurs, cette grande « agora populaire » qui se déroule à Valence ne s'appelle pas « Amphis ». Non. Trop sérieux. Trop républicain. Trop scolaire. Ils ont préféré : « Amfis ». Avec un F. Comme « Phaute ». Il en faut, du génie, pour accoucher d'une trouvaille orthographique pareille. C'est presque signé... Dans l'attente de te lire. Amitiés, Zaza LE DOSSIER SUR LES CONFIDENCES D'UNE IA

Le Caire, Bali, les Bahamas… Quand les destinations de rêve déçoivent les voyageurs
Le Caire, Bali, les Bahamas… Quand les destinations de rêve déçoivent les voyageurs

Le Figaro

timean hour ago

  • Le Figaro

Le Caire, Bali, les Bahamas… Quand les destinations de rêve déçoivent les voyageurs

Influencés par les réseaux sociaux, de nombreux voyageurs se rendent aux pyramides de Gizeh, au temple de Lempuyang ou sur les plages roses des Caraïbes. Mais sur place, la réalité est parfois bien différente des images parfaites repérées sur Instagram. Clichés retouchés, recommandations virales, expériences scénarisées… Les images diffusées en ligne nourrissent l'imaginaire des voyageurs, mais la réalité n'est pas toujours à la hauteur des attentes. Véritables faiseurs de mythes contemporains, les réseaux sociaux ont remplacé les cartes postales et les guides aux pages cornées. Selon une enquête d'Opodo publiée en septembre dernier, 33 % des Français choisissent leur destination en s'inspirant des contenus partagés en ligne, une proportion qui grimpe à plus de la moitié chez les 18-34 ans. Mais cette influence ne garantit pas toujours une expérience satisfaisante : près de 40 % des jeunes adultes reconnaissent avoir déjà été déçus par des expériences bien éloignées des promesses virtuelles. Gizeh : le désert… urbain Publicité Oubliez la quiétude mythique : l'asphalte s'étire jusqu'aux pieds de Khéops. Les pyramides de Gizeh, icônes millénaires de l'Égypte, ne se dressent plus au cœur d'un désert infini, mais au bord d'une ville tentaculaire et bruyante. «J'imaginais un désert à perte de vue. En fait, les pyramides sont presque dans la ville, déplore Juliette, 31 ans, et même entre les pyramides, il y a du béton». Le site, livré au flux incessant de taxis et d'autocars, surprend par sa proximité avec Le Caire. Autour des monuments, l'ambiance est loin d'être contemplative : guides au micro, crépitements d'appareils photo, moteurs vrombissants. À peine sorti du bus, le visiteur est sollicité par des rabatteurs proposant une balade à dos de chameau ou de cheval, souvent avec insistance.. L'insistance est tenace, «parfois lassante», et les promesses de vues «secrètes» s'accompagnent toujours d'un tarif «spécial ami» comme en témoigne la jeune femme. Plus loin, des animaux attendent sous un soleil de plomb, harnachés de selles usées. Reste que, malgré ce contexte très urbain, la silhouette intacte des pyramides conserve une puissance symbolique qui continue de fasciner. À lire aussi Confidentielles ou mythiques : nos 25 adresses préférées au Caire Bali : la 'porte du paradis' reflétée… dans un miroir ? Autre décor façonné par Instagram : le temple de Lempuyang à Bali, perché à plus de 1000 mètres d'altitude. Ce sanctuaire, lieu de pèlerinage depuis des siècles, est désormais mondialement connu pour sa «Gate of Heaven», une arche de pierre ouvrant sur un lac reflétant le volcan Agung. Sur les réseaux, l'image est parfaite. En réalité, le lac… n'existe pas : l'effet repose sur un miroir glissé sous l'objectif par un photographe local. «J'ai attendu trois heures pour trente secondes de photo», raconte Virginie, surprise par l'organisation «presque militaire» du site. Aujourd'hui saturé, il fonctionne à la cadence d'une file d'attente parfaitement réglée. Trois poses, puis «suivant !», explique la mère de famille. L'illusion est fabriquée, mais le lieu, avec sa vue spectaculaire sur le volcan et ses temples cérémoniels, n'en demeure pas moins impressionnant. À lire aussi De vacances paradisiaques à nouveau mode de vie : Bali attire de plus en plus de Français Les plages «roses» : nuances de sable Même phénomène sur les plages dites «roses», de la Crète aux Bahamas. Très partagées en ligne, elles séduisent les voyageurs en quête de rareté. Mais sur place, la teinte s'avère plus subtile qu'escompté : un sable blanc parsemé de fragments de coraux ou de coquillages qui donne, selon la lumière, une nuance à peine rosée. «On a fait le détour pour voir ce sable rose unique», raconte un couple de retour de Crète. «Sous le soleil, la plage semblait blanche. Peut-être légèrement rosée mais rien de comparable aux photos.» Publicité Les filtres et les réglages saturés transforment l'ordinaire en spectaculaire. Pourtant, ces rivages demeurent rares et fragiles, témoins d'un équilibre naturel que les images ne traduisent pas toujours. Une chose est sûre : les réseaux sociaux embellissent à l'excès. Mais une fois sur place, l'œil rétablit les nuances. Derrière les clichés calibrés pour séduire, le voyage conserve sa part d'imprévu, de contrastes et parfois de déception. C'est aussi dans cette réalité, plus complexe et moins lisse, que réside la vérité du voyage. À lire aussi Hugo Clément : «Avec les réseaux sociaux, les effets néfastes du surtourisme sont décuplés»

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