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En Charente, un mort et 4 disparus dans l'incendie d'un gîte pour adultes en situation de handicap

En Charente, un mort et 4 disparus dans l'incendie d'un gîte pour adultes en situation de handicap

FAITS DIVERS - Un incendie dans un gîte accueillant des adultes en situation de handicap en Charente a fait un mort et quatre personnes sont toujours portées disparues, a annoncé ce lundi 28 juillet la préfecture de Charente.
Quatre autres personnes ont été « évacuées vers le centre hospitalier, dont une personne en urgence absolue », précise dans un communiqué la préfecture à propos de ce feu qui s'est déclaré vers 4 h 30 du matin sur la commune de Montmoreau, au sud d'Angoulême.
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Juan-les-Pins : une jeune femme grièvement brûlée en boîte de nuit à cause de shooters enflammés
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Le Figaro

time4 hours ago

  • Le Figaro

Juan-les-Pins : une jeune femme grièvement brûlée en boîte de nuit à cause de shooters enflammés

La victime, âgée de 22 ans, a été transportée en urgence au service des grands brûlés à l'hôpital de la Timone, à Marseille. Elle a été plongée dans un coma artificiel le temps que son état se stabilise. La soirée festive a tourné au drame. Dans la nuit de samedi à dimanche, vers 2h30 du matin, une jeune femme de 22 ans a été grièvement brûlée dans la boîte de nuit You Club, à Juan-les-Pins (Alpes-Maritimes), alors qu'un barman faisait flamber des shooters, ces verres d'alcool servis enflammés. Dans des circonstances encore indéterminées, les flammes se sont propagées sur la victime. Brûlée au deuxième et au troisième degré, cette dernière a été touchée sur 20% du corps. Prise rapidement en charge par les secours dépêchés sur place, elle a été transférée au centre des grands brûlés de l'hôpital de la Timone, à Marseille. Elle a par ailleurs été plongée dans un coma artificiel afin que son état se stabilise. Une enquête judiciaire pour «blessures involontaires avec ITT supérieure à trois mois» a été ouverte, sous la direction du parquet de Grasse. Des vidéos de la soirée et les témoignages des personnes présentes permettront peut-être d'éclaircir les circonstances de ce drame. Publicité Une pratique désormais abandonnée Selon Ici Azur (ex-France Bleu), le personnel aurait d'abord essayé de maîtriser la situation, sans couper la musique ni faire évacuer les lieux. «La moitié de la boîte est sortie, tout le monde était sous le choc», témoigne un client auprès de la radio locale. L'un des cogérants du You Club, Sébastien Taupin, se dit quant à lui «navré» pour la victime. «Si la famille veut nous contacter, je suis prêt à répondre et à aider», confie-t-il encore à la radio. Il assure que la pratique des shots enflammés, «courante depuis plus de vingt ans», est désormais abandonnée dans ses établissements, y compris dans son autre club niçois. Dans un communiqué publié lundi soir sur ses réseaux sociaux, le You Club a présenté ses «excuses les plus sincères» à la victime et à ses proches. Une «enquête interne» est en cours, et des «procédures de sécurité» doivent être revues. La préfecture des Alpes-Maritimes a confirmé de son côté qu'une décision de fermeture administrative serait prise «sur la base des éléments transmis». Ce drame n'est pas sans rappeler celui survenu en novembre dernier à Cannes, où cinq clients avaient été brûlés dans un restaurant du centre-ville après l'embrasement d'une lampe au bioéthanol. L'établissement avait alors écopé d'une fermeture administrative de six mois.

Dunkerque : une cinquantaine de migrants embarque sur un bateau vers l'Angleterre sous les yeux des vacanciers
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Le Figaro

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Dunkerque : une cinquantaine de migrants embarque sur un bateau vers l'Angleterre sous les yeux des vacanciers

Une vidéo publiée par Le Parisien montre quelques dizaines de migrants embarquer sur un pneumatique bondé pour tenter de rallier l'Angleterre. À son bord, des enfants, et très peu de gilets de sauvetage. Un canot pneumatique noir bondé, dont les boudins peinent à sortir de l'eau. Juchés sur les fragiles flotteurs, une cinquantaine de migrants, serrés les uns contre les autres, qui s'agrippent aux poignées à mesure que le bateau s'éloigne. Voilà la scène à laquelle ont assisté les vacanciers sur la plage de Malo-les-Bains à Dunkerque, ce dimanche 27 juillet, filmée par Le Parisien. «Je n'ai jamais vu un truc pareil», s'est alertée auprès du quotidien une habitante de cette ville du Nord, qui a noté à bord de l'embarcation des enfants dont deux bébés, et surtout l'insuffisance du nombre de gilets de sauvetage. Quelques minutes après le départ du semi-rigide, qui tanguait fortement au rythme des vagues, sept personnes étaient déjà tombées à l'eau, a encore indiqué la Dunkerquoise. «Il nous arrive de ramasser [des vêtements de migrants] en ce moment avec les nombreux départs. (...) C'est une situation catastrophique», a également affirmé un saisonnier travaillant sur la plage de Dunkerque qui souhaitait rester anonyme. Publicité Des migrants refusent d'être débarqués «Lors de certaines opérations de sauvetage, il arrive qu'une partie des migrants refuse d'être secourue par les moyens français», a précisé la préfecture du Nord auprès de Or, le droit de la mer interdit bien aux forces de l'ordre terrestres d'intervenir dans l'eau pour stopper les traversées, au risque de faire chavirer le bateau. La préfecture indiquait qu'une opération de sauvetage avait été menée le 29 juillet au large de Gravelines pour venir en aide à des migrants qui avaient pris la mer. Au total, 45 personnes ont été secourues. Mais d'autres, refusant d'être assistés, ont poursuivi leur route vers les côtes britanniques. «Dans cette configuration, compte tenu des risques encourus par les migrants en cas d'actions contraignantes pour les obliger à embarquer sur les moyens de sauvetage de l'État (chute à la mer, choc thermique, traumatismes divers), le choix est fait de les laisser poursuivre leur route.» En revanche, les migrants en danger de se noyer doivent être secourus, impose le droit international. La Convention internationale pour la sauvegarde de la vie humaine en mer, adoptée en 1974, ainsi que la Convention des Nations unies sur le droit de la mer imposent que tout navire ayant connaissance d'une situation de détresse doive s'arrêter s'il est à proximité ou bien se dérouter s'il est au plus proche de la mer, dans la mesure où le bateau et l'équipage ne sont pas mis en danger à leur tour. En revanche, les personnes sauvées doivent ensuite être débarquées dans «un lieu sûr», et non pas obligatoirement dans «le port le plus proche», précise l'Organisation maritime internationale (OMI). Depuis le début de l'année, un peu plus de 16.000 migrants ont atteint les côtes britanniques depuis les plages du nord de la France, selon les chiffres du Home office. C'est 42 % de plus qu'à la même période l'année dernière.

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« Les gens ignorent les panneaux » : à cause de Waze, un village de l'Oise prend un arrêté pour interdire la circulation

« Il fallait voir comment c'était lundi dernier ! Il y avait tellement de voitures et de camions en flux ininterrompu qu'on ne pouvait même pas traverser la route, c'était infernal. » Cette employée municipale soutient la décision prise dès le lendemain de ces embouteillages inattendus, mardi 23 juillet, par la maire de la commune concernée : les routes d'Ève, un village de 400 âmes au sud-est de l'Oise , sont totalement interdites à la circulation. Seuls les riverains sont autorisés à forcer le barrage sur lequel le mot « Déviation » est inscrit. Une décision radicale soutenue par la sous-préfecture de Senlis pour remédier aux désagréments dus aux travaux de rénovation sur la RN2 . Du 22 juillet au vendredi 1er août, le tronçon entre Le Plessis-Belleville et Saint-Mard ( Seine-et-Marne ) est concentré sur une seule voie de circulation, avec des sorties fermées.

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