logo
Football - Matches amicaux : La Juventus l'emporte face à Dortmund

Football - Matches amicaux : La Juventus l'emporte face à Dortmund

L'Équipe3 days ago
Un match de présaison particulier au Signal Iduna Park pour le Borussia Dortmund : c'était le dernier de la carrière de la légende Mats Hummels. Les Borussen se sont inclinés sur le score de 2 buts à 1 face à une Juventus convaincante et efficace.
À voir sur L'Équipe
« Je ne suis pas prêt pour entraîner Barcelone », admet Cesc Fabregas, l'actuel entraîneur de Côme
Les retrouvailles touchantes entre Hugo Lloris et Heung-Min Son, anciens partenaires à Tottenham
Le profil d'Aitana Bonmati, nommée au Ballon d'Or 2025
Le profil de Gianluigi Donnarumma en vidéo, nommé au Ballon d'Or 2025
Guardiola : « On savait que Reijnders était un joueur spécial »
Arteta : « Gyökeres peut marquer dans n'importe quelle situation »
Le replay de Chelsea - AC Milan
Le replay de Dortmund - Juventus (MT1)
Le replay de Chelsea - AC Milan (MT2)
Le replay de Chelsea - AC Milan (MT1)
Le résumé de Chelsea - AC Milan
Mats Hummels prend sa retraite sous les hommages
Luka Modric fait ses débuts avec l'AC Milan
Chelsea présente le trophée de la Coupe du monde des clubs à Stamford Bridge
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

Adrian Mannarino à propos de Jannik Sinner qui l'a battu à Cincinnati : « Il est dans une autre dimension »
Adrian Mannarino à propos de Jannik Sinner qui l'a battu à Cincinnati : « Il est dans une autre dimension »

L'Équipe

time29 minutes ago

  • L'Équipe

Adrian Mannarino à propos de Jannik Sinner qui l'a battu à Cincinnati : « Il est dans une autre dimension »

La marche était trop haute pour Adrian Mannarino qui s'est incliné face à Jannik Sinner (6-4, 7-6 [4]). « Cela faisait quelque temps que vous n'aviez pas affronté Jannik Sinner (L'Italien mène désormais 4-0 dans leurs face-à-face). Là, il est à son prime. Quand on est face à lui, on comprend pourquoi il est n°1 mondial ? Oui... Même si ça faisait longtemps que je ne l'avais pas joué, je l'avais vu jouer, notamment à Roland-Garros. Je l'avais aussi vu s'entraîner en bord de court. C'est vrai qu'il est passé dans une autre dimension par rapport à celui que j'avais joué dans le passé. Il frappe vraiment très bien la balle, il met constamment la pression. Même quand il rate un peu, on n'a jamais l'impression de pouvoir prendre ses marques. Je ne sais pas si c'est tout le temps pareil, mais chaque fois qu'il a eu besoin de sortir un bon service, de faire un bon coup, il l'a fait. Peut-être que je ne lui ai pas assez mis la pression ou qu'il ne se sentait pas en danger, mais il est resté assez relax. Il a vraiment bien joué chaque fois que c'était important et ça a fait la différence. « Il frappe vraiment très bien la balle, il met constamment la pression. Même quand il rate un peu, on n'a jamais l'impression de pouvoir prendre ses marques. » Adrian Mannarino Il a quand même fallu qu'il aille la chercher cette différence. Notamment en fin de deuxième set. À ce moment, j'ai l'impression de bien jouer, mais c'est quand même lui qui me met sous pression. Quand j'arrive à me procurer des balles de jeu, c'est après de longs échanges où j'ai le coeur qui bat fort et peut-être que je ne prends pas les bonnes décisions. Mais c'est lui qui me met dans cet état-là. C'est bien joué de sa part. J'étais content d'arriver au tie-break à un moment où je le mettais sous pression. Mais il a répondu présent. À 5-4, il sort deux aces qui sont intouchables, bravo à lui. Mannarino cède face à Sinner En dehors de cette défaite, cela restera quand même un tournoi positif, non ? Oui, c'est une grosse satisfaction. Honnêtement, l'objectif était de me qualifier et de passer peut-être un tour ou deux. On espère toujours faire un super résultat quand on arrive sur un tournoi, mais c'était un peu inespéré d'arriver en huitièmes de finale. Peut-être que dans un mois ou deux, en prenant le rythme de ces gars-là, je peux espérer arriver à ce stade-là. Mais en partant des qualifs, en n'ayant pas eu de grands résultats ces derniers temps, c'est une grande satisfaction. Si ça peut me permettre d'éviter les qualifs dans le futur, ça m'aidera vachement. Même si ça ne reste que deux matches, dans la tête ça épuise un peu. C'est toujours plus de pression, plus de fatigue. Le niveau en qualifs s'est bien resserré, si tu ne fais pas un bon match, tu passes à la trappe. Ce ne sont pas des joueurs exceptionnels, mais de très bons joueurs qui t'obligent à être présent dès le premier tour. À Wimbledon, j'arrive au troisième tour, mais le fait d'avoir joué les qualifs, ça épuise dans la tête. J'ai l'impression d'être en demi-finales alors que je n'ai gagné que deux matches dans le tableau. J'ai un peu la même sensation ici. Mais c'est super, j'engrange quelques points et c'est sympa de se sentir à nouveau bien sur le court. « A Wimbledon, j'arrive au troisième tour, mais le fait d'avoir joué les qualifs, ça épuise dans la tête. J'ai l'impression d'être en demi-finales alors que je n'ai gagné que deux matches dans le tableau. » Il y a eu une très longue interruption à cause de la pluie. Ce n'est pas la première de votre carrière, mais comment l'avez-vous vécue ? Ce n'est jamais marrant, mais elle a été bénéfique. J'ai pu me rendre compte de ce que je n'avais pas fait de bien au début du match. Je n'étais peut-être pas assez mobilisé à l'entame. Je me suis un peu plus bougé le cul à l'échauffement avant de revenir sur le court. Même si je savais qu'il y avait un fond de fatigue, je savais aussi que si je ne rentrais pas sur le court à 200 % ça allait être compliqué. J'ai appuyé sur l'échauffement et je me sentais mieux. Pour être honnête, on s'arrête à 6-4, 1-2 et ça peut paraître accroché, mais à ce moment, vraiment, il n'y avait pas de match, il dominait. Mais j'ai pu le pousser un peu plus dans la deuxième partie et c'est satisfaisant. »

Scruté, sollicité, coupable puis décisif  : Lucas Chevalier, récit d'une sacrée première avec le PSG en Supercoupe d'Europe
Scruté, sollicité, coupable puis décisif  : Lucas Chevalier, récit d'une sacrée première avec le PSG en Supercoupe d'Europe

L'Équipe

time3 hours ago

  • L'Équipe

Scruté, sollicité, coupable puis décisif : Lucas Chevalier, récit d'une sacrée première avec le PSG en Supercoupe d'Europe

Coupable d'une faute de main sur le deuxième but de Tottenham mercredi, Lucas Chevalier, très attendu après l'éviction de Gianluigi Donnarumma au PSG, a terminé le match comme l'un des héros en détournant un tir au but. Il se savait regardé, épié, analysé, pour cette première. Ses moindres faits et gestes allaient être décortiqués et comparés à ceux de Gianluigi Donnarumma. Le scénario de ses débuts ne lui aura laissé aucun répit, aucun temps d'acclimatation. Imaginez un peu la pression sur les épaules d'un jeune homme de 23 ans, après seulement une petite semaine à Paris ! Ce n'était pas qu'un match de reprise pour lui, mais les prémices d'une aventure qu'il espère la plus longue possible. Le contexte n'empêchera pas de longs débats autour de Lucas Chevalier et de Donnarumma dans les prochains jours mais, à travers cette Supercoupe, l'ancien Lillois aura tout de même donné une réponse positive sur ce qu'il peut apporter aux champions d'Europe. On a bien cru, d'abord, que cette erreur de main sur une tête de Cristian Romero juste après la pause (48e) allait tout gâcher pour lui. Que l'histoire allait ensuite retenir que Donnarumma avait de meilleures statistiques que le Français sur les tirs au but. Le PSG remporte la Supercoupe d'Europe aux tirs au but Mais Chevalier est né sous une bonne étoile. Celle, sûrement, des grands gardiens. Le néo-Parisien aura cru être l'homme malheureux de cette finale ; il l'a terminée comme l'un des héros, en détournant le troisième tir au but des Spurs, tiré par Micky Van de Ven. « C'est ça le PSG, c'est la pression ! avouait Marquinhos au micro de Canal+ après le match. Il a connu Lille, mais là c'est encore autre chose, c'est le PSG. (...) C'est un gardien de haut niveau, bienvenue à lui. » Le capitaine l'a d'ailleurs laissé soulever le trophée juste après lui sur la pelouse. On ne peut pas mettre son erreur de côté, mais le reste de son match a été convaincant. Surtout, il a montré ce qu'il pouvait apporter au jeu parisien grâce à la qualité de son jeu au pied. Ses coéquipiers n'ont pas hésité à le solliciter. Son premier titre en tant que numéro 1 Il n'y a pas eu de panique en début de rencontre. Vingt premières minutes où il a beaucoup joué au pied, toujours auprès de l'un de ses deux défenseurs centraux. Puis la vingt-troisième minute est arrivée, avec cette première claquette sur une frappe de Richarlison. Luis Enrique a ensuite profité de la pause fraîcheur pour lui expliquer qu'il ne devait pas hésiter à allonger ses ballons (26e). Message reçu deux minutes plus tard. L'histoire retiendra aussi ce premier but encaissé (39e) : après un superbe arrêt réflexe devant Romero, ses coéquipiers n'ont pas su sublimer son geste en empêchant Van de Ven de suivre et de marquer. Quarante-sept minutes solides... jusqu'à cette faute de main. Auprès de Safonov après la rencontre, le gardien a pris le temps d'expliquer son erreur : une anticipation malheureuse, avec un appui sur sa droite alors que la tête est partie à gauche. Vidéo de la séance de tirs au but victorieuse du PSG Plus d'un se serait effondré. Pas lui. Le Français a continué de diffuser du calme, comme il l'a fait tout au long de la journée. Jusqu'au début du match, il a forcément dû trouver le temps un peu plus long que d'habitude. Pressé de débuter avec le PSG et sous pression depuis l'annonce de l'éviction de Donnarumma, le gardien numéro 2 des Bleus attendait ce moment, toujours confiant. Il a beau avoir été patient pendant les négociations entre les deux clubs, montrer du calme et de la sérénité lors de ses débuts au Campus PSG, il n'en restait pas moins un joueur de 23 ans à la conquête d'un titre - son premier en club en tant que numéro 1. Symbole d'un moment pas comme les autres : on a vu un homme très concentré dès l'échauffement, saluant d'un petit signe de la main les supporters parisiens, qui lançaient un premier chant à sa gloire, pendant que les écrans géants diffusaient les exploits du PSG la saison dernière - et donc les arrêts de Donnarumma. Les siens font aussi, désormais, partie de l'histoire du club.

Vainqueur de Tottenham, le PSG devient le premier club français vainqueur de la Supercoupe d'Europe
Vainqueur de Tottenham, le PSG devient le premier club français vainqueur de la Supercoupe d'Europe

L'Équipe

time3 hours ago

  • L'Équipe

Vainqueur de Tottenham, le PSG devient le premier club français vainqueur de la Supercoupe d'Europe

Le PSG a remporté la première Supercoupe d'Europe de son histoire, en s'imposant ce mercredi contre Tottenham (2-2, 4 -3 aux t.a.b.). C'est également la première fois qu'un club français soulève ce trophée. En remportant la Supercoupe d'Europe face à Tottenham (2-2, 4-3 aux t.a.b.) ce mercredi, le PSG est devenu le premier club français à soulever ce trophée. Seule équipe du Championnat de France à avoir pris part à la compétition, le PSG l'avait déjà disputée sous son ancienne formule (affrontement aller-retour jusqu'en 1998) mais s'était lourdement incliné face à la Juventus, en 1996 (défaite 9-2 au cumul des deux matches). Traditionnellement, la Supercoupe d'Europe réunissait chaque année le vainqueur de la Ligue des champions et celui de la Coupe d'Europe des vainqueurs de Coupe. Mais depuis la disparition de la C2, en 1999, elle oppose le club titré en C1 à celui vainqueur de la Ligue Europa. L'OM, champion d'Europe en 1993, n'avait pas pu disputer la rencontre à la suite de l'affaire VA-OM. Les notes de PSG-Tottenham

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store