Argentine - Angleterre à suivre en direct, Test-matches de Test-matches été 2025 (12/07/2025)
Le coup d'envoi de ce match, qui se déroulera à l' Estadio San Juan del Bicentenario (San Juan) sera donné le samedi 12 juillet à 21h40.
Voici la composition probable des deux équipes pour ce match :
Argentine: Elizalde - Moroni, Cinti Luna, Piccardo - Mendy - Carreras, Benitez-Cruz - Matera, Gonzalez Samso, Grondona - Rubiolo, Petti - Gomez Kodela - Montoya - Gallo
Angleterre: Steward - Roebuck, Northmore, Atkinson - Muir - Ford - Spencer - Willis, Underhill, Curry - Coles, Ewels - Heyes - George - Baxter
Le match, à suivre en direct sur Canal+ Sport, sera arbitré par Ramos.
Vous pouvez aussi retrouver plus d'informations concernant les équipes et effectifs grâce à nos fiches détaillées : Argentine et Angleterre.
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« Il sent les bons coups » : qui est Lyam Akrab, le serial marqueur des Bleuets ?
Le talonneur Lyam Akrab (19 ans) sera l'un des hommes forts des Bleuets à l'occasion de la demi-finale du Championnat du monde U20 face à la Nouvelle-Zélande, ce lundi (18 heures, en direct sur la chaîne L'Équipe). Présentation. Le rugby pour les copains et les contacts... Lyam Akrab a grandi dans un petit village, Villard-Bonnot, à une vingtaine de minutes au nord-est de Grenoble. Il a commencé le rugby dès l'âge de cinq ans, après un passage éclair au football. « Ma mère s'est très vite rendu compte que ce n'était pas fait pour moi, sourit le Bleuet. J'étais déjà un peu costaud, donc je bousculais tout le monde. Je me servais de mes épaules pour récupérer le ballon. Elle m'a finalement inscrit au rugby. » Le jeune Isérois signe sa première licence au cercle sportif Grésivaudan Belledonne, où il évolue pendant presque dix ans avant un passage d'une saison au FC Grenoble, dans la catégorie Gaudermen. « Ce qui me plaisait, c'était le côté très familial du rugby, se remémore-t-il. J'adorais être avec les copains. J'étais aussi un peu turbulent et j'aimais qu'il y ait du répondant face à moi. J'aimais prendre le ballon et aller au contact. » Montpellier comme tremplin À l'âge de 14-15 ans, Lyam Akrab prend la direction de Montpellier. A-t-il été repéré par le MHR ? Pas du tout. « C'est ma mère qui souhaitait que je change d'air. Comme elle ne voulait pas que je parte seul, elle a choisi Montpellier, car elle avait une amie, que je considère comme une "tata ", qui vivait là-bas. Elle a envoyé un courrier de candidature au MHR et j'ai été accepté pour intégrer leur centre de formation. » L'adolescent débarque comme pilier droit. Mais il est très rapidement repositionné au poste de talonneur. Puis c'est à partir de la catégorie Crabos que Lyam Akrab prend véritablement conscience de son potentiel. « Le déclic a été lors de ma première sélection avec l'équipe de France des U18 face à l'Italie. J'ai compris que ça devenait sérieux. Depuis, je donne tout pour y parvenir. » Avec le MHR, il a connu ses premières feuilles de matches en fin de saison 2023-2024 (deux fois remplaçant). Cette saison, il a disputé huit matches (3 de Top 14 et 5 de Challenge), dont trois dans la peau d'un titulaire. Et il a inscrit trois essais. Un record d'essais lors du dernier Tournoi Lyam Akrab s'est fait un nom lors du dernier Tournoi des 6 Nations U20. Avec sept essais inscrits en cinq matches, le talonneur des Bleuets a battu le record d'essais pour un avant dans la compétition. « Je crois que je n'étais pas prêt à battre ce record, souffle-t-il. J'ai traversé beaucoup d'émotions. J'étais surtout très content et très fier. Quand on m'a dit que j'avais battu ce record, je n'y croyais pas ! » Le numéro 2, titulaire lors des cinq rencontres, a d'abord inscrit un doublé face au pays de Galles (victoire 63-19), puis un autre face à l'Italie (victoire 5-58) et encore un face à l'Irlande (victoire 12-22). Il a marqué un dernier essai face à l'Écosse (victoire 45-40, synonyme de victoire finale dans le Tournoi). Il n'est finalement resté muet que lors de la défaite en Angleterre (27-10). « Ce qui est dingue, c'est que je n'avais jamais inscrit de doublé avant ! », révèle-t-il. Lyam Akrab a logiquement été désigné « meilleur joueur du Tournoi ». « Remporter ce trophée, je ne m'y attendais pas du tout, avoue-t-il. Ça a toujours été un rêve, que je pensais un peu irréalisable. Ce Tournoi m'a donné beaucoup de confiance. Mon objectif est clair : être champion du monde et continuer sur ma lancée ». Lors des trois matches de poule du Championnat du monde, le talonneur des Bleuets a inscrit deux essais, face à l'Espagne et l'Argentine.


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34 minutes ago
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Coupe du monde U20 : France - Nouvelle-Zélande, des retrouvailles encore une fois en demi-finales
La France et la Nouvelle-Zélande s'affrontent pour une place en finale de la Coupe du monde des U20 ce lundi (18 heures en direct sur la chaîne L'Équipe). Un remake de la précédente demi-finale remportée par les Bleuets (55-31). L'équipe de France, en laissant (volontairement ou pas) un point de bonus offensif à l'Argentine lors du dernier match de poule (52-26), ne croisera pas la route de son meilleur ennemi anglais, champion en titre et donc déjà éliminé. En revanche, pour cette demi-finale, les Bleuets vont retrouver un adversaire bien connu : la Nouvelle-Zélande (18 heures en direct sur la chaîne L'Équipe). Ce sera le cinquième affrontement à ce stade de la compétition face aux Baby Blacks lors des dix derniers Championnats du monde (les éditions 2020, 2021 et 2022 n'ont pas eu lieu). Le score est de parité : 2-2. Si les Néo-Zélandais ont gagné en 2015 (45-7) et 2017 (39-26), les Français ont remporté les deux derniers affrontements en 2018 (16-7) et en 2024 (55-31). L'an dernier, la demi-finale était déjà programmée un 14 juillet. Place à un nouveau feu d'artifice tricolore ? Les hommes de Cédric Laborde sont en pleine confiance après avoir traversé la phase de groupes sans encombre avec trois victoires (49-11 contre l'Espagne, 35-21 face au pays de Galles et 52-26 contre l'Argentine) et 20 essais au compteur ! « Les joueurs sont concentrés, les entraînements sont de qualités, on ressent encore plus d'implication, nous continuons de bien travailler », a expliqué le manager des Bleus. Et les Baby Blacks dans tout ça ? « Il faut démystifier cette équipe, cela fait plusieurs années que nous les battons a-t-il poursuivi. Nous bénéficions du gros travail effectué par les précédentes équipes de France jeunes. Ils imposent beaucoup de pression à ses adversaires avec beaucoup de rythme et des lancements programmés, il faudra y répondre. Mais on a bien bossé pour y parvenir. Mais j'espère qu'ils sont, eux, aussi impressionnés par notre équipe ! » Le match est lancé. Une cinquième finale de rang ? Seul ombre au tableau côté tricolore : un nouveau forfait, le troisième depuis le début de la compétition après ceux de Lucas Vignères et de Noa Traversier. Le deuxième-ligne Bartholomé Sanson a été remplacé par Roméo Martin-Bonnard. Mais là encore, pas de stress du côté des jeunes Tricolores. « Il va nous manquer, mais je ne suis pas inquiet, a assuré Laborde. Le groupe est étoffé. Nous avons également parlé des blessures avant la compétition. Ça ne devrait pas affecter le groupe. C'est malheureux pour l'individu, mais on n'a pas le choix. Nous avançons. » Ils avancent vers leur objectif : la qualification pour une cinquième finale de rang. Mais surtout récupérer le titre de champion du monde perdu face aux Anglais l'an passé (21-13).

L'Équipe
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« Ce titre veut dire beaucoup de choses » : Jannik Sinner est devenu à Wimbledon un champion tout-terrain
Passé à un point du titre à Roland-Garros il y a cinq semaines, proche de l'élimination au All England avant que Grigor Dimitrov ne se blesse en huitièmes de finale, l'Italien est resté debout pour conquérir face à son rival, Carlos Alcaraz, son quatrième Grand Chelem, le premier made in Italie à Wimbledon. Cinq semaines plus tard, les mauvais souvenirs sont définitivement ensevelis. Dimanche, Jannik Sinner a fait bouillir à grandes eaux les noires pensées qui devaient, forcément, loger encore dans un coin reculé de sa tête. Lessivées, expulsées les tristes réminiscences de trois balles de match d'affilée tombées dans le vide, un soir de folie douce en finale de Roland-Garros. Pour Carlos Alcaraz, l'éclat et la légende. Pour Sinner, ce soir-là, la douloureuse meurtrissure. « Émotionnellement, la défaite à Paris a été très dure », reconnaissait au milieu du court le héros du jour. « Mais finalement, peu importe comment tu perds. 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Mais dimanche, des deux têtes de gondole du tennis mondial, c'est la tignasse rousse de Sinner qui s'est élevée le plus haut. Et de loin. Incontestable et plus fort en tout. L'Italien a mieux servi, mieux retourné, notamment les deuxièmes balles de « Carlitos » qu'il a cherché à agresser sans cesse. Son revers long de ligne a fait mal, son agressivité, son audace, sa volonté de gagner du terrain et de venir finir au filet furent des marqueurs bien plus visibles, très étonnamment, que dans le jeu du Murcien, délesté dimanche de sa créativité habituelle. Jamais vraiment stable, jamais vraiment ancré, pas vraiment inspiré, Alcaraz. Une inconstance doublée, en l'occurrence, d'une certaine impuissance, presque surprenante dans les deux dernières manches. « C'est toujours difficile de perdre une finale de Grand Chelem », convenait le quintuple galonné qui... n'en avait encore pas perdu jusque-là. « Dans ce match, j'ai eu des moments où je me suis senti bien, d'autres parfaitement bien et d'autres où je ne savais pas quoi faire. J'ai eu des moments de frustration qui m'ont un peu bloqué mentalement. Je sentais que je ne lui faisais pas mal de fond de court. Il a joué un tennis plus complet que moi. » Plus jeune joueur de l'ère Open à disputer quatre finales de Majeur d'affilée, Sinner vient chercher sur gazon un blason manquant. Mais surtout, il prouve avec éclat qu'il est, lui aussi, un champion tout-terrain, même si l'herbe a quitté depuis belle lurette le cycle des années folles. Un numéro un mondial incassable Après l'Open d'Australie glané dans les remous, les suspicions et les remugles de son contrôle positif au clostébol en début d'année, l'Italien prouve surtout, une fois de plus, qu'il peut se relever de tout. D'un sacre à Roland-Garros touché du doigt, d'un Majeur britannique gagné sans préparateur physique ni physio attitrés. Après Iga Swiatek, sacrée samedi, les deux stars rattrapées par la patrouille antidopage en 2024 sortent donc de Wimbledon en pleine lumière. Et Sinner caracole aujourd'hui en tête du classement. Loin devant tout le monde, avec 3 430 points d'avance sur « Carlitos ». Les autres existent à peine. Et il faudra être sacrément fort pour se faire une place entre ces deux jeunes hommes-là, qui n'aiment rien d'autre que de couper la poire en deux, même si Sinner tempère encore quand on évoque la rivalité naissante et les élogieuses comparaisons avec un trio qui fit, vingt ans durant, la belle gloire du tennis mondial. 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