
Mercato : Reinildo a signé à Sunderland, Chemsdine Talbi en approche
Reinildo va devenir le premier joueur mozambicain de l'histoire de la Premier League. Comme pressenti, l'ancien latéral de Lille (2019-2022), âgé de 31 ans, qui était arrivé en fin de contrat avec l'Atlético de Madrid a signé, selon nos informations, un contrat de deux ans avec Sunderland. Sa venue devrait être officialisée ce mardi dans l'après-midi.
Par ailleurs, Chemsdine Talbi (20 ans), le jeune attaquant belge du Club Bruges (où il est en contrat jusqu'en 2027), est tout proche de rejoindre lui aussi les Black Cats. Il est actuellement en train de passer sa visite médicale dans le Nord de l'Angleterre. Si celle-ci se déroule bien, Talbi signera ensuite un contrat de 5 ans avec Sunderland, qui devra s'acquitter d'une indemnité d'environ 20 millions d'euros.
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Parisien
9 minutes ago
- Le Parisien
PSG : le club confirme l'arrivée de Mathieu Le Scornet comme directeur technique du centre de formation
Comme annoncé dans nos colonnes le 24 juin dernier , Mathieu Le Scornet rejoint le PSG en tant que directeur technique du centre de formation et préformation. Le club parisien a confirmé sa nomination dans un communiqué publié ce mercredi, en début d'après-midi. L'ancien formateur du Stade Rennais, passé par Strasbourg où il dirigeait l'équipe réserve (N3) la saison dernière, remplace Cyrille Carrière pour ce poste stratégique au sein de l'académie. « Sous la responsabilité directe du Directeur Sportif du Centre de Formation & Préformation, Yohan Cabaye, il sera en charge du management de l'ensemble du staff technique du Centre de Formation & Préformation et de veiller à la bonne coordination avec les différents départements sportifs présents autour des joueurs », écrit le PSG sur son site Internet. Pendant treize ans à Rennes, il a notamment travaillé aux côtés d' Ousmane Dembélé et Désiré Doué.


Le Figaro
9 minutes ago
- Le Figaro
Mercato : «Je sais que l'OM va m'aider à me développer», lance CJ Egan-Riley, jeune défenseur anglais
Arrivé libre à l'Olympique de Marseille, l'international espoir anglais s'est exprimé ce mercredi devant la presse. CJ Egan-Riley, le jeune défenseur anglais recruté cet été par l'OM, a expliqué mercredi vouloir «être comme une éponge» pour «continuer à progresser» à Marseille. «Je crois qu'il y a beaucoup de choses où je suis bon et beaucoup de choses où je dois progresser. Je sais que l'OM va m'aider à me développer», a expliqué Egan-Riley en conférence de presse. «Je veux être une éponge. Je veux apprendre et continuer à progresser. Je pense qu'il y a des marges de progression dans tous les secteurs», a-t-il ajouté. Vainqueur cet été de l'Euro Espoirs avec l'Angleterre, comme son équipier à l'OM Jonathan Rowe, Egan-Riley (22 ans) est arrivé libre à l'OM à la fin de son contrat avec Burnley, avec qui il a fini 2e de Championship et donc promu en Premier League. «J'ai parlé avec Jonathan (Rowe), je lui ai posé des questions sur la ville et le club. Et il n'avait que des bonnes choses à dire. Il m'a dit que j'avais pris la bonne décision en venant ici», a déclaré le joueur, formé à Manchester City. Publicité «Je suis dans un très gros club, où la concurrence est logique» «Mon objectif, c'est de jouer. Mon temps de jeu dépendra de mon travail et de ce que décidera le coach. Mais je veux aider l'équipe et m'améliorer. Je sors d'une très bonne saison mais je sais que je suis dans un très gros club, où la concurrence est logique», a encore déclaré le jeune défenseur. L'OM, qui disputera cette saison la Ligue des Champions, part ce jeudi pour une semaine de stage aux Pays-Bas. Les hommes de Roberto De Zerbi passeront ensuite une semaine en Espagne avant de finir leur préparation à Marseille. Six matches amicaux sont au programme, dont deux au Vélodrome, les 2 et 9 août contre le FC Séville et Aston Villa.


L'Équipe
29 minutes ago
- L'Équipe
« Envie de profiter et de donner le meilleur de moi-même » : Romain Langasque confiant avant le British Open
Romain Langasque dispute cette semaine son sixième British Open. Le Français s'est confié à l'issue de sa dernière partie d'entraînement mercredi. « Romain, dernière journée d'entraînement ce mercredi au British Open, comment vous sentez-vous ?J'ai fait une très bonne reco hier (mardi), une très bonne reco aujourd'hui (mercredi). Mon jeu monte en puissance et je me sens vraiment très bien, sincèrement. C'était top dans des conditions parfaites. Justement, quelle valeur ont des parties d'entraînement dans les conditions parfaites quand on sait que le temps va changer les prochains jours ?C'est vrai que là, ce n'est pas vraiment la réalité. Il fait très beau, il y a très peu de vent. Même celle d'hier, c'était un vent opposé dès deux premiers jours. Demain (jeudi), ce sera un parcours qui va vraiment être différent de ce que j'aurais vu pendant les recos mais on prend des infos et on essaye d'avoir des repères. On regarde un peu les roughs, les tours de green, on essaye des coups, les bunkers pour voir quels clubs peuvent passer ou non. C'est vraiment de l'observation plus que du jeu. Mais c'est aussi très agréable de travailler dans ces conditions-là. Ça permet de prendre le temps et de ne pas être en train de batailler avec la pluie. « Ce sont des joueurs du PGA Tour qui jouent très bien aux Etats-Unis. Pour moi, ça me fait juste réaliser qu'ils ont deux bras, deux jambes et qu'ils ne sont pas forcément meilleurs que nous » Vous avez fait votre partie d'entraînement avec Martin Couvra mais aussi Sahith Theegala. C'est bien d'avoir des joueurs comme lui dans une partie ?Ce sont des joueurs du PGA Tour qui jouent très bien aux États-Unis. Pour moi, ça me fait juste réaliser qu'ils ont deux bras, deux jambes et qu'ils ne sont pas forcément meilleurs que nous. Martin et moi, on joue largement aussi bien, peut-être même mieux que beaucoup de mecs là-bas. Encore une fois c'était sympa de voir autre chose que ce qu'on voit en Europe. Le plus impressionnant ou plutôt la plus grosse différence qu'on a entre eux et nous, c'est le détachement. Ils tapent des coups, ils jouent, ils sont tranquilles. Je trouve que ça, c'est une vraie différence, un peu à l'image d'un Dustin Johnson. Même si lui, c'est un peu l'extrême, mais voilà, c'est tranquille. Il est arrivé, il tape ses coups. S'il est mauvais il en retape un. Il n'y a pas de drame, il y a pas stress, C'est ça que je retiens le plus, dans l'attitude des Américains. ils sont très détachés, chill. Vous êtes de retour au British avec une petite revanche à prendre sur l'an passé où vous aviez dû abandonner ?C'est vrai que l'année dernière, je crois que je n'ai jamais eu d'émotions aussi hautes et aussi basses en 15 jours. Je fais 3e au Scotch Open (Écosse), qui est sûrement une de mes plus belles performances en carrière vu le champ de joueur qu'il y avait. La semaine d'après, je dois abandonner après 8 trous au British Open qui est pour moi le plus beau tournoi du monde. Il y a une atmosphère et une énergie incroyable et c'est un type de jeu qui me convient très bien. Il faut manier la balle, il faut créer, imaginer. C'est un golf qui me parle. Une revanche ? je ne sais pas mais en tout cas, il y a beaucoup d'envie de profiter et de donner le meilleur de moi-même. On vous a vu à côté d'un jeune supporter, dans les cordes. c'est Henry, un petit qui me suit avec son papa depuis 3 ans, à chaque British. Ils sont adorables et pas du tout envahissants. Hier (mardi), je l'ai pris avec moi pendant 3 trous, il était comme un fou et ce matin je l'ai fait putter sur un green. Il s'en souviendra toute sa vie. Et je me dis que si j'avais été à sa place, j'aurais kiffé pouvoir vivre un moment comme ça. »