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Un homme a été victime d'une tentative de meurtre à Roxton Falls

Un homme a été victime d'une tentative de meurtre à Roxton Falls

La Presse04-07-2025
Les policiers de la Sûreté du Québec (SQ) de la MRC d'Acton ont été informés, vers 23 h jeudi soir, d'une personne atteinte de projectiles sur le 11 e Rang.
Un homme a été victime d'une tentative de meurtre à Roxton Falls
Un homme a été victime d'une tentative de meurtre survenue jeudi soir à Roxton Falls, en Montérégie.
La Presse Canadienne
Les policiers de la Sûreté du Québec (SQ) de la MRC d'Acton ont été informés, vers 23 h jeudi soir, d'une personne atteinte de projectiles sur le 11e Rang.
La victime, un homme dans la quarantaine, a été blessée gravement. Il se trouvait toutefois dans un état stable au centre hospitalier vendredi matin.
« Selon les premières informations, les suspects auraient fait feu en direction de la victime avant de fuir les lieux en véhicule. Une opération policière a été déclenchée suite à cela dans le but de localiser ces individus », a expliqué Camille Savoie, porte-parole de la SQ.
Aucune arrestation n'avait encore été effectuée en lien avec cette affaire vers 8 h vendredi.
Une enquête est menée par le service des enquêtes sur les crimes majeurs de la SQ, avec l'assistance du service de l'identité judiciaire.
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« Il n'y a plus d'espoir de retrouver de survivants »
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La Presse

time3 hours ago

  • La Presse

« Il n'y a plus d'espoir de retrouver de survivants »

Des bénévoles retirent des débris des inondations meurtrières dans le fleuve Guadalupe à Center Point, au Texas, vendredi. « Il n'y a plus d'espoir de retrouver de survivants » Des montagnes d'arbres déracinés. Des carcasses de véhicules récréatifs encastrées dans plusieurs mètres de boue. Et cette odeur, poignante : celle de la putréfaction. Six jours après la crue subite du fleuve Guadalupe, la dévastation est totale au parc de roulottes Keys Resort, dans le comté de Kerr, dans le centre-sud du Texas. Des dizaines de bénévoles s'acharnent encore à retirer les débris, couche après couche, à l'aide de tronçonneuses et de tracteurs. Des policiers ont aussi été dépêchés sur place jeudi après-midi, lors de mon passage : ils suspectaient la présence d'un cadavre sous les décombres. Ce qui leur a mis la puce à l'oreille : l'odeur putride, et les nuages de mouches, qui virevoltent dans l'air lourd de cette journée à 35 degrés. Un signe que les recherches viennent de passer à un nouveau stade. La mission pour sauver les 170 personnes disparues lors de l'inondation du 4 juillet s'est transformée en opération de récupération des corps. Y compris ceux d'une trentaine de fillettes, qui séjournaient au Camp Mystic, non loin d'ici. Leurs petites dépouilles s'ajouteront aux 120 cadavres retrouvés jusqu'ici. Bilan préliminaire : près de 300 morts. PHOTO MAXIME BERGERON, LA PRESSE Le bénévole Jay Arredondo devant une scène de dévastation au parc de roulottes Keys Resort « On ne néglige aucune piste, on fouille vraiment partout, mais il n'y a plus d'espoir de retrouver de survivants », m'explique le bénévole Jay Arredondo, qui travaille d'arrache-pied depuis six jours au parc détruit de Keys Resort, dans la petite ville de Center Point. Le grand gaillard de 38 ans ne cherche aucun coupable pour expliquer la tragédie. Il se braque, même, lorsque j'aborde le sujet. Il n'y a personne à accuser ici. Personne ne peut contrôler une catastrophe naturelle. Jay Arredondo Des propos repris presque mot pour mot par le président Donald Trump, qui s'est rendu dans la région dévastée vendredi avec sa femme, Melania, et sa secrétaire à la Sécurité intérieure, Kristi Noem. Il a fait une tournée des zones les plus touchées avant de se prêter à une conférence de presse. PHOTO MAXIME BERGERON, LA PRESSE Le parc de roulottes Keys Resort, dans le comté de Kerr Les autorités ont fait un travail irréprochable pour limiter les dommages, a vociféré M. Trump à une journaliste, qui le questionnait sur la défaillance des mesures préventives. « Seule une personne diabolique oserait demander une telle chose. » C'est pourtant la question que tout le monde se pose depuis une semaine. Comment un tel ratage a-t-il pu se produire, dans ce comté aisé du Texas, habitué depuis des décennies aux débordements sporadiques de son principal cours d'eau ? Les hypothèses abondent. Alertes cellulaires envoyées trop tard, réseau sans fil déficient dans la vallée du fleuve Guadalupe, coupes budgétaires imposées au bureau des services météorologiques par l'administration Trump : l'enquête sera longue pour retisser le fil précis des évènements. Mais ce qui ressort de plus en plus, c'est qu'un mécanisme très simple aurait pu sauver des vies : de bonnes vieilles sirènes tonitruantes. Un tel réseau aurait permis d'alerter les centaines de personnes qui dormaient à poings fermés en bordure du cours d'eau, lorsque son niveau a bondi de huit mètres en moins de deux heures en pleine nuit. L'alarme sonore aurait aussi pu réveiller ceux qui étaient abonnés à des alertes d'urgence sur leur portable, mais qui n'avaient aucune réception cellulaire dans ce secteur de villégiature isolé. PHOTO GERALD HERBERT, ASSOCIATED PRESS Des enfants ont visité vendredi le monument commémoratif à la mémoire des victimes des inondations, à Kerrville. Ce n'est pas à défaut d'avoir essayé d'implanter un système de sirènes. Le comté de Kerr a demandé du financement à au moins trois reprises au gouvernement de l'État du Texas, et à l'Agence fédérale de gestion des situations d'urgence (FEMA). Sans succès : aucune autorité n'a voulu payer la facture d'un peu moins de 1 million de dollars. Plusieurs se mordent aujourd'hui les doigts, mais personne n'accepte le blâme… Le comté de Kerr, à une heure au nord de San Antonio, est ultrarépublicain. Ses 53 000 résidants ont voté à plus de 75 % pour Donald Trump depuis 2016. Le « Hill Country » compte des dizaines de montagnes verdoyantes, une quarantaine de colonies de vacances et le magnifique fleuve Guadalupe, prisé par les vacanciers de tout le Texas. C'est une communauté tissée serré, comme en témoigne la présence de centaines de bénévoles qui continuent à ratisser les berges du matin au soir pour trouver des victimes. Mais c'est aussi un comté à tendance néolibérale, où l'on abhorre les interventions du gouvernement. La possibilité d'installer des sirènes a fait l'objet d'âpres discussions depuis 2016. Des fonds fédéraux ont été proposés à un certain moment, mais plusieurs résidants ont refusé de les accepter. Ils ne voulaient pas que leur comté soit « acheté » par des subventions de Washington, relate une enquête du Texas Tribune. PHOTO MAXIME BERGERON, LA PRESSE La sirène récemment installée à la caserne de pompiers de Comfort. Elle a été utilisée pour la première fois le 4 juillet dernier. Seules deux localités possèdent des sirènes d'urgence, dans toute la région. La petite ville de Comfort, située au croisement du fleuve Guadalupe et d'un ruisseau, a utilisé la sienne, flambant neuve, pour la première fois le 4 juillet dernier. Danny Morales, le directeur adjoint des pompiers volontaires, est celui qui a insisté pour l'installation d'un tel système dans sa bourgade de 2300 habitants. Ce n'est pas le gouvernement du Texas qui a payé, mais plutôt un organisme sans but lucratif local. Coût du système : 50 000 $. « L'État n'aurait jamais payé pour ça, puisque la sécurité publique n'est pas de sa responsabilité », m'explique l'homme de 71 ans, rencontré dans le petit poste de commandement de sa caserne. PHOTO MAXIME BERGERON, LA PRESSE Danny Morales, directeur adjoint des pompiers volontaires de Comfort Il m'a montré plusieurs cartes et graphiques, qui détaillent la montée des eaux dramatique du 4 juillet dernier. La crue du fleuve Guadalupe menaçait d'inonder – encore une fois – le ruisseau qui sillonne sa ville. Il a activé les sirènes 30 minutes avant la montée des eaux. Quelques propriétés riveraines ont subi des dommages, mais on n'a déploré aucun décès. Un tel système aurait sans aucun doute pu épargner des vies dans le comté voisin de Kerr, croit le pompier volontaire. « Je ne sais pas si ça aurait pu sauver tout le monde, mais ça aurait sûrement aidé… » PHOTO MAXIME BERGERON, LA PRESSE La vieille sirène de Comfort, autrefois utilisée pour les incendies, qui a été rénovée et réinstallée dans un autre secteur de la ville. Comfort avait déjà une vieille sirène, autrefois utilisée pour les incendies, qui a été remise à neuf au coût de 20 000 $. Elle a été réinstallée dans un autre secteur de la ville et s'est aussi déclenchée avant l'inondation. La ville en compte maintenant deux, pour un total de 70 000 $. Une facture moyenne de 30 $ par habitant… Le comté de Kerr est toujours sous le coup de mesures d'urgence massives. Les recherches se poursuivront jusqu'à ce qu'un maximum de dépouilles soient retrouvées, ce qui pourrait prendre des mois. PHOTO JACQUELYN MARTIN, ASSOCIATED PRESS Le fleuve Guadalupe, vendredi Tout comme le président Trump, le gouverneur du Texas, Greg Abbott, rejette la recherche de coupables en lien avec la défaillance des mesures d'urgence. Le mot « blâme » est un « langage de perdants », a-t-il lancé à des journalistes plus tôt cette semaine. Les centaines de familles des victimes, tout comme les adversaires politiques du gouverneur républicain, n'accepteront pas cette réponse.

Rozon fait l'étrange procès de son procès
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La Presse

time3 hours ago

  • La Presse

Rozon fait l'étrange procès de son procès

Gilbert Rozon, au palais de justice de Montréal, répondant aux questions des journalistes, mercredi Accusé par neuf femmes d'agression sexuelle, Gilbert Rozon s'est présenté en véritable victime au palais de justice, cette semaine. En marge de son contre-interrogatoire, il a fait le procès de son propre procès devant les journalistes attroupés. À entendre le fondateur de Juste pour rire, le système de justice permet la « légalisation de l'extorsion ». L'expérience d'une poursuite est tellement violente qu'il estime préférable de régler à l'amiable, même quand on n'est pas coupable. Demain matin, si un ami avec toutes les preuves de son innocence l'appelait pour lui demander conseil, il lui répondrait : « Non, non, fais un chèque ! Ne va pas à la cour, tu vas tout perdre ! » Notre système de justice est-il à ce point inhumain, inadéquat ? Étrangement, c'était le discours qu'on entendait de la part des victimes de violence sexuelle lorsque le mouvement #metoo est né. Rebutées par les démarches judiciaires, plusieurs victimes avaient alors dénoncé leur agresseur directement sur les médias sociaux. Cette vague a poussé le gouvernement du Québec à revoir les règles entourant les procès de violence faite aux femmes. De très belles avancées ont été accomplies pour mieux accompagner les victimes. Le Québec a été à l'avant-garde. Nos élus ont travaillé de façon transpartisane. On peut être fier du chemin parcouru. La création d'un tribunal spécialisé a notamment permis d'offrir un environnement plus adapté pour les cas de violence sexuelle et conjugale. Aujourd'hui, on offre davantage d'information judiciaire et d'accompagnement psychosocial pour aider les victimes à passer à travers cette épreuve. De plus, le nouvel article 2858.1 du Code civil a mis des bâtons dans les roues des avocats qui tentaient de détruire la crédibilité d'une victime en lui posant des questions qui entretiennent des mythes et des préjugés, des questions qui insinuent sournoisement qu'elle n'est pas la « victime parfaite ». Pourquoi aviez-vous une jupe courte ? Pourquoi ne pas avoir porté plainte immédiatement après l'agression ? Pourquoi avoir continué de voir l'agresseur par la suite ? Ce nouvel article ne fait que codifier ce qui était déjà reconnu dans la jurisprudence. Et l'avocat peut encore poser ce genre de questions, mais seulement s'il parvient à convaincre le juge de leur pertinence. Le fardeau est sur ses épaules. Néanmoins, Gilbert Rozon conteste ce nouvel article qui est entré en vigueur quelques jours avant le début de son procès. Il conteste aussi l'abolition du délai de prescription civile qui permet à une victime d'agression sexuelle de poursuivre son agresseur, peu importe le temps écoulé depuis les faits. Auparavant, il y avait une limite de 30 ans. Cette modification – réclamée par le Barreau du Québec et le Protecteur du citoyen et adoptée avec l'appui des quatre partis politiques représentés à l'Assemblée nationale – est pourtant un grand pas en avant. On sait que les victimes mettent souvent des décennies à déposer une plainte. Il est important de souligner que toutes ces améliorations apportées dans la foulée du mouvement #metoo n'ont pas déséquilibré la balance de la justice. Elles ont mieux huilé ses rouages. C'est tout. Le fardeau de la preuve reste le même. Et un procès restera toujours un passage difficile pour les victimes… mais aussi pour ceux qui sont accusés à tort. Leur défense entraîne des frais, égratigne leur réputation. Gilbert Rozon n'est pas le seul à s'en plaindre. Mais justement, le tribunal lui permettra de laver sa réputation, s'il est acquitté. C'est exactement à cela que sert la justice. Et peut-être encore plus la justice civile… Au civil, le juge tranche en faveur de la version qui est la plus probable, celle qui lui semble la plus proche de la vérité. C'est différent du criminel, où le fardeau de la preuve est plus lourd, parce qu'on ne veut pas courir le risque d'envoyer en prison une personne non coupable. Le juge doit être convaincu « hors de tout doute raisonnable » que l'accusé a bel et bien commis le crime dont on l'accuse. C'est ce qui fait en sorte que Gilbert Rozon a été acquitté en 2020 au criminel, même si la juge a pris soin de dire qu'elle ne croyait pas sa version. Qu'en sera-t-il cette fois-ci ? Au tribunal de trancher. Mais en attendant leur jugement, les personnes injustement poursuivies ne sont pas à court d'options. Il existe des dispositions qui permettent de rejeter à un stade préliminaire les poursuites abusives ou mal fondées, ou encore de rembourser le défendeur pour les frais encourus. Le défendeur peut aussi déposer une poursuite en diffamation qui peut être étudiée dans le même procès, dans le cadre d'une demande reconventionnelle. Or, Gilbert Rozon n'a utilisé aucun de ces outils, même s'il se présente comme une victime, « comme un paria » forcé de se défendre seul contre un groupe de femmes qui ont été « embrigadées » pour lui réclamer 14 millions. Gilbert Rozon a eu l'occasion d'exprimer son point de vue en cour. Faire le procès de son procès ne l'aidera pas à obtenir gain de cause. Quant au système de justice, il n'est certainement pas parfait. Mais il faut reconnaître qu'il s'est amélioré dans la foulée du mouvement #metoo.

Les entreprises étrangères continuent d'investir à Montréal
Les entreprises étrangères continuent d'investir à Montréal

La Presse

time10 hours ago

  • La Presse

Les entreprises étrangères continuent d'investir à Montréal

Montréal International a accompagné 29 projets dans la grande région métropolitaine, qui ont permis la création de 1866 emplois avec un salaire moyen de 101 000 $, selon des données préliminaires publiées vendredi. Les entreprises étrangères ont investi plus d'argent dans la grande région de Montréal au premier semestre, malgré les menaces de Donald Trump. Le président des États-Unis n'est d'ailleurs plus la principale préoccupation des investisseurs. C'est plutôt le va-et-vient des politiques canadiennes et québécoises en immigration qui les chicote, selon le patron de Montréal International. Stéphane Paquet, PDG de Montréal International, a admis qu'il aurait été surpris si on lui avait dit l'hiver dernier, au plus fort des menaces du président républicain contre le Canada, que l'organisme sans but lucratif aurait accompagné pour 1,69 milliard en investissements étrangers au cours de la première moitié de l'année. Montréal International a accompagné 29 projets dans la grande région métropolitaine, qui ont permis la création de 1866 emplois avec un salaire moyen de 101 000 $, selon ses données préliminaires publiées vendredi. La valeur des investissements a ainsi progressé de 55 % par rapport à 1,09 milliard, réparti sur 32 projets, à la même période l'an dernier. « On a eu un peu moins de projets cette année, mais la valeur moyenne est plus grande », a résumé M. Paquet. La métropole a bien tiré son épingle du jeu dans le secteur des technologies, comme l'intelligence artificielle et la cybersécurité, ainsi que dans le secteur manufacturier, notamment l'aérospatiale, l'ingénierie et les services environnementaux. Malgré les frictions diplomatiques, les entreprises américaines sont toujours au rendez-vous, avec 46 % des investissements accompagnés. « Au Texas, en Californie, à New York, les gens s'excusent à nos démarcheurs, a raconté Mark Maclean, vice-président, investissements étrangers, de Montréal International. Les gens nous disent que les commentaires du gouvernement ne les représentent pas. Il y a toujours un intérêt. » Si le pire semble évité, M. Paquet a prévenu que rien ne garantit que le rythme puisse être maintenu pour le reste de l'année. Il a souligné que l'administration Trump demeure imprévisible. L'entrevue a d'ailleurs été réalisée quelques heures avant que M. Trump menace, jeudi soir, d'imposer des droits de douane de 35 % le 1er août. Des changements qui suscitent l'inquiétude Si on lui parle moins de M. Trump, M. Paquet constate que le resserrement des politiques d'immigration au Canada et au Québec préoccupe les investisseurs étrangers. Montréal a besoin de sang neuf. Parmi les postes à pourvoir au Québec, trois sur cinq sont dans la région métropolitaine, a souligné M. Paquet. Le mécontentement du milieu des affaires n'est pas qu'un phénomène montréalais. Au début du mois de juin, des chambres de commerce de plusieurs régions du Québec ont demandé un moratoire sur les restrictions du gouvernement fédéral visant à réduire le nombre de travailleurs étrangers temporaires. De nombreuses entreprises affirment être incapables de pourvoir tous leurs postes localement. La Presse Canadienne

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