
Wimbledon : Khachanov premier qualifié pour les quarts de finale
Le Russe Karen Khachanov (20e mondial) est devenu dimanche le premier joueur à se qualifier pour les quarts de finale de l'édition 2025 de Wimbledon, en mettant fin au parcours du Polonais Kamil Majchrzak (109e). Trois ans après son premier quart de finale sur le gazon de l'All England Club, Khachanov l'a emporté 6-4, 6-2, 6-3 contre le tombeur du Français Arhtur Rinderknech (72e).
Majchrzak, déjà défait lors de ses trois précédents duels avec le Russe, disputait à 29 ans son premier huitième de finale en Grand Chelem. Khachanov affrontera en quarts de finale le vainqueur du match entre l'Américain Taylor Fritz (5e) et l'Australien Jordan Thompson, programmé à 13h00 sur le court N.1
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Les autres huitièmes de finale masculins du jour opposeront le dernier Britannique en lice chez les messieurs, Cameron Norrie (61e), au qualifié chilien Nicolas Jarry (143e), et le double tenant du titre Carlos Alcaraz (2e) au Russe Andrey Rublev (14e).
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Résultat et résumé : Nicolas Jarry - Cameron Norrie, Grand Chelem, Wimbledon, Huitièmes de finale, Dimanche 06 juillet 2025
Wimbledon, Grand Chelem, Huitièmes de finale C. Norrie N. Jarry (Q) 6 7 7 6 7 6 5 6 3 6 4 7 9 7 7 3 31' 59' 62' 63' 54' Grand Chelem, 06 juil. 2025, 4h29min afficher uniquement les temps forts (27) 6-3, 7-6 (4) 6-7 (7), 6-7 (5), 6-3 Jeu, set et match Cameron Norrie ! Des deux revenants, c'est Norrie qui s'en sort ! Le Britannique, jamais breaké, a semblé déboussolé après la perte des deux jeux décisifs, mais s'est bien repris dans le cinquième set. Jarry, plus incisif, a manqué de justesse sur les points importants. 40/0 Encore un service qui vient blanchir la ligne. Jarry est pris de vitesse. Norrie se procure trois balles de match ! 30/0 Service gagnant, au corps ! 15/0 Norrie insiste sur le coup droit de Jarry, coup faible depuis quelques jeux, et le pousse à la faute. 3-5 Jeu Jarry Le combattif chilien n'avait évidemment pas dit son dernier mot. Il remporte son jeu de service grâce à deux aces et force Norrie à aller chercher la victoire sur sa propre mise en jeu. Norrie Jarry 6 7 7 6 7 6 5 5 3 6 4 7 9 7 7 3 40/30 Encore un ace pour Jarry, le 45e ! 30/30 Nouveau retour efficace de Norrie, qui pousse Jarry à la faute en fond de court. Le Britannique est à deux points du match. 30/15 Quel retour de Norrie ! Le Britannique s'engage à fond dans son revers pour déborder Jarry. 1 Nicolas Jarry n'a remporté qu'un seul match en cinq sets dans sa carrière (sur 6 disputés). Mais c'était déjà à Wimbledon ! 5-2 Jeu Norrie Service gagnant pour Cameron Norrie, qui lève un poing rageur. Norrie Jarry 6 7 7 6 7 6 5 5 3 6 4 7 9 7 7 2 40/30 Norrie commet rapidement la faute à l'échange côté revers. 30/15 Jarry manoeuvre bien pour s'offrir une balle d'attaque... qu'il manque en coup droit. 0/15 Jarry prend sa chance après son retour et déborde Norrie d'un coup droit violent. Égalité Nicolas Jarry s'offre un sursis avec un nouvel ace au T. 30/40 Jarry manque un nouveau coup droit ! 30/30 Jarry n'est plus lucide après une longue course vers l'avant et manque totalement son passing. 15/15 Jarry a de plus en plus de mal à se déplacer. Norrie joue plein coup droit et le Chilien manque totalement son coup.

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Décryptage : comment le Bayern a réussi à bousculer le PSG à la Coupe du monde des clubs
Le PSG s'en est sorti en fin de match (2-0) lors de son quart de finale de la Coupe du monde des clubs, samedi soir, à Atlanta. Mais les joueurs de Luis Enrique ont longtemps été mis en difficulté par un Bayern Munich particulièrement agressif et efficace sans le ballon. Comme souvent dans les moments importants de la saison du PSG, le geste décisif a été réalisé par Désiré Doué. Sa frappe soudaine du gauche (78e) a surpris Manuel Neuer, qui a regardé impuissant la balle entrer dans ses filets après avoir glissé en essayant de changer de direction. Le premier des deux buts qui ont permis à Paris de sortir le Bayern (2-0), samedi soir à Atlanta, en quarts de finale de la Coupe du monde des clubs. Mais avant cette éclaircie, Luis Enrique et les siens avaient vécu des moments beaucoup plus difficiles au cours d'un match intense, contre un adversaire nettement plus coriace que ceux croisés jusque-là au cours de la compétition. Organisés et déterminés, les Munichois ont beaucoup gêné les Parisiens, en particulier en première période. Un pressing étouffant Le parti pris du club bavarois était simple et relativement attendu, mais l'efficacité du plan de jeu n'en a pas pour autant été altérée. Si certains craignent plus que tout la vitesse des éléments offensifs du PSG, Vincent Kompany avait demandé à ses joueurs d'aller presser très haut, assumant des un contre un partout sur le terrain, notamment derrière. Et s'ils ont inévitablement été pris sur quelques actions, les Allemands ont réussi à gérer la plupart des situations de crise pendant une partie de la rencontre. À commencer par Dayot Upamecano, dont la vélocité n'était pas de trop pour canaliser les envolées de Kvitcha Kvaratskhelia. 22 % de passes ratées dans le premier tiers Au cours du match, le Bayern a démarré par 10 fois une possession (record de la compétition face à Paris) dans le dernier tiers, ces dernières débouchant sur 2 tirs de Jamal Musiala (40e, 45e). Histoire d'être précis, pour que ces récupérations hautes soient comptabilisées, il faut que l'équipe reprenne le contrôle du ballon sans que celui-ci ne soit sorti de l'aire de jeu et que l'action ne démarre pas par une phase arrêtée. Pour prendre encore un peu plus la mesure de l'efficacité du pressing munichois, il est intéressant de se pencher sur le pourcentage de passes ratées par le PSG dans le premier tiers. Il s'élève samedi à 22 %, soit pas loin d'1 transmission sur 4. À titre de comparaison, le pire total pour les coéquipiers de Vitinha dans cette Coupe du monde des clubs était de 11 %, contre l'Inter Miami. Et lors de la campagne victorieuse de Ligue des champions ? Uniquement deux équipes avaient réussi à gêner davantage les Parisiens dans la phase de construction. Arsenal au Parc des Princes en demi-finales retour (2-1, 30 % de passes ratées dans le premier tiers) et... le Bayern (0-1, 24 %) lors de la 5e journée de la phase de ligue. Les vainqueurs de la dernière C1 n'ont donc pas réussi à totalement mettre en place leur jeu et ont trop souvent été contraints de jouer long, occasionnant des duels à leur désavantage sur le plan physique et des pertes de balle. Les contre-arguments dissuasifs du PSG Avec le temps, la fatigue et l'absence d'un rouage essentiel dans le pressing comme Musiala, gravement blessé en fin de première période, l'étau du Bayern s'est très progressivement desserré. Sur les 10 récupérations hautes évoquées plus haut, 8 ont eu lieu en première période. Grâce à son talent, son endurance et un Donnarumma encore décisif, le PSG a fini par prendre l'ascendant sur des Munichois qui n'ont pas réussi à convertir en buts leurs moments forts. Adversaire de Paris en demi-finales avec le Real Madrid, Xabi Alonso a dû constater comme tout le monde depuis sa qualification l'efficacité du plan de jeu assez radical de Kompany. Mais l'entraîneur espagnol le sait, cette ambition sans le ballon peut aussi se payer cash. Pris par l'intensité adverse, les joueurs de Luis Enrique n'ont réussi que par séquences à fissurer le pressing munichois. Mais ils y sont parvenus quand même. Comment ? Comme souvent dans le cas de pressing haut et intense, des renversements de jeu rapides côté faible ont donné lieu à des situations intéressantes. Barcola en a profité sur une longue passe de Nuno Mendes. Manipuler le marquage individuel est également une possibilité pour créer des espaces comme l'a montré le duo Vitinha - Joao Neves un peu plus tôt. « C'est l'adversaire qui nous ressemblait le plus, a lâché Luis Enrique après la partie. Les deux équipes ont présenté leur meilleure version et auraient pu l'emporter. » Mais c'est bien Paris qui disputera une demi-finale alléchante face au Real Madrid de Kylian Mbappé mercredi (21 heures). Une équipe en pleine mutation qui aura des arguments différents du Bayern à faire valoir. À lire aussi Derrière, Paris est à découvert Le PSG, Mbappé et le Real : retrouvailles électriques à tous les niveaux Ousmane Dembélé attend son or et son pote Olivier Cloarec président, ça se précise


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Cameron Norrie vient à bout de Nicolas Jarry en cinq sets et rejoint les quarts de finale de Wimbledon
Face à un Nicolas Jarry plein d'allant et d'agressivité, le Britannique Cameron Norrie, un brin attentiste, a eu tout le mal du monde à se défaire du Chilien pour s'ouvrir les portes des quarts de finale de Wimbledon ce dimanche (6-3, (7-6 [4], 6-7 [7], 6-7 [5], 6-3). Dernier Britannique encore en lice dans le tableau masculin, Cameron Norrie retrouve son meilleur tennis à Wimbledon. Le demi-finaliste du Grand Chelem londonien (en 2022) s'est qualifié en quarts de finale du tournoi londonien après avoir battu à l'usure Nicolas Jarry en cinq sets (6-3, (7-6 [4], 6-7 [7], 6-7 [5], 6-3) ce dimanche. Norrie (29 ans), qui avait écarté avec autorité Roberto Bautista-Agut, Frances Tiafoe puis Mattia Bellucci aux tours précédents, a joué la carte du réalisme et de l'opportunisme face à un adversaire parfois trop entreprenant. Dans un duel de gros et précis serveurs (67 % de premières balles passées par les deux joueurs), le 61e au classement ATP a bouclé la première manche en une demi-heure sur un ace (6-3), après que Nicolas Jarry a complètement raté son jeu de service. Si le grand chilien tenait les rênes de l'affrontement, en osant davantage par rapport à un adversaire plus attentiste (12 aces, 27 points gagnants contre 10 pour son opposant dans le deuxième set), cette audace s'est aussi soldée par du déchet (17 fautes directes) qui l'a vite handicapé. Cameron Norrie a pris le dessus dans le jeu décisif du deuxième set (7-6 [4]) lorsque Nicolas Jarry manquait encore d'efficacité dans les moments clés. Contre Alcaraz ou Rublev en quarts Le scénario fut (presque) le même dans la troisième manche, avec une succession de jeux tranquillement expédiés entre deux joueurs qui ne parvenaient pas à se départager. Sauf que la prise d'initiatives de Jarry a cette fois payé au tie-break (6-7 [7]). Pour un temps, seulement, la rencontre a un brin changé de physionomie, avec un Cameron Norrie moins incisif, mais jamais en perte de contrôle. Résultat : il a fallu attendre un troisième tie-break de suite, lors duquel le Britannique, passif devant la puissance de Jarry, a encore cédé (6-7 [5]). Si l'on pensait le natif de Santiago revigoré, son manque d'efficacité (0/8 balles de break converties), sa fatigue apparente et ses erreurs (13 fautes directes) ont laissé son adversaire s'envoler dans l'acte décisif. Cameron Norrie a conclu la partie sur un dernier point ultra-disputé (6-3), avant de se rouler par terre de bonheur. Il affrontera le vainqueur du duel entre Andrey Rublev (n° 14) et Carlos Alcaraz (n° 2), qui se joue ce dimanche soir.