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Arrivée du quinté du mercredi 23 juillet à Enghien : Global Concept, une première réussie

Arrivée du quinté du mercredi 23 juillet à Enghien : Global Concept, une première réussie

Le Parisien5 days ago
Arrivée du quinté
: 2 - 9 - 16 - 1 - 12
Avec dix trotteurs étrangers au départ de ce quinté de milieu de semaine sur le
plateau de Soisy
(Val-d'Oise), les tricolores étaient en infériorité numérique et il n'était pas évident pour les six Français de se distinguer. Cela s'est confirmé puisqu'un seul d'entre eux a terminé dans les cinq premiers.
Le vainqueur est quant à lui suédois avec
Global Concept
(n° 2). Sujet estimé par
Jörgen Westholm
, le professionnel scandinave avait fait le déplacement pour le driver et n'a pas manqué sa cible pour conserver son titre dans ce rendez-vous. « Il a les mêmes capacités que
Ninepoints Lasse
,
indique-t-il pour faire la comparaison avec le tenant du titre. C'est un bon cheval au sein de l'écurie. »
Après avoir connu des ennuis de santé dans sa jeunesse, le hongre de 7 ans rattrape le temps perdu et sera sûrement à suivre lors de ses prochaines sorties sur notre sol.
Pour s'imposer,
Global Concept
a tout de même dû s'employer pour repousser la belle offensive de
Derby Kronos
(n° 9), lequel semble retrouver ses meilleures sensations.
Distillato
(n° 16) complète le podium. En net retrait de ce trio,
Indigo du Perche
(n° 1) sauve l'honneur des Français pour se classer quatrième et devance de peu
Mercedes Star
(n° 12).
Stéphan Flourent proposait le tiercé dans l'ordre en huit chevaux dans nos colonnes.
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On peut aimer ses amis, mais redouter les vacances en leur compagnie, surtout par 30 degrés. Hyperactifs, radins ou accros à la plancha, certains révèlent un tout autre visage sous le soleil estival. Témoignages de ceux que les séjours en bande rendent fous. «Je suis entré dans un cercle vicieux il y a 25 ans, et je n'ai plus jamais réussi à m'en extraire !», s'esclaffe sans aigreur Vincent, 56 ans, qui ne pensait pas, en louant avec deux couples d'amis une jolie villa bretonne en juillet de l'an 2000, signer un bail emphytéotique pour des vacances à six. «Nos façons de vivre sont radicalement opposées, et ce qui nous passait au-dessus il y a 20 ans, quand les enfants étaient encore petits et parfaits pour faire diversion, nous paraît aujourd'hui insupportable», confesse-t-il. À découvrir Voyages sur mesure : découvrez les offres de nos partenaires Chaque année, la location est reconduite de façon tacite, et le chef d'entreprise et sa femme ont eu beau déployer des trésors de stratégie au fil des ans, impossible d'échapper à un projet pour lequel les autres parties sont prêtes à toutes les concessions. «On a dit qu'on voulait voir autre chose, qu'on ne pouvait qu'en septembre ou en avril, que du jeudi au jeudi, rien ne les rebute. On est coincés, soupire Vincent. Et je le jure, on les adore, mais le temps d'une bonne soirée. C'est évidemment impossible à formuler... Donc devinez avec qui nous partons cet été ? ». Publicité Ce classique du genre fait les délices de la presse estivale qui, se saisissant héroïquement du sujet, envoie un journaliste (coucou !) sommer un psychologue (le sien ?) de guider les malheureux en quête d'aiguillage. Avec, à la clé, des analyses décoiffantes («Les vacances entre amis peuvent bien se passer, mais l'expérience risque aussi de s'avérer décevante»), mais aussi des injonctions délicieusement contradictoires («Affirmez vos besoins tout en laissant la place à ceux des autres»), de quoi s'assurer une patientèle ravagée au cabinet dès septembre. «Je préfère partir en famille !» «Quand on est chez ses beaux-parents, on sait qu'il y a un potentiel de pénibilité ! Alors qu'entre amis, tu as une forme d'injonction à passer un moment 'cool"» Viks_jin - Loin d'arranger les choses, les instituts de sondage nous jettent au visage des statistiques paradoxales, affirmant par exemple (1) que 46 % des Français interrogés considèrent que le choix des activités doit se faire librement lors de vacances entre amis… Et, la seconde d'après, ajoutent que 43 % d'entre eux estiment qu'entre amis, on doit tout partager. Comment s'étonner ensuite que certains séjours virent au carnage ? Tiphaine, elle, vient de faire une croix sur ce genre d'aventures. «J'ai eu droit à tout ces dernières années ! Celle qui veut que l'on prenne une jeune fille au pair pour les enfants mais décide qu'elle la déteste et refuse de lui adresser la parole, celui qui a commencé un 'jeûne détox' la veille du départ, refuse de passer à table et n'en fout pas une sous prétexte d'être épuisé», liste rageusement l'avocate nantaise. «On a aussi eu des potes qui se sont pris la tête au sujet de leurs enfants mais en restant super calmes, avec des échanges passifs agressifs de haute volée, c'était l'enfer… Au bout de 36 heures avec eux, j'avais des envies de meurtre !» Une version des faits confirmée par Aurélien, son mari, qui tient à ajouter : «Finalement, je découvre que je préfère partir dans la famille ! Les points de crispation sont à peu près les mêmes, mais on peut s'engueuler sans que ça ne tourne forcément au drame. Quand on est chez ses beaux-parents, on sait qu'il y a un potentiel de pénibilité ! Alors qu'entre amis, tu as une forme d'injonction à passer un moment 'cool", dissèque le notaire. Si mon beau-frère se met à table en short de bain, je ne me gênerai pas pour lui dire qu'on n'est pas au camping (2), alors que jamais je n'oserais le dire au mari d'une amie !» Intolérances alimentaires (mais pas seulement) Charles, lui, a fait son coming out auprès de son cercle d'amis : «J'ai annoncé que je ne partirais plus que pour des week-ends, trois jours maximum, confie l'ex-ingénieur. J'ai dit que je me sentais angoissé ces derniers temps et qu'il m'était impossible de tenir plus longtemps en compagnie. Ce n'est pas tout à fait ça, évidemment. Les gens me font chier (sic), tout simplement. Ça me paraissait beaucoup plus simple avant. 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