
Il rachète son ancien restaurant pour le sauver et revend « une affaire en or » : à 83 ans, ce chef est inoxydable !
Loire
) pour y faire ses courses. En août 2023, l'octogénaire a racheté le fonds de commerce du « Prieuré », restaurant qu'il avait vendu dix ans auparavant, après un demi-siècle passé aux fourneaux. L'établissement est situé dans l'enceinte de la chartreuse de Sainte-Croix-en-Jarez, lieu unique au monde marqué par 500 ans de présence monastique, et transformé en village à la Révolution française.
Avec sa femme Elyane, Jean-Claude Blondeau a passé sa vie à cuisiner coq au vin, souris d'agneau, tripes, gratin de pommes de terre, cuisses de grenouilles, aux gens du pays et aux touristes de passage dans le parc du Pilat. En 2013, l'âge de la retraite largement dépassé, le chef décide de céder le fonds de commerce à un couple de restaurateurs (tout en restant propriétaire des murs) pensant définitivement clore le chapitre de sa longue vie professionnelle.
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Parisien
15 minutes ago
- Le Parisien
« Je resterai comme ça jusqu'à ce que ce soit normal » : une chanteuse agressée sexuellement en plein concert et finit seins nus
Pour elle, il s'agit d'un geste de « courage ». Samedi soir, le groupe de musique Lulu Van Trapp se produit au festival du Cri de La Goutte à Chézery-Forens ( Ain ). Comme elle en a l'habitude, la chanteuse, Rebecca, décide de descendre dans la fosse en plein concert. « Direct, je me sens pas en sécurité, y'a que des mecs super excités, ils m'empoignent, y'en a un qui me tient le bras et le lâche pas. Et là, alors que j'ai une main qui tient mon micro et l'autre immobilisée par ce mec, un autre m'attrape les seins », raconte-t-elle ce lundi sur Instagram , parlant d'un « geste ridicule ». « Depuis plus de dix ans que je suis sur scène, c'est la première fois que ça m'arrive », témoigne-t-elle. Rebecca décide alors de remonter sur scène « en annonçant que le mec (dont elle dit ne pas avoir vu le visage) a intérêt à se casser du show ». Refusant d'arrêter le spectacle, elle décide, « prise d'un instinct » de se mettre « seins nus », selon son témoignage, également rapporté par Le Progrès . « Et je continue le concert. Et je resterai seins nus jusqu'à ce que ce soit normal. Jusqu'à ce que vos cerveaux se soient habitués à ce que ce soit pas s*xuel, ajoute-t-elle. Mon courage, sa honte. » Dans son long témoignage, Rebecca assure qu'elle « n'oubliera jamais ce concert ». « J'ai redécouvert mes propres paroles, mes propres danses. Jamais je ne me suis sentie si fragile et pourtant si forte que sans autre armure que ma conviction », déclare-t-elle également. Cette main, elle dit la sentir « comme une brûlure ». « On est méga en retard sur le sujet alors qu'on représente de base une musique de libération. Reprenons l'espace, autant sur scène que dans la fosse. Je vous promets que ce sera la priorité lors de nos concerts », conclut-elle. Son post s'accompagne de photos et d'une vidéo de la scène. « Vous allez regarder mes seins jusqu'à la fin du concert et à la fin vous verrez, ça ressemblera plus à du sexe », lance-t-elle à la foule, qui répond par des applaudissements. Auprès du Progrès, les organisateurs de ce festival qui a rassemblé plus de 2 000 personnes, ont affirmé avoir apporté leur soutien à l'artiste, en dénonçant un comportement « inacceptable ». Un tel acte « est en totale contradiction avec les valeurs du Cri de la Goutte : respect, bienveillance, inclusion et sécurité pour touts et toutes ».


Le Parisien
an hour ago
- Le Parisien
« Je suis alignée » : Caroline Roux explique pourquoi elle a refusé de présenter le « 20 Heures » de France 2
Un choix pleinement assumé. Pressentie pour succéder à Anne-Sophie Lapix à la tête du « 20 Heures » de France 2, Caroline Roux a finalement préféré décliner la proposition, comme elle l'avait annoncé aux équipes de « C dans l'air » en juin dernier . Aujourd'hui encore, elle ne regrette rien : « Je suis alignée, sereine », explique-t-elle à la Tribune du Dimanche dans un entretien publié le 27 juillet. « J'ai fait un choix professionnel qui m'a demandé une grande introspection. J'en sors plus forte, pleine de projets et d'envies », ajoute la journaliste de 53 ans qui va donc rester à la présentation de « C dans l'air » sur France 5 à la rentrée prochaine. Une émission dans laquelle elle a l'occasion d'approfondir l'actualité. Au Figaro , Caroline Roux avait déjà réaffirmé son attachement à « C dans l'air », une émission « d'utilité publique » dans le « contexte géopolitique actuel » : « Il paraît que le JT de 20 heures ne se refuse pas. Eh bien si, quand c'est un choix personnel. Il faut être sûre d'avoir la volonté de relever ce défi (…). J'y ai beaucoup réfléchi et, en réalité, je suis très attachée à mon émission C dans l'air sur France 5 et à mes équipes. » Tellement que la journaliste avait exigé de venir avec Sylvain Thierry, le producteur éditorial de « C dans l'air ». Mais France Télévisions souhaitait plutôt un rédacteur en chef issu de la rédaction de la chaîne. « Elle a fait un choix personnel, de vie », nous avait précisé un proche de la présentatrice, rappelant que Caroline Roux n'a jamais rêvé de présenter le JT . « Elle a toujours dit que l'exercice ne l'intéressait pas vraiment. Elle préfère les émissions au temps long comme C dans l'air où elle peut explorer toutes les problématiques d'une question plutôt que les formats millimétrés des journaux télévisés. »


Le HuffPost France
an hour ago
- Le HuffPost France
Marie s'infiltre prise à partie « parce que juive » à Marseille, l'humoriste raconte sa « peur »
FAITS DIVERS - « Est-ce que j'ai été chassée de ce café parce que j'étais juive ? » C'est ainsi que l'humoriste Marie s'infiltre débute son post sur Instagram publié ce lundi 28 juillet, en racontant ce qu'elle a vécu à Marseille dimanche. « Hier, sur le Vieux-Port, je m'installe dans un café par hasard. Trois personnes en terrasse [...] : deux jeunes femmes et un jeune homme », raconte l'humoriste de 31 ans. Elle explique alors entendre son nom plusieurs fois. « 'C'est Marie s'infiltre'. Je souris de loin en regardant le menu mais je comprends qu'on ne dit pas mon nom pour me saluer, mais qu'on me désigne pour indiquer ma présence ou m'invectiver », dit-elle. Alors qu'elle commande auprès du serveur, elle décrit entendre « crier très fort derrière (elle), en tapant du pied : 'VIVE LA LUTTE DU PEUPLE PALESTINIEN', et ce de plus en plus fort, jusqu'à ce que cela devienne assourdissant. Un slogan légitime, libertaire, mais qui est crié de manière hostile, menaçante ». Et elle dit n'avoir alors « aucun doute qu'il est crié à mon encontre ». « J'ai peur qu'on me reconnaisse en tant que juive » L'humoriste explique aller vers eux, « les mains ouvertes » et « souriante ». « Oui bien sûr, vive la lutte du peuple palestinien, mais pourquoi me le crier là, tout de suite, maintenant ». Elle décrit voir « tout de suite à leur réaction qu'il n'y a aucun doute : ils ne sont là que pour en découdre », et que ces trois personnes l' « ont choisie comme leur ennemie ». « Je leur demande plusieurs fois si la manif qu'ils viennent d'orchestrer m'est destinée, puisqu'ils n'arrêtaient pas de répéter mon nom avant de crier. Une sur trois avoue, les autres n'arrivent même pas à assumer ce qu'ils sont en train de faire », écrit-elle. Avant de se résoudre à partir de ce café face à une situation qui pourrait « vite mal tourner », « alors que je m'étais promis de ne jamais partir ». « Et merde, je comprends que j'ai peur. J'ai peur qu'on me reconnaisse en tant que juive, et qu'on me considère en ennemi, et que ma seule présence attise la haine et la violence. Que je ne me sente pas totalement en sécurité », poursuit-elle. « Personne ne me chassera d'un café en France » Après cette scène, Marie s'infiltre dit dans un premier temps être « gênée » de raconter son histoire à ses amis. « La flemme d'expliquer à quel point c'est grave, ce qui vient de se passer. Pas pour moi. Pas pour mon danger personnel. Mais ce que ça dit du monde. La flemme qu'on puisse associer cette péripétie à un discours victimaire ». « Bref, la flemme, une fois de plus, d'être juive. La flemme de se justifier, la flemme – vous ne savez pas ce que c'est, vous – de se dire que ça va s'arranger quand ça empire, la flemme de s'expliquer, de se justifier, de se défendre », affirme-t-elle. Mais elle explique avoir été « réveillée » par sa « colère », « envers moi-même comme toujours ». Et que finalement, « demain matin, même si c'est trop tard, j'irai prendre mon café ici même. Et je me fais cette promesse. Quoi qu'il se passe à Gaza, en Israël, en Chine, en Afghanistan, au Mali ou sur Tatouine, je dis bien quoi qu'il se passe : personne ne me chassera d'un café en France ».