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Couche-Tard retire son offre pour l'acquisition de Seven & i

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La Presse18 hours ago
Fin des activités au Canada
Le PDG de TikTok veut rencontrer Mélanie Joly
(Ottawa) Le PDG de TikTok demande à la ministre de l'Industrie, Mélanie Joly, une rencontre urgente au sujet de l'ordonnance du gouvernement fédéral exigeant à l'entreprise de cesser ses activités au Canada.
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Les cols bleus déclenchent une grève de trois jours
Les cols bleus déclenchent une grève de trois jours

La Presse

time8 minutes ago

  • La Presse

Les cols bleus déclenchent une grève de trois jours

(Laval) Les cols bleus de Laval amorceront une grève de trois jours à 14 heures, jeudi après-midi, alors que se déroulent les Jeux de la francophonie canadienne sur le territoire lavallois. La Presse Canadienne La grève sera d'une durée de 53 heures, de sorte qu'elle se poursuivra jusqu'à 19 heures samedi soir. Le débrayage prendra fin une heure avant la cérémonie de clôture des Jeux de la francophonie canadienne. La section locale concernée du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP), affilié à la FTQ, représente 850 cols bleus à la Ville de Laval. Mardi, le Tribunal administratif du travail a approuvé l'entente qui était intervenue entre les parties quant aux services essentiels à maintenir pendant la grève. Cependant, plusieurs services aux citoyens seront affectés. La Ville de Laval signale notamment que les arénas municipaux seront fermés et que les activités des associations sportives seront annulées, reportées ou déplacées vers d'autres lieux. Au Centre de la nature, les animaux recevront leurs soins quotidiens, mais la ferme et la serre seront fermées. Les stationnements, les toilettes et le chalet demeureront accessibles. Les sentiers seront praticables, mais ne seront pas entretenus. « En cette période de congé estival, la Ville déplore les conséquences de cette action syndicale sur certaines activités prisées par les jeunes et leurs familles », a souligné la Ville de Laval dans un communiqué. Par ailleurs, l'aire de réception des matériaux secs, dans le secteur Fabreville, sera fermée, tandis que l'écocentre Vimont opérera selon un horaire modifié durant les trois jours. Il s'agira de la deuxième grève des cols bleus de Laval depuis le début de l'année, eux qui avaient aussi débrayé du 6 au 12 mars. Selon le syndicat, les pourparlers achoppent principalement sur la question salariale. « Les temps sont difficiles. Le contexte inflationniste historique nous fait mal. Nous voulons une entente satisfaisante et espérons que cette fois-ci, la Ville va mettre les efforts nécessaires pour arriver à une entente », a plaidé le président du syndicat, Louis-Pierre Plourde, dans un communiqué. La convention collective des cols bleus de Laval est échue depuis le 31 décembre 2021. Les négociations pour son renouvellement n'ont véritablement commencé qu'au printemps 2023.

Carney veut « écouter, dialoguer et avancer » avec les Premières Nations
Carney veut « écouter, dialoguer et avancer » avec les Premières Nations

La Presse

timean hour ago

  • La Presse

Carney veut « écouter, dialoguer et avancer » avec les Premières Nations

(Ottawa) Le premier ministre Mark Carney a déclaré être « ici pour écouter » les dirigeants des Premières Nations exprimer leurs préoccupations concernant la loi fédérale sur les grands projets. Alessia Passafiume La Presse Canadienne M. Carney et plusieurs de ses ministres rencontrent des centaines de dirigeants des Premières Nations à Gatineau, jeudi, au sujet de la Loi visant à bâtir le Canada. « Je prononcerai quelques mots au début et répondrai aux questions à la fin, mais je suis ici pour écouter, dialoguer et aller de l'avant », a déclaré M. Carney aux journalistes avant le début de la réunion. Il a été accueilli par des acclamations lorsqu'il est monté sur scène jeudi matin pour prononcer son discours d'ouverture. « La valeur économique de ces projets sera partagée avec les Premières Nations en tant que partenaires qui contribueront à bâtir la prospérité de vos communautés pour les générations à venir », a soutenu M. Carney au début de la réunion. Cette réunion à huis clos avait été promise par M. Carney en juin, lorsque les chefs ont affirmé que leurs droits n'avaient pas été respectés par la précipitation avec laquelle la Loi visant à bâtir le Canada a été adoptée. La loi a été adoptée avec l'appui des conservateurs moins d'un mois après son dépôt. Elle permet au Cabinet d'accorder rapidement des autorisations fédérales pour de grands projets industriels, tels que des mines, des ports et des pipelines, en contournant les lois existantes. Elle confère également au Cabinet le pouvoir de déterminer quels projets sont d'intérêt national. M. Carney a dit aux journalistes que la réunion de jeudi constituait la première étape d'un processus. « Alors que nous bâtissons notre nation, nous bâtissons toutes les nations, ensemble, en partenariat, a-t-il déclaré. Aujourd'hui, nous parlerons de la construction de partenariats avec les Premières Nations, parfois en partenariat, parfois avec des projets menés par les Premières Nations. » PHOTO SPENCER COLBY, LA PRESSE CANADIENNE Il a souligné que la loi est une loi habilitante et que le gouvernement n'a pas encore identifié les projets d'intérêt national qu'il entend accélérer. « Lesquels les Premières Nations, les provinces et la population canadienne souhaitent-elles voir avancer ? Cela demande du travail », a-t-il indiqué. De nombreux dirigeants des Premières Nations ont déclaré mercredi avoir peu d'attentes à l'égard de la réunion et ont averti qu'elle ne devrait pas être considérée comme la consultation complète requise pour les grands projets. Lorsqu'on lui a demandé s'il pensait que le gouvernement pouvait obtenir un consensus des dirigeants des Premières Nations sur la marche à suivre, M. Carney a répondu : « Oui, je le pense ». « Tout le monde souhaite améliorer le pays. Tout le monde souhaite de meilleures perspectives pour ses enfants. Tout le monde souhaite davantage de ressources pour les services sociaux, la santé, l'éducation et les services communautaires », a-t-il dit. Le gouvernement prévoit tenir des réunions similaires avec les dirigeants inuits et métis au cours des prochaines semaines. La réunion avec les dirigeants inuits est prévue le 27 juillet au Nunavut, a précisé M. Carney. Il s'est également engagé à lancer un dialogue régional avec les Premières Nations et à poursuivre les processus de consultation.

L'Association québécoise de la production médiatique déplore un déclin
L'Association québécoise de la production médiatique déplore un déclin

La Presse

timean hour ago

  • La Presse

L'Association québécoise de la production médiatique déplore un déclin

L'Association québécoise de la production médiatique (AQPM) se dit très inquiète au sujet de l'audiovisuel après la publication du Profil de l'industrie audiovisuelle au Québec par l'Observatoire de la culture et des communications, le mois dernier. Anja Conton La Presse Canadienne Selon ce document, depuis 2023, la valeur de la production télévisuelle indépendante québécoise a reculé de 12 % et on constate une baisse du nombre de productions audiovisuelles québécoises de 17 %. La directrice de l'AQPM, Hélène Messier, se désole des résultats de ce rapport, mais n'est pas surprise : « Dans le fond, ça venait confirmer ce qu'on voit sur le terrain, ce que les maisons de production vivent, ce que le milieu de l'audiovisuel vit, qui est une situation difficile. » Selon elle, la baisse de la production est liée à divers facteurs, principalement économiques. Le secteur de la télévision est notamment affecté par la perte des financements publicitaires. Le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) exige des diffuseurs qu'un pourcentage de leurs revenus soit versé pour la production de contenu canadien. Ces revenus dépendent cependant des financements publicitaires désormais détournés par les plateformes en ligne et les médias sociaux. Une situation qui met un frein aux investissements pour la production audiovisuelle du Québec. « Si tes revenus descendent, bah !, tu réinvestis moins », ajoute Mme Messier. Le Fonds des médias du Canada (FMC) est aussi une des sources principales de financement pour la télévision. Ce fonds est alimenté par des entreprises de câblodistribution. Cependant, les désabonnements au câble sont nombreux et contribuent à une baisse des apports financiers pour le FMC. Hélène Messier se dit également préoccupée par la réaction des gouvernements face à ce déclin. Avec les plateformes étrangères qui contestent chaque décision du CRTC, Mme Messier craint que le gouvernement ne recule par rapport à son projet de loi C-11 (Loi sur la diffusion continue en ligne) ou encore sur ses projets de taxes numériques. « On imagine que ces plateformes vont se plaindre au gouvernement de Donald Trump, qui va peut-être, à ce moment-là, mettre le sujet sur la table. Ça évidemment, ça nous inquiète aussi », dit-elle. Une part de notre identité La directrice se dit très intriguée par le rapport que devrait prochainement publier le Groupe de travail sur l'avenir de l'audiovisuel au Québec, mis sur pied par le ministre de la Culture et des Communications, Mathieu Lacombe. Elle décrit le mandat du groupe comme très vaste et insiste sur le fait qu'il ne devrait pas se faire dans le cadre financier actuel, qui n'est pas suffisant pour assurer la croissance de l'industrie et la pérennisation de ce qui existe déjà. Pour elle, ce déclin de la production audiovisuelle est aussi une question d'identité et de valeur. « Je pense que c'est un problème aussi pour notre identité, pour ce qu'on veut représenter à l'écran, affirme-t-elle. Avec le déclin de la production, c'est un reflet de nous même que l'on perd. » Pour la directrice, la production audiovisuelle, comme toute culture de masse, représente une certaine cohésion au sein d'une population, « une espèce de communion, un véhicule pour faire de la propagande, pour propager des valeurs, des émotions ». La cérémonie d'hommage à Serge Fiori, mardi, est pour Mme Messier un bel exemple de l'importance de la culture et de ces milieux. « Il faut à tout prix que le gouvernement, autant au niveau fédéral que provincial, se rende compte de la fragilité de l'industrie audiovisuelle actuellement et continue de la soutenir », affirme-t-elle. Il est nécessaire que les gouvernements investissent davantage dans la culture, car elle est porteuse de « propriétés intellectuelles » et de « richesses collectives ». L'avenir du métier Le profil réalisé par l'Observatoire de la culture et des communications révèle également que près de 14 % des travailleurs ont perdu leur emploi au sein du secteur l'an passé. Ces pertes et le déclin de la production poussent beaucoup de travailleurs à prendre d'autres emplois pour subvenir à leurs besoins ou bien à totalement se réorienter. Après la pandémie de COVID-19, la reprise du secteur de la production audiovisuelle et les apports financiers avaient fait vivre un réel essor au milieu, mais celui-ci se dissipe à une grande vitesse. « À ce moment-là, on essayait de voir comment on pouvait développer des programmes de formation et accélérer ces processus pour inclure plus de travailleurs dans le secteur, explique-t-elle. On était même en pénurie d'emplois. Là, j'ai l'impression que [tout cela] s'est passé il y a comme 100 ans. » Cette rapide évolution de la situation et la baisse des emplois au sein du milieu sont également source d'inquiétude quant aux futures générations de travailleurs. « Ce n'est pas très motivant pour quelqu'un de décider que son avenir passe par cette industrie-là. »

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