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« On n'a pas peur de revenir devant les électeurs » : le PS planche sur un « plan dissolution » pour octobre

« On n'a pas peur de revenir devant les électeurs » : le PS planche sur un « plan dissolution » pour octobre

Le Parisien18-07-2025
Ne pas être pris au dépourvu comme en juin 2024. Le
Parti socialiste
annonce vouloir concocter un « plan dissolution » en cas de nouvelles législatives anticipées. Celui-ci devra être prêt pour le 3 octobre, date du retour du débat budgétaire à l'Assemblée.
« On veut que le PS soit prêt si cette échéance se présente », explique au Parisien – Aujourd'hui en France le secrétaire général du parti Pierre Jouvet, qui sera en charge du dispositif. Annoncé mardi 15 juillet, lors d'un bureau national, le plan sera mené en parallèle de la préparation des
municipales
de 2026.
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Profils des victimes, tireur présumé retrouvé sans vie… Ce que l'on sait sur les deux morts par balle en Côte d'Or
Profils des victimes, tireur présumé retrouvé sans vie… Ce que l'on sait sur les deux morts par balle en Côte d'Or

Le Parisien

time11 minutes ago

  • Le Parisien

Profils des victimes, tireur présumé retrouvé sans vie… Ce que l'on sait sur les deux morts par balle en Côte d'Or

Une scène d'horreur s'est jouée sur le parking d'une entreprise de BTP de Bressey-sur-Tille (Côte d'Or), près de Dijon. Les corps de deux hommes, tués par balles, y ont été découverts, dans la nuit de jeudi à vendredi. L'auteur présumé de ce double meurtre a été retrouvé mort, dans l'après-midi de ce vendredi. Une enquête est en cours pour déterminer les causes de ce double assassinat. La macabre découverte a été faite « par un employé ». Ce dernier a trouvé les corps des deux salariés « dans leurs voitures respectives, sur le parking de l'entreprise », précise le procureur de la République adjoint de Dijon, Pascal Labonne-Collin, dans un communiqué diffusé vendredi soir. Les deux victimes ont « été assassinées par arme à feu ». Elles étaient âgées de 42 ans. Le maire de la municipalité, Lionel Sanchez, avait indiqué s'être rendu tôt vendredi dans l'entreprise afin « d'apporter (son) soutien ». « Il y a deux décédés, apparemment des employés », avait-il ajouté, sans être en mesure d'en dire davantage notamment sur les circonstances. Une importante chasse à l'homme a été lancée dès le début de la matinée. Selon la gendarmerie, plus de 160 gendarmes ont été mobilisés, de la région et de l'ensemble de la France, et notamment des unités d'élite du Groupe d'intervention de la Gendarmerie nationale (GIGN). Cette « vaste opération » visait à retrouver « l'auteur présumé du double homicide », « salarié de l'entreprise, qui avait pris la fuite et était armé », a précisé le procureur adjoint dans son communiqué. Finalement, ce dernier a été retrouvé « sans vie, vers 14h30 à Lamarche-sur-Saône » (Côte d'Or), sur une aire de pique-nique. Selon nos informations, le tireur présumé était un homme âgé de 55 ans, il vivait dans la région. Il a été identifié comme étant Laurent L.. Il « s'était manifestement suicidé avec son arme », indique le parquet de Dijon, précisant que l'employé « semblait depuis quelques semaines instable ». Un litige entre le tireur et les deux personnes découvertes mortes dans l'entreprise pourrait être à l'origine des faits. Le procureur adjoint n'a pas donné de détails sur les circonstances du double meurtre, ni les mobiles du tireur présumé. « L'enquête va se poursuivre pour déterminer les causes de ce double assassinat », a déclaré le parquet de Dijon. Contactée par l'AFP, la société de BTP touchée par le drame n'a pas souhaité faire de commentaire. Spécialisée dans le béton, elle est récemment née de la fusion de deux sociétés du BTP, unissant deux grandes familles d'entrepreneurs de Côte d'Or.

Narcotrafic à Nîmes : le couvre-feu instauré pour les mineurs reconduit pour deux semaines
Narcotrafic à Nîmes : le couvre-feu instauré pour les mineurs reconduit pour deux semaines

Le Parisien

time41 minutes ago

  • Le Parisien

Narcotrafic à Nîmes : le couvre-feu instauré pour les mineurs reconduit pour deux semaines

Le couvre-feu imposé aux mineurs de moins de 16 ans dans certains quartiers prioritaires de Nîmes est prolongé pour 14 jours supplémentaires, a annoncé la ville de Nîmes vendredi, justifiant cette décision par « des circonstances de dangerosité et d'insécurité qui menacent encore ». Cette mesure en cours depuis le 21 juillet interdit aux mineurs de sortir non accompagnés entre 21 heures et 6 heures dans les quartiers les plus sensibles de la ville. Elle avait été instaurée après une succession de « fusillades, règlements de comptes et tensions entre bandes », avait alors expliqué la municipalité, précisant que la mesure était « renouvelable si nécessaire ». « La situation ne permet malheureusement pas de lever à ce jour le couvre-feu, il est essentiel de prolonger le dispositif afin de protéger au maximum les populations et particulièrement les plus jeunes », indique Jean-Paul Fournier, le maire de Nîmes, dans un communiqué . Le couvre-feu initial, qui devait prendre fin lundi à 6 heures, sera donc prolongé jusqu'au lundi 18 août. Alors que six quartiers prioritaires étaient concernés par le premier arrêté, ils ne seront plus que quatre à compter de lundi : Pissevin, Mas de Mingue, Chemin-bas et Valdegour, qui sont régulièrement le théâtre de fusillades ou d'assassinats liés au trafic de stupéfiants. Depuis quelques années, des villes moyennes comme Nîmes, Avignon ou Béziers sont rattrapées par un niveau de violences jusqu'alors réservé à Marseille, épicentre du narcobanditisme dans le sud de la France. « Nous restons pleinement engagés pour la sécurité des habitants, dans les limites de nos compétences. Nous appelons à des réponses fortes et coordonnées, portées par l'ensemble des acteurs publics, pour lutter activement contre le narcobanditisme qui pollue le quotidien des Nîmois de ces quartiers », souligne dans le communiqué Richard Schieven, l'adjoint au maire en charge de la sécurité. Cet été d'autres villes, de toutes couleurs politiques, ont mis en place des couvre-feux pour mineurs, à l'instar de Carpentras (Vaucluse), Béziers (Hérault), Triel-sur-Seine (Yvelines), Villecresnes (Val-de-Marne) ou encore Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis). Ces couvre-feux, dont l'efficacité reste difficile à mesurer, sont régulièrement attaqués en justice, notamment par la Ligue des droits de l'homme (LDH). « Les mesures de couvre-feu que peuvent mettre en place les maires, ce sont (normalement) des mesures ponctuelles, exceptionnelles, liées à leur commune. On voit bien que là, à chaque fois, la justification, c'est la délinquance liée au narcotrafic », a relevé auprès de l'AFP Sophie Mazas, avocate au barreau de Montpellier, qui a porté plusieurs contentieux liés à ces mesures. « Ce n'est pas un maire qui va gérer le narcotrafic, (…) on est sur une problématique nationale », a-t-elle ajouté.

Une femme retrouvée morte à La Réunion, sa mère et son compagnon mis en examen pour meurtre
Une femme retrouvée morte à La Réunion, sa mère et son compagnon mis en examen pour meurtre

Le Figaro

time41 minutes ago

  • Le Figaro

Une femme retrouvée morte à La Réunion, sa mère et son compagnon mis en examen pour meurtre

Selon les premiers éléments médicaux, la victime «pourrait être décédée d'un coup porté sur le crâne», qui a «entraîné un traumatisme crânien et un hématome sous-dural». La mère et le compagnon d'une femme de 45 ans retrouvée morte mercredi à La Réunion ont été mis en examen vendredi pour homicide volontaire et non-assistance à personne en danger, a-t-on appris auprès du parquet de Saint-Pierre. Le compagnon, âgé de 29 ans, a été placé en détention provisoire. La mère de la victime, 62 ans, a été placée sous «contrôle judiciaire strict», son état de santé ayant été jugé incompatible avec une incarcération. Le corps de la victime avait été découvert par la police dans l'appartement familial à Saint-Pierre, au sud de l'île. Les circonstances du décès ne sont pas encore établies à ce stade. Selon les premiers éléments médicaux, la victime «pourrait être décédée d'un coup porté sur le crâne», qui a «entraîné un traumatisme crânien et un hématome sous-dural», a détaillé dans un communiqué le procureur de Saint-Pierre, Olivier Clémençon. «Des ecchymoses, pour certaines anciennes» ont également été constatées sur le corps de la quadragénaire, a-t-il ajouté. Publicité La mère de la victime et son compagnon se trouvaient dans l'appartement à l'arrivée de la police et «présentaient des signes d'ivresse», selon le magistrat. «Plusieurs bouteilles d'alcool vides étaient retrouvées au domicile», a-t-il indiqué. «La famille était connue pour s'adonner à l'alcool et pour perturber régulièrement le voisinage par des disputes et des nuisances sonores», a expliqué le procureur. Le compagnon déjà condamné pour violences sur conjoint Lors de leurs auditions, les deux mis en cause «ont livré des versions contradictoires et non concordantes avec des déclarations de témoins et les constatations médicales», a relaté Olivier Clémençon. La victime et sa mère sont connues de la justice pour des violences réciproques. «Le compagnon a déjà été condamné en 2023 pour des violences sur conjoint», a déclaré le procureur, sans préciser si ces violences ont été commises sur la femme décédée. En mars, une femme de 35 ans avait été retrouvée morte en contrebas de son immeuble à Saint-Denis de La Réunion, un féminicide pour lequel son compagnon, un ancien policier de 49 ans, a été mis en examen et écroué. Entre 2006 et 2025, au moins 56 femmes ont été victimes de féminicide à La Réunion. Selon les chiffres du ministère de l'Intérieur sur les violences conjugales commises en 2023, l'île est le deuxième territoire français qui affiche le plus fort taux de victimes enregistrées.

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