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Le HuffPost France
12 minutes ago
- Le HuffPost France
La très controversée loi Duplomb en partie censurée par le Conseil constitutionnel
POLITIQUE - 2,1 millions de signatures plus tard, c'est l'heure du verdict. Le Conseil constitutionnel s'est prononcé ce jeudi 7 août sur la loi « visant à lever les contraintes à l'exercice du métier d'agriculteur » dite loi Duplomb, source de contestation depuis son adoption début juillet. Et les Sages ont décidé de censurer les dispositions autorisant la réintroduction de l'acétamipride. Le Conseil constitutionnel a au contraire validé les simplifications administratives accordées aux plus gros élevages, ainsi qu'à la construction d'ouvrages de stockage d'eau à finalité agricole -- avec néanmoins quelques réserves pour cette deuxième mesure. Il a également estimé que la procédure d'adoption du texte, qui avait été rejeté par ses propres défenseurs à l'Assemblée, était conforme à la Constitution. Réintroduction d'un pesticide pour protéger les cultures de betteraves sucrières, simplification des procédures pour les mégabassines, règles assouplies pour l'élevage intensif… La loi Duplomb a été présentée par ses défenseurs comme une réponse aux grandes manifestations agricoles de 2024. Mais elle est aussi très contestée par les défenseurs de l'environnement, scientifiques, restaurateurs et la gauche de la classe politique. Autant sur le fond que sur la forme.


Le Parisien
12 minutes ago
- Le Parisien
Yvelines : après la bagarre en discothèque, il tire deux fois sur le domicile de son rival
Il aurait pu opter pour la discrétion. Mais son désir de vengeance l'aura perdu. Un homme de 29 ans a écopé de trente mois de prison après avoir menacé de mort un jeune homme avec qui il s'était battu en discothèque. Fin juillet, les deux individus en viennent aux mains pour un motif banal dans une boîte de nuit du Val-de-Marne. Quelques jours plus tard, la mère de famille de l'un d'eux pousse les portes du commissariat de Plaisir (Yvelines). Elle vient de découvrir deux impacts de tir dans la porte du pavillon familial. Une ogive de 9 mm est encore logée dans l'isolant de la porte d'entrée et une douille est récupérée au sol, dans la rue. Des menaces sur Snapchat de viser « la prochaine fois » les genoux Son fils fait tout de suite le rapprochement avec la bagarre de la discothèque. L'homme avec lequel il s'est battu connaît son adresse et est même déjà venu chez lui plusieurs années auparavant. Il répète ses dires aux policiers, tout en donnant l'identité du tireur présumé. Il en profite également pour porter plainte après avoir reçu des menaces sur le réseau social Snapchat. Filmé à visage découvert avec une arme de poing, le rival le prévient que « la prochaine fois », il visera les genoux. Les policiers vont très vite identifier l'auteur des menaces et des tirs. Le bornage de son téléphone montre qu'il se trouve tous les jours dans les Yvelines, en dépit d'une interdiction prononcée par la justice dans une affaire de stupéfiants sur la commune de Saint-Germain-en-Laye. Il est donc inscrit dans le fichier des personnes recherchées. Il reconnaît les faits Le 30 juillet à 08h15, la gendarmerie de Dormans, dans la Marne, appelle le commissariat de Plaisir : l'individu que cherchent les enquêteurs se trouve dans leurs locaux. Il venait de signer son acte de présence dans le cadre de son contrôle judiciaire.


Le Parisien
12 minutes ago
- Le Parisien
Loi Duplomb : le Conseil constitutionnel censure la réintroduction de l'acétamipride, un pesticide jusque-là interdit
C'est peu dire que sa décision était attendue et qu'elle sera scrutée et commentée dans tous les sens, même au cœur de l'été. Le Conseil constitutionnel s'est prononcé, ce jeudi après-midi, sur la loi Duplomb. Et il a décidé de censurer la réintroduction de l'acétamipride, un pesticide jusque-là interdit. Dans la foulée de cette annonce, l'Élysée a fait savoir au Parisien que « le Chef de l'État a pris bonne note de la décision du Conseil constitutionnel et promulguera la loi telle qu'elle résulte de cette décision dans les meilleurs délais. » Présenté comme une réponse aux grandes manifestations agricoles de 2024, ce texte a été l'objet d'un fort mouvement de contestation malgré l'été, poussé par les défenseurs de l'environnement. Une pétition réclamant son abrogation a réuni plus de 2,1 millions de signatures. Opposition de sociétés savantes De nombreuses sociétés savantes avaient appelé le Conseil constitutionnel à censurer la loi, rappelant la « présomption forte de lien entre l'exposition aux pesticides » et « certains cancers » ou autres pathologies.