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Les versions thermiques de la Charger dévoilées, pour stimuler les ventes

Les versions thermiques de la Charger dévoilées, pour stimuler les ventes

La Presse2 days ago
De janvier à juillet, à peine 360 Dodge Charger Daytona – la variante électrique – ont trouvé preneur au Canada. C'est donc loin d'être un succès commercial, pour diverses raisons. Afin de stimuler les ventes du muscle car, la marque américaine a récemment présenté en détail les livrées thermiques qui compléteront sa gamme.
Commercialisées en parallèle de la Daytona, les versions SIXPACK inaugurent un changement philosophique important sous le capot de l'américaine. On n'y retrouve plus les V8 de la génération antérieure, mais bien un duo de six-cylindres en ligne de 3 L, une configuration qui est résolument plus européenne. Gavés en air par deux turbocompresseurs, ces moteurs de la famille Hurricane peuvent produire 420 ch en version dite « standard-output » ou 550 ch si l'on opte pour l'option « high-output ». Ce dernier produit 90 % de son couple maximal (531 lb-pi) de 3000 à 6000 tr/min, signe d'une bonne souplesse sur papier. Cela assure un 0-97 km/h en 3,9 s.
PHOTO FOURNIE PAR STELLANTIS
Le duo de six-cylindres biturbos marque un changement d'orientation sous le capot du muscle car.
La Charger thermique se veut aussi plus polyvalente en raison de l'intégration du rouage intégral de série, une option qui était auparavant réservée au V6 d'entrée de gamme. Celui-ci peut découpler les roues avant sur demande au moyen d'un jeu d'embrayage huilé, ce qui permet de transférer 100 % du couple aux roues arrière. Une transmission automatique à huit rapports est la seule offerte, pour guider le tout.
PHOTO FOURNIE PAR STELLANTIS
La planche de bord de la Dodge Charger 2026
Assemblée à Windsor, en Ontario, cette Charger sera proposée en carrosserie à deux portières et à quatre portières, un choix de configuration inédit dans son segment. Cela dit, avec l'abandon de la Chevrolet Camaro, seule la Ford Mustang se révèle une concurrente directe, avec une approche fort différente, voire nettement plus nostalgique. La Dodge Charger SIXPACK sera bientôt commercialisée au pays à un prix de départ de 59 995 $ pour la version R/T de 420 ch. La déclinaison coupé Scat Pack de 550 ch arrivera au début de 2026 et les berlines sont attendues plus tard.
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Les réserves d'eau atteignent un creux historique
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La Presse

time2 hours ago

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Les réserves d'eau atteignent un creux historique

La société d'État doit importer autant qu'elle exporte. Après deux années de sécheresse qui l'ont forcée à réduire ses exportations, Hydro-Québec constate que ses réserves d'eau sont actuellement au niveau le plus bas jamais enregistré. L'eau emmagasinée dans ses 28 réservoirs équivalait en mai dernier à la production de 50,3 térawattheures (TWh) d'électricité, selon le plus récent rapport sur l'état des réserves d'Hydro-Québec. C'est presque moitié moins que les 97 TWh en réserve l'an dernier, ce qui était considéré comme très bas. Les grands réservoirs d'Hydro-Québec peuvent contenir l'équivalent de la production de 178 TWh d'électricité, soit une année complète de consommation au Québec. Les 50,3 TWh représentent donc moins du tiers de cette capacité. Un térawattheure représente un milliard de kilowattheures. Le niveau très bas des réserves force la société d'État à importer massivement de l'électricité des réseaux voisins pour laisser ses réservoirs se remplir. « Avec la période de faible hydraulicité et avec les deux contrats fermes qui démarrent l'année prochaine, on s'est dotés d'une stratégie très prudente de notre stock », explique Maxime Nadeau, vice-président, Contrôle des mouvements d'énergie et exploitation du réseau. La société d'État doit livrer de l'énergie ferme à New York (10,5 TWh par année) et au Massachusetts (9,4 TWh par année) dès l'an prochain, d'où l'urgence de reconstituer les réserves. Depuis le début de l'année, Hydro-Québec a dû importer autant d'électricité qu'elle en a exporté. « On est pas mal à l'équilibre entre imports et exports depuis le début de l'année », indique Maxime Nadeau. Cette stratégie a un coût pour Hydro-Québec, qui, en plus de se priver de revenus provenant des exportations, doit acheter de l'électricité sur les réseaux voisins en plein été, lorsque les prix sont les plus élevés. Le coût de cette stratégie de remplissage des réservoirs devrait être connu lors de la publication des prochains résultats d'Hydro-Québec, indique le vice-président. Il souligne que l'entreprise peut choisir d'exporter quand les prix courants sont élevés et d'importer quand ils sont au plus bas. « Le prix est un facteur hyper important », dit-il. Soulagement en vue Le prochain rapport sur l'état des stocks d'énergie doit être déposé à la Régie de l'énergie à la fin de l'année. Hydro-Québec prévoit que le niveau d'eau dans ses réservoirs sera alors remonté à 114 TWh, grâce aux pluies automnales. « On est à l'aise avec une prévision de 100 à 114 térawattheures au 1er janvier 2026 », indique Maxime Nadeau. Hydro-Québec doit compter sur des réserves maximales avant la période des froids hivernaux, où la consommation d'électricité est à son maximum au Québec en raison des besoins de chauffage. L'an dernier, Hydro-Québec avait entamé l'hiver avec des réservoirs à leur plus bas niveau depuis 10 ans. La quantité d'énergie stockée dans les grands réservoirs d'une capacité de 178 TWh était de 97 TWh. En 2025, Hydro-Québec prévoit un apport d'eau moyen « supérieur aux deux dernières années », indique son porte-parole Pascal Poinlane. Alors que l'été tire à sa fin, « les réservoirs se remplissent progressivement, précise-t-il. Nous pourrons dresser un meilleur portrait de l'année 2025 à la fin de l'automne, une période qui est habituellement caractérisée par davantage d'apports en eau ». Selon lui, le niveau de remplissage de ces réservoirs varie selon la région où ils sont situés. Ainsi, celui qui a la plus grande capacité, le réservoir Caniapiscau, est seulement rempli à 45 %, alors que celui de La Grande est rempli presque à ras bord, indique-t-il. « Dans le nord du Québec, certains réservoirs ont des niveaux sous les moyennes historiques alors que d'autres réservoirs atteignent des niveaux qui sont dans les moyennes historiques », résume le porte-parole. Au sud, « malgré le temps sec observé cet été, le niveau d'eau de nos réservoirs, le réservoir Gouin par exemple, est nettement au-dessus de la moyenne », en raison des pluies abondantes du printemps, précise-t-il.

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