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« Depuis il ne me dit même plus bonjour » : la Russe Kudermetova dévoile la tentative de drague d'Holger Rune

« Depuis il ne me dit même plus bonjour » : la Russe Kudermetova dévoile la tentative de drague d'Holger Rune

Le Parisien30-07-2025
Elle est belle, et elle joue bien au
tennis
. Deux conditions suffisantes aux yeux d'
Holger Rune
pour tenter sa chance auprès de Veronika Kudermetova. Petits soucis : elle a six ans de plus que lui, et surtout elle est mariée à un autre ! Le Danois, qui est comme la Russe engagé cette semaine à l'Open de Montréal, a donc essuyé un net refus qu'il a visiblement mal digéré.
C'est en marge d'une interview donnée pour le podcast de l'ancienne joueuse Elina Vesnina, que la 42e joueuse mondiale a lâché l'info, provoquant la surprise puis le rire de son amie.
« Garçon, je suis probablement trop vieille pour toi, a justifié la Russe auprès du
récent vainqueur à Barcelone
. Si tu as regardé mon compte Instagram, tu a vu que j'ai un mari. Il a répondu :
Oh, désolé
. Depuis, il ne me dit même plus bonjour ».
Veronika Kudermetova est en couple depuis 2015 avec Sergueï Demekhine (41 ans), son coach depuis treize ans et ancien joueur. Ils sont mariés depuis 2017. « A l'âge de 16 ans, je l'aimais bien, mais je n'y pensais pas plus. C'est probablement mon éducation qui a parlé. De telles pensées me paraissaient inacceptables ».
Au Canada, Holger Rune, tête de série n°5, sera opposé demain en 16e de finale au Français
Alexandre Muller
. Veronika Kudermetova jouera quant à elle la n°1, l'Américaine Coco Gauff.
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La semaine de rêve de la Canadienne Victoria Mboko, 18 ans et 85e mondiale, au WTA 1000 de Montréal pourrait connaître une dernière note parfaite en cas de victoire en finale contre son idole Naomi Osaka ce jeudi soir (à partir de minuit heure française). La folie Victoria Mboko s'est emparée du Canada et ne s'arrête plus. Avec six victoires en douze jours et une qualification pour la finale du WTA 1000 de Montréal, la locale de l'étape, 18 ans et 85e joueuse mondiale, signe un parcours jusqu'ici au plus que parfait devant son public et tentera dans la nuit de jeudi à vendredi (à partir de minuit heure française) de remporter son premier titre face à son idole de jeunesse Naomi Osaka (49e). Bénéficiaire d'une wild-card, Mboko a tout écrasé sur son passage, écartant notamment trois anciennes lauréates en Grand Chelem : Sofia Kenin (27e) au deuxième tour et Coco Gauff (2e) en huitièmes de finales, à chaque fois en deux sets secs, et Elena Rybakina (12e) en demi-finales mercredi soir, réussissant à renverser une situation bien mal embarquée face à la Kazakhstanaise (1-6, 7-5, 7-6 [4]). « Je détestais plus perdre que j'aimais gagner » : Victoria Mboko, la pépite canadienne qui illumine le WTA 1000 de Montréal « Le stade était électrique, c'était monstrueux, raconte la franco-néerlandaise Noëlle Van Lottum, responsable du tennis féminin pour Tennis Canada depuis bientôt deux ans. Elle est juste en extase, elle n'en revient pas non plus, ce soutien la porte et influence le cours du match. Victoria avait un break de retard dans le troisième set, a sauvé une balle de match, et le public ne l'a jamais lâché, ce n'était pas évident pour Rybakina, ça a joué. Ce n'est pas facile à appréhender non plus pour Victoria mais elle le contient bien. C'est un peu comme le rêve de Loïs Boisson à Roland-Garros, elle est chez elle ici à Montréal, c'est top. C'est une semaine incroyable pour elle et pour le tennis canadien. » Une ascension fulgurante en 2025 Très prometteuse chez les juniors, encore 350e joueuse mondiale en début de saison, « Vicky » avait connu un premier coup de projecteur au printemps en ralliant le troisième tour de Roland-Garros. Mais cette fois-ci tout est décuplé pour la protégée de Nathalie Tauziat, qui encadre la promesse du tennis canadien depuis son retour de l'académie de Justine Henin en Belgique l'année dernière. « On ne savait pas trop comment elle allait prendre la pression de jouer chez elle. Finalement, elle l'a prise très, très bien. » Nathalie Tauziat, coach de Victoria Mboko « On savait qu'elle avait un potentiel mais ce qu'on ne savait pas c'est que ça allait arriver si vite, explique Tauziat. Quand on l'a récupéré en novembre, elle était 350. On savait qu'elle avait le potentiel pour être Top 100, même pas besoin d'être du métier pour s'en rendre compte je pense. De là à ce qu'elle explose tous les objectifs qu'on s'était fixés, peut-être pas... C'était la première fois qu'elle jouait le tournoi ici donc on ne savait pas trop comment elle allait prendre la pression de jouer chez elle. Finalement, elle l'a prise très, très bien. » Alors qu'Eugenie Bouchard, finaliste de Wimbledon 2014 et ancienne 5e mondiale, a mis fin à sa carrière à Montréal cette semaine, le passage de témoin est tout trouvé pour le tennis canadien. « Le clin d'oeil est sympa, appuie Van Lottum. Voir dans la même semaine Eugénie partir et Victoria arriver tout de suite derrière, c'est magnifique. L'élan est parfait. Si elle gagne, elle passera 24e mondial, numéro 1 canadienne et tête de série pour l'US Open, ça serait top pour nous et surtout pour elle. Mais il ne faut pas s'emballer et garder les deux pieds sur terre. » Battre son idole Naomi Osaka en finale Une capacité à garder la tête froide dans les moments chauds que Mboko a déjà mis à l'épreuve au cours de la semaine, montrant une sacrée force de caractère malgré son inexpérience. « Pour moi le déclencheur dans sa semaine, c'est sans doute le match contre Bouzkova, où elle a réussi à retourner la situation (1-6, 6-3, 6-0) contre une joueuse qui joue en plus très bien en ce moment et qui venait de remporter un WTA 250 à Prague », détaille Tauziat. « Ce que j'aime bien chez elle, c'est cette façon de prendre la défaite comme la victoire, sans s'enflammer dans un sens ou dans l'autre. » « Une joueuse en confiance comme ça, c'est toujours dangereux et elle a réussi à retourner le match en étant plus humble, en tenant l'échange et en se battant bien, ajoute sa coach. 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Stefanos Tsitsipas sous l'influence de son père : « Je veux continuer à travailler avec lui jusqu'au dernier jour de ma carrière »
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Stefanos Tsitsipas sous l'influence de son père : « Je veux continuer à travailler avec lui jusqu'au dernier jour de ma carrière »

Un an après une séparation tumultueuse, Apostolos Tsitsipas est de nouveau le coach de son fils Stefanos. Mais le joueur jure que, cette fois, son père a changé. Ah, les relations père-fils... Tout un programme. Prenez Tom Cruise, par exemple. Avant de se consacrer à sauver la planète dans des missions impossibles pour tout le monde sauf lui, il avait bâti sa filmographie, de Top Gun à Magnolia en passant par des Hommes d'honneur, sur l'absence du père. À l'opposé du spectre des défauts paternels, il y a le père omniprésent, ogre écrasant. Au hasard, Apostolos Tsitsipas dont le fiston Stefanos n'arrive pas à se séparer depuis qu'il a tapé dans sa première balle de tennis. Il y avait bien eu une rupture, l'an dernier, après un Open du Canada tumultueux entre les deux hommes. Coaché par Dimitris Chatzinikolaou, capitaine de l'équipe grecque de Coupe Davis et proche de la famille, Tsitsipas était venu à Cincinnati en arborant une mine réjouie. Comme libéré d'un poids, il s'était présenté après sa victoire au premier tour face à Jan-Lennard Struff, cramé par le soleil de l'Ohio, épuisé, mais apaisé comme jamais. On se disait alors que c'était peut-être le premier jour du reste de sa vie. « Travailler avec Goran (Ivanisevic) était super, c'était bien d'avoir avec moi quelqu'un que j'avais choisi, mais il manquait quelque chose dans notre relation » Stefanos Tsitsipas Las, un an plus tard, Stefanos a officialisé le retour d'Apostolos en tant que coach. Et tant pis pour les voisins du pater familias, incapable de rester silencieux durant les matches de son fils. Un retour qui interroge forcément. Stefanos est-il capable d'exister sans Apostolos ? Il a bien essayé de travailler avec Goran Ivanisevic, mais cela n'a pas fonctionné. Au contraire, cela l'a convaincu de faire revenir papa, alors qu'il dégringolait au 30e rang mondial, son plus mauvais classement depuis presque dix ans. « Quand j'ai commencé à travailler avec Goran, j'ai réalisé que je devais peut-être faire un dernier essai avec mon père, lui donner une nouvelle chance d'être proche de moi. Travailler avec Goran était super, c'était bien d'avoir avec moi quelqu'un que j'avais choisi, mais il manquait quelque chose dans notre relation », se souvient le joueur grec. Trop de conflits par le passé Amusé que sa relation avec son père intéresse tant le monde du tennis, Tsitsipas reconnaît qu'elle était bien trop conflictuelle par le passé. « Tout le monde l'a vu, je ne peux pas dire que ça ne s'est pas passé, convient-il. Mais nous ne nous crions plus dessus comme ce fut le cas. Aujourd'hui, nous avons une relation plus apaisée. » Mais encore... « Avec mon père, nous devions changer beaucoup de choses dans notre façon de nous comporter l'un envers l'autre. Mais ce qui me rendait la vie difficile, c'était qu'il n'était pas prêt pour ces changements. Moi, j'avais fait tout ce que je pouvais. Mais rester avec mon père était surtout devenu une source de frustration au lieu d'être un plaisir. C'est pour ça que j'ai arrêté il y a un an. » Comment Stefanos Tsitsipas tente-t-il de se réinventer ? Si le fiston a continué sa vie sur le circuit, se focalisant sur sa relation, également très exposée, avec Paula Badosa, le retour à la maison fut compliqué pour le père. Tsitsipas explique que « ne plus être mon coach a été un choc pour lui et ça lui a ouvert les yeux sur certaines choses. Ça lui manquait de ne plus m'avoir dans sa vie quotidienne ». Selon le joueur, le coach en aurait tiré des enseignements. « Il a appris à me remettre au centre du projet, au lieu de d'abord vouloir faire passer ses idées et ses certitudes. Il est plus à l'écoute de mon ressenti qu'avant. On verra comment ça va évoluer dans le temps. » « Ca dépend de lui de ne plus me sortir des monologues, je n'en ai pas besoin. J'ai besoin de dialoguer avec quelqu'un qui m'écoute » Stefanos Tsitsipas, à propos de son père Et d'insister sur la forme, presque plus que sur le fond de leur relation. C'est clair, Stefanos ne veut plus se faire engueuler par Apostolos. Pas plus qu'il ne veut être jugé. C'est lui qui est sur le court et il assumera ses décisions pendant les matches. Il veut bien en discuter, mais pas prendre une douche froide à la sortie du court. « Il a compris qu'il devait faire preuve de plus d'empathie et de compréhension », affirme Stefanos. Ce qui est certain, c'est qu'il pense sur le long terme et qu'il met beaucoup d'espoir dans ce retour paternel. « Je veux continuer à travailler avec lui jusqu'au dernier jour de ma carrière. Maintenant, ça ne dépend que de lui que ça se passe comme ça. Ça dépend de lui de ne plus me sortir des monologues, je n'en ai pas besoin. J'ai besoin de dialoguer avec quelqu'un qui m'écoute. » Comme il l'a dit, le temps jugera.

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