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« Ne pas les regarder » : le manager Cédric Laborde confiant avant la demi-finale du Mondial U20 entre les Bleuets et les Baby Blacks

« Ne pas les regarder » : le manager Cédric Laborde confiant avant la demi-finale du Mondial U20 entre les Bleuets et les Baby Blacks

L'Équipe12-07-2025
Cédric Laborde, le manager de l'équipe de France des moins de 20 ans, a évoqué la demi-finale de la Coupe du monde face à la Nouvelle-Zélande (lundi, 18 heures, en direct sur la chaîne l'Équipe). Tous les voyants semblent au vert pour les Bleuets.
L'équipe de France U20 affronte la Nouvelle-Zélande en demi-finales de la Coupe du monde, lundi (18 heures). À deux jours de la rencontre, le manager Cédric Laborde a assuré que les Bleuets avaient parfaitement préparé cette rencontre. « On continue de bien travailler, a expliqué le manager tricolore. Les joueurs sont concentrés, les entraînements qualitatifs. On ressent plus d'implication. »
Concernant la confrontation face aux Baby Blacks, il prône également la confiance : « Cela fait plusieurs années que nous battons cette équipe. Même s'il faut s'en méfier car c'est une équipe très forte. Ils imposent beaucoup de pression à leurs adversaires. Ils jouent par vague, en mettant beaucoup de rythme avec des lancements très programmés. On a bien bossé pour y répondre. Il ne faut pas les regarder. Mais on bénéficie du gros travail effectué par les équipes de France des années précédentes. J'espère qu'eux aussi sont impressionnés par les Bleuets. »
D'ailleurs, les Bleuets, qui seront confrontés au Haka des Baby Blacks, ont aussi anticipé cette nouveauté : « Cela fait partie de cette équipe. C'est la seule équipe chez les jeunes qui le fait, c'est nouveau, mais nous avons aussi anticipé ce moment, a précisé Cédric Laborde. À savoir comment réagir par rapport à cet événement cultuel. Il faut respecter cette tradition, mais surtout rester concentré et connecté pour réussir notre entame de match. » Enfin, concernant ses choix, le manager des U20 a surtout parlé stratégie. Par exemple sur le choix de Luka Keletaona à l'ouverture plutôt que Diego Jurd, qui sera sur le banc : « Nous avons deux numéros 10 de grande qualité. C'est stratégique. Si Luka amène plus d'impact en défense, on estime que Diego a plus de qualités pour gérer la fin de match ou, au contraire, le faire basculer en notre faveur. »
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Malgré son expérience comme manager général d'Indiana époque finale NBA (perdue face aux Lakers en 2000), le président du Paris Basketball David Kahn affirme n'avoir jamais vécu les émotions charriées par son aventure française, marquée par un premier titre de champion de France décroché fin juin, et promet une ambition intacte pour l'exercice à venir. Il flottait en ce soir de juillet les parfums mêlés du premier jour et de l'au revoir. L'Adidas Arena était comme éventrée, son parquet rendu à l'état de béton en attendant d'être renouvelé pour le début de la saison prochaine. Un peu comme son équipe, dont les cadres sont partis - TJ Shorts, Tyson Ward, Mikael Jantunen...- et qui va subir un lifting contraint et inédit. Jamais à court d'idées, le Paris Basketball avait choisi ce moment pour positionner des sièges transparents à même le sol et projeter sur le cube central le film documentaire - Tout éteindre, disponible sur Amazon Prime Video - contant son historique saison, conclue par le titre de champion de France et une place en quarts de finale de l'Euroligue (défaite 0-3 dans la série contre Fenerbahçe, futur champion d'Europe). À cette occasion, David Kahn (63 ans), le président américain du club né en 2018, avait confessé un sentiment « doux-amer », acceptant de revenir sur la fin du premier cycle du Paris Basketball tout en clamant une ambition intacte. « Qu'avez-vous ressenti en revivant en version documentaire votre dernière saison ?C'est un sentiment doux-amer, car TJ (Shorts), Tyson (Ward), Kevarrius (Hayes), Mikael (Jantunen) s'en vont. Il est impossible de repenser à cette aventure sans y songer. Mais les relations créées avec eux me donnent l'espoir qu'ils reviendront peut-être un jour. J'ai ressenti une immense joie, de la fierté. J'ai eu un peu mal au coeur, aussi. Mais il est encore tôt pour la nostalgie. Où placeriez-vous cette aventure dans votre carrière ?J'ai été fier d'être le manager général d'Indiana quand nous sommes allés en finale NBA (2000, défaite contre les LA Lakers). On a ouvert l'Arena - le Conseco Fieldhouse -, Larry Bird était notre coach. Et pourtant... Paris, ça reste différent. Il y a quelque chose d'incomparable quand tu construis quelque chose du sol au plafond, littéralement. Quand on est arrivés avec Eric (Schwartz, le principal financier, ex-actionnaire minoritaire des Atlanta Hawks), il n'y avait rien. Pas de salle, pas un club purement parisien depuis le titre du PSG Racing en 1997... Alors, la satisfaction de réussir est sans commune mesure. Nous avons façonné un club, son image, ses trophées, et vu grandir toute une communauté qui a embrassé le projet : staff, coaches, joueurs, supporters. C'est leur équipe désormais, celle de la ville de Paris. On a créé quelque chose qui est plus qu'un club. Une entité culturelle en qui les gens peuvent s'identifier, qu'ils veulent accompagner, dont la ville peut se servir au niveau politique et sociétal. Il faut en être fiers. Le travail n'est pas fini, mais ces premières années ont été incroyablement enrichissantes. De la Pro B au titre de champion de France : une fulgurante ascension en huit dates Aviez-vous idée de pouvoir en arriver là en 2018 ?Cela dépasse largement ma vision. Le mot « parfait » est surutilisé, galvaudé. Mais, sincèrement, j'ai le sentiment qu'on s'approche d'une forme de perfection quand je vois ce que je vois, et que je vis ce que je vis ici. On a gagné la Coupe et le titre de champion tout en perdant en Euroligue face au futur champion. On n'allait pas remporter l'Euroligue dès notre première année (rire). On avait déjà pris la Leaders Cup et l'Eurocoupe l'an passé. C'est inimaginable. Cette soirée à Madrid, où l'on va chez eux en play-in et qu'on domine (81-73) l'organisation et la marque sportives numéro 1 au monde, restera dans notre histoire. Comme d'autres moments plus insolites. Que le rappeur Sheck Wes (dont la chanson « Mo Bamba » fait partie des hymnes du club) ait fait partie de l'équipe (3 matches en Pro B en 2020-2021) reste un truc aussi improbable que génial, rendu possible par l'agence Yard. « Notre objectif est, au pire, un business à l'équilibre » Le club perd plusieurs millions d'euros par an pour l'instant. Un modèle bénéficiaire est-il possible ?Aucun club d'Euroligue ne fait de bénéfices... Je ne vis pas bien le fait de perdre de l'argent. Eric (Schwartz) non plus. Mais nous sommes dans une position intéressante à Paris, dans l'Adidas Arena. Si le basket européen parvient à résoudre son puzzle commercial, et tant qu'on continuera à faire ce qu'il faut ici, ça finira par marcher. Dans quelles proportions ? Je l'ignore, mais notre objectif est, au pire, un business à l'équilibre. La solution réside-t-elle dans les droits télé ? La NBA Europe ?Il faut réduire le gap entre la qualité du produit et ses résultats commerciaux. La NBA ? Elle serait forcément d'un grand secours. Mais il est crucial que le basket européen parvienne lui-même, déjà, à assembler les pièces du puzzle. Il y a beaucoup à faire sur les droits télé/médias en effet. Les architectes du sacre de Paris Pour le site News Tank, lors d'une intervention, vous avez évoqué la nécessité d'un « changement fondamental » et suscité l'ire des instances en affirmant : « Nous sommes en train d'être tués par la LNB et l'Euroligue ». Comment résoudre ce problème de droits ?C'est vrai, ils étaient fâchés, à la Ligue. Mais ce n'est pas le sujet. Ce que je veux dire, c'est que tant qu'ils n'agiront pas, au quotidien, avec la même urgence dont nous essayons d'être animés au Paris Basketball, je continuerai à les irriter. Je serai toujours exigeant, parce que j'attends le meilleur de mon club comme du basket européen, dont je reste convaincu qu'il est le meilleur produit en dehors de la NBA. Mais aujourd'hui ? Cela n'est pas matérialisé commercialement. « Le fait que Nadir Hifi reste est un signal important. Il était crucial de ne pas perdre à la fois TJ (Shorts) et Nadir » Avez-vous peur du vide laissé par TJ Shorts, parti au Panathinaïkos ?On peut espérer ne pas trop s'en ressentir. On passe beaucoup de temps, avec James Newman (manager général), Amara Sy (directeur sportif) à faire l'équipe pour les années à venir. D'autres joueurs arrivent. La masse salariale va augmenter (5,6 M€ en 2024-2025, 2e derrière Monaco). Et le fait que Nadir Hifi reste est un signal important. 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Mondiaux de natation : Léon Marchand fait le choix de ne pas s'aligner sur le 200 m brasse et le 200 m papillon
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Mondiaux de natation : Léon Marchand fait le choix de ne pas s'aligner sur le 200 m brasse et le 200 m papillon

Le quadruple champion olympique a décidé, selon une information de Franceinfo Sport, de ne pas concourir sur ces deux épreuves pour les Mondiaux de Singapour qui démarrent le 27 juillet. Programme allégé pour Léon Marchand. Selon une information de Franceinfo Sport, le quadruple champion olympique ne s'alignera finalement pas sur le 200 m brasse et le 200 m papillon, lors des Mondiaux de natation à Singapour le 27 juillet prochain. Le Toulousain devait normalement participer à quatre courses, le 200 m brasse et le 200 m papillon ainsi que les 200 m et 400 m 4 nages. Marchand disputera donc ces deux dernières courses qu'il connaît bien puisqu'il est double champion du monde en titre. Publicité «C'est un choix qu'on a fait parce que nous sommes en année post-olympique et qu'il n'a jamais eu l'occasion de présenter un 200 m 4 nages sans avoir de course avant ou après le même jour, a détaillé Nicolas Castel, son entraîneur. Léon Marchand entrera en lice le mercredi 30 juillet sur le 200 m 4 nages. Un programme légèrement chamboulé puisque le nageur devait participer aux séries du du 200 m papillon deux jours avant.

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