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Trump demande à la justice d'entendre rapidement Murdoch

Trump demande à la justice d'entendre rapidement Murdoch

La Presse28-07-2025
Rupert Murdoch en visite à la Maison-Blanche, à Washington, le 3 février 2025.
(Miami) Donald Trump a demandé lundi au juge responsable de sa plainte en diffamation pour un article du Wall Street Journal de recueillir dans les plus brefs délais le témoignage du magnat des médias Rupert Murdoch, invoquant notamment son âge, 94 ans.
Agence France-Presse
Ce juge de Miami, en Floride, a dans la foulée donné à Rupert Murdoch, patron de News Corp, le groupe de médias auquel appartient le Wall Street Journal, jusqu'au 4 août pour éventuellement s'opposer à cette demande de la partie adverse.
Le président américain réclame des milliards de dollars au quotidien pour un article lui attribuant une lettre salace à l'intention de Jeffrey Epstein en 2003 pour le 50e anniversaire de celui-ci, ce qu'il dément catégoriquement.
La mort de Jeffrey Epstein, riche homme d'affaires retrouvé pendu dans sa cellule à New York le 10 août 2019 avant son jugement pour crimes sexuels, a alimenté d'innombrables théories du complot selon lesquelles il aurait été assassiné pour empêcher des révélations embarrassantes sur des personnalités de premier plan.
Les avocats de Donald Trump font valoir dans leur requête que « M. Murdoch vient d'avoir 94 ans et a connu, mais heureusement surmonté, de multiples problèmes de santé », y compris récemment.
De plus, il réside à New York, loin de Miami où se juge cette affaire. « On peut donc présumer, à la fois en raison de son âge et de sa santé, et/ou de la distance le séparant de ce tribunal, qu'il ne sera pas disponible au procès », dont la date n'a pas encore été fixée, ajoutent-ils.
PHOTO DÉPOSÉE EN COUR, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE
Ghislaine Maxwell et Jeffrey Epstein
Par ailleurs, l'avocat de Ghislaine Maxwell, ex-compagne et complice de Jeffrey Epstein, a produit lundi un nouvel argumentaire écrit à l'appui du recours de sa cliente devant la Cour suprême pour obtenir l'annulation des poursuites qui ont amené à sa condamnation en 2022 à 20 ans de prison pour trafic sexuel.
Il reproche notamment au département de la Justice de s'opposer à ce recours en tentant de « faire diversion par une recension sordide et hors sujet des agissements de Jeffrey Epstein ».
« Cette affaire porte sur ce que le gouvernement a promis, pas sur ce qu'a fait Epstein », souligne-t-il.
Le 14 juillet, le département de la Justice s'était sèchement opposé à ce recours.
Mais il a depuis changé de ton à l'égard de Ghislaine Maxwell. Le numéro deux du département, Todd Blanche, ancien avocat personnel de Donald Trump, est allé la semaine dernière jusqu'à se rendre à Tallahassee, capitale de la Floride, où elle purge sa peine, pour l'interroger pendant une journée et demie.
Donald Trump, qui pendant des mois a promis à sa base des révélations fracassantes sur ce dossier, subit un retour de flamme, y compris dans son propre camp, depuis que son gouvernement a annoncé début juillet n'avoir découvert aucun élément nouveau qui justifierait la publication de documents supplémentaires.
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Legault et Ford ont fait ces commentaires après que les premiers ministres des provinces et le premier ministre Mark Carney se soient rencontrés en privé, mercredi, de façon virtuelle. « J'ai mentionné que ce qui freine l'économie, ce ne sont pas seulement les tarifs, c'est l'incertitude, qui amène les entreprises à retarder leurs investissements. Et cette incertitude va persister jusqu'à ce que l'Accord de libre-échange Canada–États-Unis–Mexique soit renégocié. Il faut amorcer cette renégociation le plus tôt possible », a affirmé M. Legault. Le premier ministre du Québec a ajouté que, dans l'intervalle, les gouvernements ne doivent « pas rester passifs ». « Il faut accélérer la diversification de notre économie et soutenir les investissements publics et privés. Il faut aussi s'assurer que les dépenses du gouvernement fédéral en matière de défense soutiennent notre secteur manufacturier, en partenariat avec la France et l'Europe », a-t-il écrit sur le réseau X. 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Ford aux journalistes à Queen's Park, à Toronto, mercredi après-midi, appelant à une action rapide pour stimuler l'économie. « Soyons donc prêts. Je pense que cela arrivera en novembre. Il va nous attaquer sans relâche, alors mieux vaut être prêts et tout donner. » L'Ontario est en désaccord avec la Saskatchewan concernant la réponse du Canada à l'escalade de la guerre commerciale. M. Ford a appelé à des représailles immédiates, tandis que le premier ministre de la Saskatchewan, Scott Moe, exhorte Ottawa à tempérer les ardeurs sur les droits de douane de rétorsion. Avant de rencontrer M. Carney, le premier ministre Ford s'est dit frustré par les répercussions des droits de douane américains élevés sur l'économie de sa province. Il a de nouveau appelé à imposer des mesures de représailles. « On ne peut pas avoir de droits de douane d'un côté et pas de l'autre. Je maintiens ce que je dis : dollar pour dollar, droit de douane pour droit de douane », a expliqué M. 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Trump « ouvert à une rencontre » avec Poutine et Zelensky
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Trump « ouvert à une rencontre » avec Poutine et Zelensky

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Agence France-Presse Ce qu'il faut savoir L'émissaire américain Steve Witkoff a rencontré le président russe Vladimir Poutine au Kremlin, mercredi ; La rencontre a duré près de trois heures et la conversation a été « utile et constructive », selon un conseiller diplomatique russe ; Donald Trump a donné jusqu'à vendredi à la Russie pour qu'elle mette fin à son offensive en Ukraine, sous peine de nouvelles sanctions ; Les relations entre la Russie et les États-Unis connaissent un pic de tensions avec le déploiement par Donald Trump de deux sous-marins nucléaires ; Des frappes de drones russes ont fait cinq blessés mercredi à l'aube dans les régions ukrainiennes de Zaporijjia et de Kherson, et Moscou a intercepté 51 drones ukrainiens. Selon le New York Times, Donald Trump a dit mercredi à plusieurs dirigeants européens vouloir rencontrer Vladimir Poutine en personne dès la semaine prochaine, et organiser ensuite une réunion à trois avec Volodymyr Zelensky. L'émissaire de Donald Trump, Steve Witkoff, a eu mercredi à Moscou des échanges qualifiés de « productifs » avec Vladimir Poutine, à deux jours de l'expiration de l'ultimatum des États-Unis à la Russie, sommée de mettre fin au conflit en Ukraine. La rencontre s'est achevée dans l'après-midi à l'issue de « près de trois heures » de discussions, selon l'agence de presse étatique russe TASS. « Une conversation très utile et constructive a eu lieu » au Kremlin sur le conflit en Ukraine et les relations russo-américaines, a de son côté déclaré à la presse le conseiller diplomatique du chef de l'État russe, Iouri Ouchakov, assurant que la Russie avait « envoyé certains signaux » sur le dossier ukrainien et en avait reçu de la part de Washington. Le président américain a lui aussi assuré sur son réseau Truth Social que la réunion entre Steve Witkoff et M. Poutine avait été « très productive » et que de « grands progrès » avaient été faits. PHOTO TIRÉE DU COMPTE TRUTH SOCIAL DE DONALD TRUMP Un haut responsable américain a toutefois précisé que les États-Unis prévoyaient toujours de mettre en place vendredi des sanctions secondaires, c'est-à-dire visant les pays qui se fournissent auprès de la Russie, en particulier en pétrole et en armes. Après cette rencontre entre MM. Poutine et Witkoff, Donald Trump a parlé au téléphone avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky, a annoncé ce dernier, précisant que des dirigeants européens avaient également assisté « à cet entretien, sans préciser lesquels. « Notre position commune avec nos partenaires est absolument claire : la guerre doit cesser », a lancé M. Zelensky. Menace de sanctions M. Witkoff, qui est l'homme de confiance de Donald Trump pour les « missions de paix », a déjà rencontré M. Poutine à plusieurs reprises mais aucun de ces entretiens n'a amené ce dernier à changer de cap. 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PHOTO ALEX BRANDON, ARCHIVES ASSOCIATED PRESS Donald Trump a donné la semaine dernière jusqu'à vendredi à la Russie pour qu'elle mette fin à son offensive en Ukraine, sous peine de nouvelles sanctions. Le président américain, qui avait repris le contact avec Vladimir Poutine à son retour à la Maison-Blanche dans l'espoir de mettre rapidement fin au conflit en Ukraine, exprime dorénavant de plus en plus ouvertement sa frustration à l'égard du maître du Kremlin. Les efforts américains ont poussé Russes et Ukrainiens à organiser trois sessions de pourparlers à Istanbul mais elles n'ont débouché que sur des échanges de prisonniers et de corps de soldats tués. Achat d'armes pour l'Ukraine Malgré la pression exercée par Washington, l'offensive russe contre son voisin se poursuit. En Ukraine, des frappes de drones russes ont fait trois blessés mercredi à l'aube dans la région méridionale de Zaporijjia et deux dans celle de Kherson, également dans le sud, selon les autorités régionales. De l'autre côté de la ligne de front, le ministère russe de la Défense a annoncé l'interception de 51 drones ukrainiens dans la nuit de mardi à mercredi. Pour renforcer les défenses de l'Ukraine, la Suède, le Danemark et la Norvège ont annoncé mardi leur intention d'acheter des armes provenant de réserves américaines. Stockholm, Copenhague et Oslo vont faire don de 500 millions de dollars de matériel militaire, comprenant des systèmes de défense antiaérienne, des armes antichars, des munitions et des pièces détachées. Donald Trump avait annoncé le mois dernier un projet en collaboration avec le chef de l'OTAN Mark Rutte pour que les Alliés européens et le Canada achètent des armes américaines, notamment des systèmes antiaériens Patriot, afin de les envoyer en Ukraine. Vladimir Poutine, qui a toujours rejeté les appels à un cessez-le-feu provisoire, a affirmé vendredi qu'il souhaitait une paix durable mais que ses exigences pour mettre fin au conflit restaient inchangées. 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Les Canadiens ne peuvent plus choisir le genre « X »
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Les Canadiens ne peuvent plus choisir le genre « X »

(Ottawa) Les Canadiens qui renouvellent ou demandent une carte Nexus pour voyager ne peuvent plus choisir le genre « X », à la suite d'un décret du président américain, Donald Trump, stipulant que le gouvernement américain ne reconnaîtra plus que les sexes masculin et féminin. Catherine Morrison La Presse Canadienne Cette politique est entrée en vigueur en février 2025. Les nouveaux demandeurs et les personnes renouvelant leur adhésion au Programme pour les voyageurs dignes de confiance peuvent présenter une demande avec un passeport canadien portant l'identifiant de genre « X », mais devront sélectionner « homme » ou « femme » pour leur adhésion Nexus, a expliqué un porte-parole de l'Agence des services frontaliers du Canada (ASFC). Les cartes Nexus identifiant les membres actuels par un genre autre que « homme » ou « femme » resteront valides, a précisé le porte-parole. Les adhésions Nexus sont valables cinq ans et visent à accélérer les passages frontaliers entre le Canada et les États-Unis. Le porte-parole de l'ASFC a déclaré que, bien que le Canada et les États-Unis partagent la gestion du programme Nexus, le processus de demande est hébergé sur un système américain exploité par le Service américain des douanes et de la protection des frontières.

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