
PSG-Real Madrid : Kylian Mbappé lance les retrouvailles en s'affichant avec le maillot parisien
Nostalgie, légère provocation ou simple amusement sur les réseaux sociaux ? À quelques heures du duel PSG-Real Madrid en demi-finale de la Coupe du monde des clubs (mercredi 21h), Kylian Mbappé a décidé de communiquer. L'ancien Parisien, qui sera au centre de ses attentions lors de ces retrouvailles, a publié une story Instagram. On y voit le capitaine de l'équipe de France vêtu du maillot rouge et bleu, numéro 7 dans le dos, levant les bras après un but marqué au Parc des Princes.
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«GOAT» du PSG ?
Surtout, sur ce cliché, la mention publicitaire «GOAT» ne passe pas inaperçue en arrière-plan. «GOAT», soit l'acronyme de «Greatest of All Time» («le meilleur de tous les temps»). Un moyen, peut-être, pour Mbappé de rappeler à tout le monde qu'il reste le meilleur buteur de l'histoire du PSG, avec 235 réalisations en 264 matchs disputés... Très attendu, l'attaquant madrilène n'avait pas besoin de ça pour aborder ce choc sous pression. Le match est lancé.
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30 minutes ago
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Les médaillés oubliés de Paris 2024 - Camille Jedrzejewski : « Le retour à la vie normale a été compliqué »
La pistolière Camille Jedrzejewski, médaillée d'argent à 25 m, recevait encore des félicitations en cascade plusieurs mois après les JO. Une surprise pour la championne d'un sport peu habitué à cette reconnaissance. C'est une histoire de chaud-froid. Presque de bouillant-glacial. Le bouillant, c'était la ferveur, un public jamais vu en France pour le tir, à Châteauroux il y a un an. Pour Camille Jedrzejewski, 23 ans, il y eut donc la médaille d'argent en pistolet 25 m, puis Paris, le Parc des champions, le Club France, des rencontres avec ses idoles, et ce double statut, troublant, de médaillée olympique et de groupie. L'euphorie. Et le coup de froid, quand l'orgie de félicitations, sollicitations médiatiques et des partenaires vint à se raréfier. Quand son plus gros sponsor, Decathlon, après quelques années de soutien sur le chemin des Jeux, se retira. « J'ai vu Camille en pleurs devant d'autres champions, raconte Walter Lapeyre, son entraîneur, évoquant les quelques jours parisiens qui ont succédé à son séjour castelroussin. Il y avait Marie-José Pérec, Renaud Lavillenie, qu'elle admire et qui lui disaient que ce qu'elle avait fait était fantastique. Ils la tutoyaient, elle avait l'impression que les rôles étaient inversés. » Deux mois ainsi, les yeux ronds, à rencontrer des gens qui paraissaient la connaître depuis toujours, à être appelée par son prénom par la ministre des Sports, échanger avec Djokovic et comparer leurs médailles. « Décembre a été dur mentalement. J'ai repris l'entraînement, je suis tombée malade et j'étudiais » Camille Jedrzejewski Le tout sans trop toucher au pistolet, sachant que l'après-Paris 2024 était tourné vers ses études de kinésithérapie, délaissées le temps de la prépa olympique. « À l'automne, le retour à la vie normale a été compliqué, avec aussi ces désillusions niveau sponsor, ajoute Lapeyre. C'était''je me retrouve dans mon appart et je révise''. Mais je crois qu'elle avait besoin de ça, de ses études pour combler le vide. » Mission accomplie, deuxième année validée, « mais c'est vrai, confie Jedrzejewski, que décembre a été dur mentalement. J'ai repris l'entraînement, je suis tombée malade et j'étudiais. Le souvenir des Jeux a commencé à devenir plus lointain en janvier, en reprenant la compétition. Et là, hop, des athlètes que je n'avais pas vues depuis longtemps m'ont encore félicitée. Alors, là, j'ai dit''Eh les gars, faut arrêter, c'était il y a six mois !'' » Camille Jedrzejewski, une tireuse argentée et fan des Jeux Mais on ne se refait pas, elle n'avait pas abdiqué ses ambitions, malgré un entraînement technique et physique allégé. Des Championnats d'Europe de pistolet 10 m en mars (6e), une Coupe du monde à Munich (2e à 10 m) et des Championnats d'Europe en juillet à Châteauroux, où elle a moins brillé, à 25 m, qu'un an auparavant (11e). Avec, à la fin, des yeux très humides assez raccords avec ce mélange d'ambition et d'émotions qui la caractérise. Mais surtout une nouvelle cible : les Mondiaux au Caire, en novembre.

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À Nantes, l'enjeu du jeu avec plus de jeunes et moins de moyens
Après une saison anxiogène, Nantes ouvre un nouveau chapitre avec Luis Castro à sa tête et l'espoir de renouer avec le jeu. Mais son budget est drastiquement revu à la baisse. C'est sympa, l'été à Nantes. Le Voyage, une déambulation culturelle surprenante, s'invite en ville et le musée d'arts accueille l'expo « Electric Op », qui propose des oeuvres de Vasarely. Les spectateurs sont quand même avertis pendant la visite : des effets visuels peuvent affecter certaines personnes sujettes aux vertiges. Le conseil ne serait peut-être pas de trop, non plus, pour les supporters nantais car leur FCN est un spécimen difficile à identifier en cette période agitée. D'un côté, il pourrait presque séduire. Luis Castro, entraîneur qui a épaté à Dunkerque (L2), a succédé à Antoine Kombouaré pour tenter de raviver un semblant de jeu à la Beaujoire. Et après quelques semaines seulement, ce que le Portugais souhaite mettre en place dans ses animations est déjà perceptible, avec plus de tenue du ballon, quitte à mettre à contribution le gardien dans le jeu au pied. Un but a même été inscrit contre Rennes après une minute de possession, en amical (2-3, le 26 juillet). Les premiers pas de Castro On observe aussi plus de risques pour récupérer le ballon, avec l'envie de défendre haut, parfois jusqu'à la médiane, en travaillant les hors-jeu et en laissant des espaces dans le dos. À cela, il faut ajouter une politique consistant à travailler avec les jeunes. « Beaucoup de bonnes surprises », en a dit Castro. Une douzaine a été lancée en cette pré-saison, comme Tylel Tati ou Bahmed Deuff, et au moins quatre prétendent au 11, avec Louis Leroux et Dehmaine Tabibou en étendard. Ce n'est pas pour déplaire au centre de formation, lequel voit les fruits de son travail trouver une continuité. Et cela n'a évidemment rien d'anodin à Nantes, car c'est ce que le public local, qui avait fini par exprimer sa lassitude au mois de mai, réclame : l'alliage jeunes et jeu. Le défi de la succession des cadres La légère ombre au tableau est que les Canaris disposent de moyens drastiquement en baisse. Leur budget passe de 80 à 50 M€ et, comme beaucoup de clubs français privés de droits télé, le FCN a été contraint de vendre. Beaucoup. Par besoin de renouvellement ou nécessité, il a déjà cédé ses actifs pour plus de 40 M€, un record. Nathan Zézé, formé au club, a par exemple été acheté 20 M€ par Neom, un montant jusque-là jamais atteint par les Canaris, et il n'est pas impossible que Matthis Abline, meilleur buteur du FCN lors du précédent exercice (11 buts toutes compétitions confondues), soit à son tour attaqué d'ici à la fin du mercato. L'octuple champion de France parvient ainsi à souffler économiquement et à flirter avec l'équilibre, ce qui est déjà une petite victoire en cette période d'austérité, mais son vestiaire est donc amputé de plusieurs cadres. Si certains paraissaient essoufflés, leur succéder s'apparentera parfois un défi, à l'image de la place d'ailier laissée par Moses Simon (parti au Paris FC), prépondérant pour arracher le maintien la saison écoulée. Pour le moment, Nantes s'est lancé dans un marché d'opportunités, à bas coût, sans doute intelligent, mais parfois dénué de références en Ligue 1, ce qui n'offre pas beaucoup de garanties et peut, cette fois, instiller le doute chez les amoureux du FCN. À peine arrivé, le Serbe Uros Radakovic est, par exemple, déjà invité à partir... « Le terrain va parler », promet-on de concorde à la Jonelière. Pour une heureuse surprise ou un trompe-l'oeil ? De la capacité à se montrer patient avec Castro et les jeunes joueurs dépendra possiblement la qualité du millésime 2025-2026. Les fans, eux, n'ont pas baissé les bras. Malgré les derniers exercices éprouvants, ils seront encore plus de 13 000 abonnés.


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Comme annoncé depuis quelques jours, l'ancien milieu rennais Lesley Ugochukwu a quitté Chelsea et s'est engagé, ce mercredi, avec Burnley, promu en Premier League. Lesley Ugochukwu va découvrir un troisième club anglais. Comme annoncé ces derniers jours, le milieu français de 21 ans s'est officiellement engagé à Burnley, ce mercredi, pour un contrat de cinq ans, soit jusqu'en 2030. Il est le deuxième Français à rejoindre les Clarets après un autre ancien Rennais, Loum Tchaouna. Le joueur formé à Rennes (60 rencontres), qui va désormais évoluer sous les ordres de Scott Parker en Premier League, avait été transféré à Chelsea en 2023 contre 27 millions d'euros. Sous le maillot des Blues, l'international Espoirs (six sélections) a disputé 15 matches lors de la saison 2023-2024, avant d'être prêté un an à Southampton (31 rencontres toutes compétitions confondues pour un but et deux passes décisives). « Le choix idéal pour moi à ce stade de ma carrière » Lesley Ugochukwu « Dès que j'ai appris l'intérêt du club pour mon recrutement, j'ai eu envie d'en savoir plus sur le projet. J'ai discuté avec l'entraîneur et Maxime Estève (défenseur français qui évolue à Burnley depuis 2024) - ils étaient tous deux passionnés par le club et son orientation. Je pense que c'est le choix idéal pour moi à ce stade de ma carrière, compte tenu de l'ambition affichée par le club », a réagi Ugochukwu dans un communiqué du club anglais.