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Guerre en Ukraine : Jean-Noël Barrot en visite à Kiev

Guerre en Ukraine : Jean-Noël Barrot en visite à Kiev

Le Parisien21-07-2025
Un déplacement
pour afficher son soutien
. Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, est arrivé à Kiev ce lundi pour une visite de deux jours, ont constaté des journalistes de l'AFP.
Le chef de la diplomatie française doit rencontrer son homologue Andriï Sybiga, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, ainsi que
la nouvelle Première ministre, Ioulia Svyrydenko
.
« Au lendemain
des sanctions d'ampleur inédite
venant d'être adoptées par la France et l'Union européenne contre le régime russe, le ministre réalisera un point d'étape sur le soutien apporté par la France à l'Ukraine », a indiqué le ministère français des Affaires étrangères dans un communiqué.
Vendredi, l'Union européenne a adopté un nouveau paquet de sanctions d'ampleur contre la Russie en raison de la guerre en Ukraine, abaissant notamment le plafond du prix du pétrole russe exporté vers des pays tiers à un niveau 15 % inférieur à la valeur du marché.
Jean-Noël Barrot est arrivé peu après la levée des alertes aériennes à Kiev, où
une nouvelle nuit d'attaques russes
a fait au moins un mort dans la capitale.
Alors que des frappes sont régulièrement menées par les forces armées russes contre les infrastructures énergétiques de l'Ukraine, menaçant sa sécurité et celle du continent européen, le ministre se rendra à la centrale nucléaire de Tchernobyl.
La France a contribué à la réparation d'une structure de confinement radiologique de la centrale, endommagée par un drone russe en février, une attaque qui n'a pas entraîné de rejet de radioactivité.
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Le gouvernement veut augmenter la part des assurés sur l'achat de médicaments
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Le gouvernement veut augmenter la part des assurés sur l'achat de médicaments

Afin de réaliser les 5,5 milliards d'euros d'économies sur le secteur de la santé, une des propositions avancées est d'augmenter la part payée par l'assuré sur les boîtes de médicaments. Alors que le gouvernement souhaite économiser 5,5 milliards d'euros sur le secteur de la santé pour le prochain budget, le ministre chargé de la Santé et de l'Accès aux soins, Yannick Neuder a confirmé jeudi sur France info souhaiter une hausse du plafond des franchises médicales. L'annonce n'est pas nouvelle, elle a déjà été évoquée par Catherine Vautrin dans un entretien au Monde paru ce samedi, qui a appelé à «responsabiliser les assurés». L'augmentation de la franchise médicale n'est pas une première: déjà le 31 mars 2024 elle est passée, pour les médicaments, de 50 centimes à un euro. «Le gouvernement a décidé de doubler le plafond des franchises médicales, et celui des participations forfaitaires ainsi que d'augmenter le montant de ces franchises et participations forfaitaires», a annoncé Catherine Vautrin au Monde samedi dernier. Et la franchise « peut être deux euros » par boîte de médicament, au lieu d'un euro, a précisé Yannick Neuder. Une simple hypothèse ajoute le ministre: « ça fait partie des discussions ». «Nous voulons aussi que, demain, ces franchises soient payées au comptoir [en pharmacie], plutôt que via le fonctionnement actuel, avec un prélèvement ultérieur que l'assuré ne voit pas», a précisé Catherine Vautrin. Autrement dit, le patient pourrait, demain, payer directement le reste à charge à la pharmacie. Publicité Pou rappel, chaque assuré doit régler une franchise médicale sur certains frais, dont les boîtes de médicaments. Elle est aujourd'hui de 1 euro par boîte ou acte paramédical, et 4 euros par transport sanitaire. À l'année, la franchise médicale ne peut excéder 50 euros pour tous les actes et prestations concernées. Autrement, dit c'est un montant à la charge du patient, déduit directement des remboursements. Certaines personnes en sont exonérées, comme les moins de 18 ans, les bénéficiaires de la complémentaire santé solidaire ou de l'Aide médicale d'état. La franchise n'est prélevée que sur les médicaments remboursés par l'Assurance maladie. Ainsi, par exemple, si l'assuré achète une boîte de médicaments à 10 euros, et que ce médicament est remboursé à 65 %, l'Assurance Maladie remboursera 5,50 € (6,50 € - 1 € de franchise). Plafond des franchises médicales Enfin, la ministre a annoncé doubler le plafond des franchises médicales. Il est aujourd'hui de 50 euros maximum à payer par an et par assuré sur les boîtes de médicaments, les actes paramédicaux et les transports sanitaires. Il passerait donc à 100 euros par an par assuré. Le gouvernement a aussi décidé de doubler le plafond des participations forfaitaires (consultations) de 50 euros aujourd'hui à 100 euros. L'augmentation de la franchise sur les médicaments est une «mesure injuste qui pénalisera d'abord les malades chroniques et âgés» a dénoncé Philippe Besset, président de la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France comme l'ont rapporté nos confrères du Parisien. Mais pour le gouvernement, derrière ces annonces, en plus de faire des économies, l'objectif est aussi de sensibiliser les patients : «La santé n'a pas de prix mais elle a quand même un coût», a campé Yannick Neuder sur France Info. Confirmant ainsi l'affirmation de Catherine Vautrin au Monde: «il faut arrêter avec cette idée que l'Assurance-maladie, 'c'est gratuit, j'y ai droit' : il faut être vigilant, tous ensemble, sur nos dépenses. » Il faut, pour Yannick Neuder, «que tout le monde se rende compte que tout ça n'est pas gratuit" mais financé par les impôts. Cette augmentation à venir du plafond doit être "soutenable pour tout le monde : pour les entreprises, pour l'Assurance-maladie, pour les patients", a-t-il nuancé.

Bison Futé voit noir pour ce chassé-croisé attendu, entre juillettistes et aoûtiens
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Bison Futé voit noir pour ce chassé-croisé attendu, entre juillettistes et aoûtiens

TRANSPORT - Il faudra prendre son mal en patience. L'organisme d'informations routières Bison Futé prévoit de nombreux kilomètres d'embouteillage et des difficultés en pagaille sur les routes des vacances le week-end prochain. C'est le fameux chassé-croisé entre les juillettistes et les aoûtiens. Le prévisionniste pointe samedi 2 août comme journée critique, dans le sens des départs. Tous les départements hexagonaux sont en « noir », selon le code couleur en vigueur. Ceci, sur l'ensemble de la journée. En clair, « les déplacements devraient être particulièrement difficiles sur les grands axes de l'hexagone, du début de la matinée jusqu'en début de soirée », explique Bison Futé sur son site internet, avec « une circulation très importante attendue en direction de la côte atlantique, de la côte méditerranéenne et pour la traversée du Massif central. » Ainsi, les autoroutes A10, A63, A11, A7, A9, A61 et A75, A20 risquent d'être surchargées. Du rouge jusqu'à lundi La situation sera un peu meilleure dans le sens des retours. Le prévisionniste parle malgré tout de conditions de circulation « difficile » sur l'ensemble du territoire (code orange), voire « très difficile » (code rouge) dans le sud de la France. Le pourtour méditerranéen, des Pyrénées orientales aux Alpes-Maritimes, est notamment concerné. « Les axes au départ de la côte méditerranéenne seront très sollicités à l'instar des autoroutes A9, A7 A75 », indique ainsi l'organiste, qui prévoit également « quelques difficultés de circulation ponctuelles » en Île-de-France, avec des retours qui vont se concentrer entre le milieu de l'après-midi et le début de soirée. Les choses devraient sensiblement s'améliorer le lendemain, dimanche 3 août. Bison Futé parle de circulation « difficile » (seulement) dans tous les départements, dans le sens des départs, et anticipe une sorte d'accalmie pour les retours. Ainsi, la circulation devrait être « habituelle » dans la majeure partie du territoire. Seul le quart sud-est pourrait connaître de nouvelles perturbations. « Les encombrements seront localisés en Auvergne-Rhône-Alpes et sur la façade méditerranéenne », résume l'organisme. Ce n'est pas tout. La journée de lundi promet elle aussi son lot de coups de klaxon et autres scènes d'embouteillages. « Dans le sens des départs, les usagers seront très nombreux sur les routes du quart Sud-Est », écrit de nouveau le prévisionniste. La circulation restera « rouge » dans cette zone. Les plus patients pourront donc attendre mardi, avec un retour à la normale sur tout le territoire et dans les deux sens.

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Un plein avantageux avant un grand départ en vacances. Les tarifs du carburant étaient au plus bas en ce mois de juillet, à un niveau qui n'avait pas été atteint depuis 2021, à en croire les moyennes établies par le ministère de la Transition écologique . Concrètement, en juillet 2025, le tarif du gazole était en moyenne de 1,6279 euro le litre, contre 1,7070 euro en juillet 2024. Un tarif qui n'avait pas été aussi bas depuis juillet 2021, quand le gazole était à 1,4395 euro le litre. Un plein en juillet 2025 coûtait donc en moyenne 81,395 euros, contre 85,35 euros l'an dernier à la même période. Soit environ 4 euros de différence en un an. La différence est aussi notable sur les tarifs du sans-plomb 95-E10 : en juillet 2025, le ministère de la Transition écologique relevait une moyenne de 1,6694 euro le litre, contre 1,8019 euro le litre en juillet 2024. Là aussi, il faut remonter à juillet 2021 pour retrouver un tarif plus intéressant, avec une moyenne de 1,5508 euro le litre de sans-plomb. Au début de l'été, un plein de sans-plomb 95-E10 de 50 litres coûtait donc 83,47 euros. En comparaison, il coûtait 90,095 euros en juillet dernier. Soit 6,625 euros de différence en un an. Reste à savoir si ces prix avantageux vont durer. Arnaud Aymé, consultant spécialiste des transports chez Sia Partners, se dit optimiste auprès de BFMTV . « Les pays producteurs et exportateurs, les pays de l'Opep, ont annoncé ces derniers jours qu'ils voulaient encore augmenter leur production de pétrole au mois d'août, pour gagner des parts de marché notamment sur les producteurs américains », confie-t-il. De quoi favoriser, donc, le maintien d'une baisse des prix.

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