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Une semaine avant d'affronter Nice, Benfica s'offre la Supercoupe du Portugal contre le Sporting

Une semaine avant d'affronter Nice, Benfica s'offre la Supercoupe du Portugal contre le Sporting

L'Équipe31-07-2025
Un but chanceux de Vangelis Pavlidis a suffi à Benfica pour décrocher la Supercoupe du Portugal face au voisin et champion du Sporting CP (1-0), jeudi. Les Lisboètes n'ont pas impressionné pour autant, à une semaine du match aller du 3e tour préliminaire de la Ligue des champions face à Nice.
Mercredi prochain, Nice défiera une équipe qui a déjà un conquis un trophée, mais qui n'a pas impressionné. Au troisième tour préliminaire de la Ligue des champions, les Aiglons ont rendez-vous avec Benfica, vainqueur du Sporting CP et de la Supercoupe du Portugal (1-0), ce jeudi à Faro. Seulement devancés par leur voisin lisboète en Championnat et défaits par ce même rival en finale de Coupe du Portugal (3-1, a.p.) la saison passée, les Benfiquistes commencent ainsi l'exercice 2025-2026 par une revanche miniature.
Au sortir d'une première période terne, Vangelis Pavlidis a réveillé le stade de l'Algarve (50e). Opportuniste, le Grec a surgi à l'entrée de la surface pour décocher une frappe chanceuse, déviée par Morten Hjulmand et mal négociée par les mains moites de Rui Silva. Le gardien du Sporting a bien failli offrir le but du break à Nicolas Otamendi, mais par la suite, Benfica a plutôt été dominé. Grâce à des sorties de balle efficaces, le champion du Portugal, orphelin de Viktor Gyökeres, a réalisé plusieurs incursions dangereuses, sans se montrer assez tranchant dans la surface adverse, à l'image d'une timide tête caviardée par Pedro Gonçalves (79e). Au bout d'une fin de match tendue et d'un interminable temps additionnel, le SLB a fini par l'emporter.
Tout savoir sur Benfica, gros morceau face à plusieurs inconnues et adversaire de Nice au 3e tour préliminaire de Ligue des champions
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Après la défaite de l'OGC Nice au 3e tour préliminaire retour de Ligue des champions ce mardi (0-2, 0-2 au match aller), Franck Haise a estimé que la place de son équipe était en Ligue Europa plutôt qu'en C1. En conférence de presse après la défaite de l'OGC Nice au 3e tour préliminaire retour de Ligue des champions face à Benfica (0-2, même score qu'au match aller), l'entraîneur des Aiglons Franck Haise a estimé que le résultat reflétait l'écart de niveau entre les deux équipes. « Aujourd'hui on n'a pas les armes pour rivaliser à ce niveau-là, il faut juste être lucide », a déclaré l'entraîneur du club azuréen. « On a fait notre maximum, même si en première mi-temps on a bien commencé le match et je pense qu'on aurait pu aller un peu plus loin », a complété le technicien. « On n'a pas les armes pour jouer la Ligue des champions, donc on va se concentrer à la fois sur la Ligue Europa, parce qu'on a une revanche à prendre sur cette Ligue Europa [Nice avait terminé à la 35e et avant-dernière place de la phase de ligue après avoir concédé cinq défaites et trois matches nuls en huit rencontres]. C'est déjà suffisamment notre niveau, on doit montrer qu'on a un meilleur niveau que l'an passé en Ligue Europa », a conclu Haise.

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Benfica trop facile, Richard Rios en chef d'orchestre et le collectif niçois impuissant, retrouvez les tops et les flops de la nouvelle défaite niçoise face aux Lisboètes. TOPS La maîtrise de Benfica Trois classes d'écart. C'est au moins ce qui séparait Benfica de Nice ce mardi soir au Stade de la Luz à l'occasion du match retour du 3e tour préliminaire de la Ligue des champions. Les Lisboètes se sont amusés pendant presque l'intégralité de la rencontre. Nice a bien tenté de se battre à chaque début de période mais ce vent de rébellion s'est vite essoufflé. Les hommes de Bruno Lage ont surclassé la rencontre par leur jeu long qui a terriblement mis en difficulté la défense du GYM. Le premier but (18e) d'Aursnes vient de là. Les Portugais ont tenté moult combinaisons, la plupart sont passées grâce à un niveau technique supérieur mais également à une apathie des joueurs niçois, Schjelderup se chargeant de tuer tout suspense à la 27e minute, seul dans la surface pour le 2 à 0. Publicité Les statistiques à la pause sont peut-être plus éloquentes que les mots. 64% de possession pour Benfica, 13 tirs dont 4 cadrés et aucune faute commise. Du côté niçois, seulement six frappes et une seule dans le mille. En plus d'être maladroits, les azuréens ont aussi été agressifs avec neuf fautes. En seconde mi-temps, les quelques minutes de domination n'ont pas suffi au GYM pour marquer. Le train était passé. Plus aucun but ne sera inscrit, Benfica préférant tenter de nouvelles combinaisons plutôt que de punir les récents quatrièmes de Ligue 1. Les entrants ont également été percutants, surtout Gianluca Prestianni, qui après avoir subi une vilaine semelle de Jonathan Clauss, a multiplié les courses vers l'avant et les frappes dangereuses. Schjelderup décisif 21 ans et déjà une activité impressionnante. Pour sa deuxième saison à Benfica, Andreas Schjelderup est en train d'éclore. Le Norvégien a été intenable sur son côté gauche. Il réalise un contrôle de la poitrine parfait à la 18e minute et transmet le ballon dans le bon tempo à Fredrik Aursnes en pleine surface, qui ne se prive pas de fusiller Yehvann Diouf à bout portant. 9 minutes plus tard, le même Aurnes trouve Schjelderup seul à 16 mètres des cages adverses. La frappe à ras de terre du Norvégien est superbement placée dans le petit filet du portier niçois, inarrêtable. Deux buts à zéro dès la 27e minute de jeu. La qualification était déjà en poche. Benfica peut remercier son duo de pistons Schjelderup/Aursnes, qui aurait aussi mérité de figurer dans les tops. Le joueur de 21 ans a également été très important dans toutes les transitions qui ont suivi, même si aucun autre but n'a été inscrit ensuite, il est sorti à la 64e minute. Rios omniprésent Benfica a trouvé son chef d'orchestre. Recruté en provenance du club Brésilien de Palmeiras cet été, Richard Rios a joué ses deux premiers matchs contre Nice. Il faut dire que le Colombien n'a pas déçu ni eu besoin de temps d'adaptation. L'ancien de Flamengo a distribué les ballons au milieu de terrain, envoyant ses attaquants et pistons dans le dos des défenseurs niçois tout le long du match. Après avoir été un poison à l'aller, Rios a mené la charge du côté de Benfica ce mardi soir. Le Colombien est infatigable et très costaud dans les duels. Nul doute qu'il va vite finir par attirer l'œil d'un cador européen s'il continue comme ça. Son passage à Lisbonne pourrait bien ne durer qu'un an. FLOPS Le manque de combativité des Niçois 10 minutes intenses à se battre pour chaque ballon et puis plus rien ou presque. L'OGC Nice a été surclassé, écrasé, martyrisé par Benfica. Le collectif azuréen a pris l'eau toute la soirée. Trop peu de réactions face à des Portugais qui se sont montrés de plus en plus faciles dans leurs transitions. Si Jonathan Clauss a tenté de sonner la révolte à plusieurs reprises, encouragé par Franck Haise, ses paroles n'ont pas ou très peu été suivies d'effets. Comme à l'aller, la grande majorité des frappes ont terminé leur course en tribune et comme à l'aller, Anatoliy Trublin n'a pas eu besoin de plonger sur le reste des tirs niçois. Moffi et Bouanani ont tenté à plusieurs reprises, sans succès quand la recrue Isak Jansson a été une deuxième fois consécutive invisible. Publicité Diouf et la défense impuissants Yehvann Diouf n'a pas eu tant de frappes à arrêter, les Portugais ayant beaucoup vendangé une fois à l'abri. Le gardien Sénégalais ne peut pas grand-chose sur les deux buts portugais. Sa défense l'a abandonné à plusieurs reprises. Constamment transpercés, les centraux comme les latéraux, ont pris l'eau. Juma Bah a coulé, Clauss n'est pas irréprochable sur le premier but et le capitaine du soir Melvin Bard a surtout été vu en attaque plutôt qu'en défense. Seule satisfaction du soir, le jeune Djibril Coulibaly, 16 ans, qui faisait ses débuts en professionnel. Il a été l'auteur d'un magnifique tacle glissé dans la surface en première mi-temps face à Ivanovic, l'empêchant d'alourdir le score. Le tricolore est certes, mal placé sur le deuxième but Schjelderup, mais difficile de lui en vouloir tant la défense niçoise semblait perdue et orpheline sans son vétéran et capitaine Dante (41 ans). Un effectif trop faible Comment un jeune de 16 ans peut-il faire ses débuts en pro lors d'un barrage de Ligue des champions ? Franck Haise a semble-t-il aligné les joueurs disponibles, surtout en défense centrale. Les multiples blessures ont empêché l'entraîneur niçois d'enclencher une dynamique positive. Quatre de ses centraux sont à l'infirmerie : Ndayishimiye (genou), Bombito (tibia), Dante (genou) et Abdelmonem (genou). Le latéral Abdi (pubalgie), les milieux Ndombélé (pubalgie) et son attaquant Cho (convalescence) sont également indisponibles. Difficile d'aligner une équipe compétitive avec tant d'absents, surtout quand les deux meilleurs offensifs sont partis et n'ont pas été remplacés. Gaëtan Laborde et Evan Guessand ne sont plus là. Terem Moffi vient lui tout juste de revenir après 15 mois sans jouer. L'effectif niçois est bien trop juste et il y a urgence à recruter, pour ne pas être à nouveau ridicules en Ligue Europa mais aussi pour accrocher une place européenne en Ligue 1.

Les notes de Benfica-Nice : Bouanani-Jansson, une attaque atone
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Les Niçois n'ont pas réussi à passer l'obstacle Benfica, lors du match retour du 3e tour préliminaire de la Ligue des champions (0-2, 0-2 à l'aller). Comme la semaine dernière, l'attaque du Gym a eu du mal à exister, à l'image de Badredine Bouanani et d'Isak Jansson qui ont cruellement manqué d'impact et de présence offensive. Il n'a suffi que deux actions à la paire d'ailiers norvégiens Schjelderup (8) - Aursnes (8) pour dynamiter la défense niçoise. Passeur décisif sur l'ouverture du score à la suite d'un habile contrôle de la poitrine, le premier, à la qualité technique dévastatrice dans les petits espaces, s'est offert un but plein de sang-froid sur une frappe depuis l'entrée de la surface (27e), avant de trouver la barre à bout portant (62e).Buteur sur un enchaînement somptueux qui a laissé Peprah Oppong à terre (18e), le second a brillé par sa capacité à créer des décalages par la passe dans le dernier tiers, à l'image de son service en une touche sur la réalisation du break après une talonnade astucieuse d'un Dedic (6) actif (7) a créé de nombreux décalages grâce à un jeu long d'une grande précision (9e, 14e), tout comme Barrenechea (7), dont l'ouverture pour Schjelderup sur le but du 1-0 a lancé la domination lisboè adroit qu'au match aller, Ivanovic (5) aurait pu tuer tout suspense sur une reprise manquée (45e + 1), avant d'annihiler une situation prometteuse en étant signalé en position de hors-jeu (54e). S'il est difficile de l'incriminer sur le premier but (18e), où Aursnes est vraiment à bout portant, le gardien doit sans doute pouvoir se coucher plus vite sur le deuxième (27e), car il était tout proche de son poteau. Quelques arrêts quand c'était plié. En difficulté à l'aller, il fut hier le meilleur des trois défenseurs centraux. Plutôt solide dans les duels, il réalise un joli sauvetage devant Pavlidis (38e). Un peu loin du centreur sur le premier but mais le décalage est fait en amont. Une tête à côté où il peut mieux faire (48e) Le joueur appartenant à Manchester City a été en grosse difficulté, et il n'a pas été loin du rouge lorsqu'il a tiré le maillot de Pavlidis (33e). Mis au supplice par le Grec sur l'action du poteau de Schjelderup (62e). Du mieux tout de même en fin de match. Il fut au bord du penalty en début de match (10e) et se couche surtout trop vite face à Aursnes sur le premier but. Mais il a aussi sauvé quelques coups, notamment dans la dernière demi-heure. L'origine du premier but se trouve dans son dos, car il n'est pas replacé après sa perte de balle. Il fut peut-être le meilleur Niçois offensivement, entre sa reprise sur le poteau (32e) et ses coups de pied arrêtés plutôt bien frappés. Remplacé par Koutoune (73e) Le contexte était très délicat pour un gamin de 16 ans disputant ses premières minutes en pro. Mais le milieu a montré de la personnalité balle au pied et fut l'auteur d'un tacle salvateur (25e). Seul bémol, son placement entre deux chaises sur le second but. Remplacé par Diop (60e). S'il a montré de la bonne volonté en début de match, il est souvent apparu en retard et a donc commis des fautes dans le pressing. Du déchet, une vilaine perte de balle qui a offert une occasion à Ivanovic et le sentiment que le niveau était trop élevé pour lui. Il laisse sans doute trop de liberté à Dedic au départ du second but. Celui qui portait le brassard au coup d'envoi s'est montré relativement timide offensivement, passé son centre de la première minute. Une bonne récupération à l'origine de l'occasion de Bouanani. Il a eu une situation où il s'est bien retourné mais a vu sa frappe déviée par un défenseur (50e). Mais c'était beaucoup trop peu et, comme à l'aller, il a eu un mal fou à exister, avec une tendance à multiplier les touches de balle. Remplacé par Bernardeau (73e). Il avait du jus en début de match, mais il a mal exploité sa première situation. Il n'a pas fait un mauvais match, souvent livré à lui-même face à la charnière benfiquiste. Il a amené de la vie sans non plus crever l'écran. Remplacé par Nguene (82e). En première période, on ne l'a tout simplement pas vu. Il a un peu plus essayé de combiner après la pause, lorsque la pression lisboète était bien moins intense. Mais dans l'ensemble, ce fut insuffisant. Il faudra le revoir face à une adversité moins redoutable. Remplacé par Boga (73e). Il comptait dix absents au coup d'envoi et il n'avait donc pas grand choix pour son équipe de départ. Celui de mettre Coulibaly et ses 16 ans aura été plutôt concluant.

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