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Mavi García gagne en solitaire la deuxième étape

Mavi García gagne en solitaire la deuxième étape

La Presse27-07-2025
(Quimper) L'Espagnole Mavi García a remporté en solitaire la deuxième étape du Tour de France dimanche à Quimper en conservant trois secondes d'avance sur un groupe réglé au sprint par la Néerlandaise Lorena Wiebes.
Agence France-Presse
La Mauricienne Kim Le Court, 3e de l'étape, s'est emparée du maillot jaune de leader au détriment de la Néerlandaise Marianne Vos, 5e.
Les deux coureuses sont classées dans le même temps, mais la leader d'AG Insurance-Soudal devance la Néerlandaise au cumul des places obtenues sur les deux premières étapes. La Française Pauline Ferrand-Prévot, 8e dimanche, complète le podium provisoire à six secondes.
C'est la première fois qu'une coureuse du continent africain endosse le maillot jaune.
La victoire s'est jouée dans les dernières bosses d'une étape accidentée de 110 kilomètres au départ de Brest.
Mavi García, qui est à 41 ans la doyenne du peloton, a accéléré à quatre kilomètres de la ligne dans la côte du chemin de Trohéir (1,1 km à 5,7 %). Derrière, les favorites ont tardé à réagir, laissant la grimpeuse espagnole de l'équipe LIV-AlUla creuser un écart d'une vingtaine de secondes à l'approche de l'arrivée en côte.
À l'énergie, elle a réussi à conserver quelques longueurs d'avance sur le groupe des favorites où figuraient les autres candidats à la victoire finale. La tenante du titre polonaise Katarzyna Niewiadoma (6e), la Néerlandaise Demi Vollering (7e) et Pauline Ferrand-Prévot (8e) ont toutes trois terminé dans les roues des meilleures.
Lundi, le peloton quittera la Bretagne au départ de La Gacilly dans le Morbihan pour rejoindre Angers en Maine-et-Loir.
Les sprinteuses sont attendues à l'arrivée d'une étape plate comme une mer d'huile. Lorena Wiebes s'avancera en favorite après l'abandon dimanche de sa compatriote Charlotte Kool, vainqueure de deux étapes l'année dernière qui, diminuée par une chute en compétition la semaine dernière, n'a pas pris le départ dimanche matin.
Kool non partante pour le 2e étape
La Néerlandaise Charlotte Kool, qui avait remporté les deux premières étape du Tour 2024, n'a pas pris le départ de la deuxième étape de la Grande Boucle féminine dimanche à Brest, a annoncé son équipe Picnic-PostNL.
La sprinteuse de 26 ans était tombée lors du Baloise Tour la semaine dernière en Belgique et s'est présentée affaiblie au départ du Tour, samedi à Vannes.
« Ne se sentant pas à 100 % ce matin [dimanche], et après consultation avec le staff médical de l'équipe, Kool ne prendra pas le départ de la deuxième étape », précise son équipe dans un communiqué.
Kool avait pris la 119e place de la première étape, samedi à Plumelec, à 7 min 40 s de sa compatriote Marianne Vos, première sur la ligne.
Il s'agit du deuxième abandon depuis le début de l'épreuve après le renoncement samedi de la Suissesse Marlen Reusser (Movistar), l'une des prétendantes à la victoire finale, malade. Elles sont encore 152 en course.
Agence France-Presse
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Victoria Mboko : « Tout est possible »
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La Presse

time6 hours ago

  • La Presse

Victoria Mboko : « Tout est possible »

Certaines histoires s'écrivent toutes seules, parce qu'elles arrivent par hasard et que le récit s'impose. D'autres sont faites pour être écrites. Comme si c'était écrit dans le ciel. La victoire de Victoria Mboko contre Elena Rybakina, mercredi soir en demi-finale de l'Omnium Banque Nationale, est une histoire faite pour être écrite. Ce gain en trois manches de 1-6, 7-5, 7-6 (4) s'inscrit non seulement dans l'histoire du tennis canadien comme l'un des matchs les plus significatifs et mémorables, mais surtout, il nous oblige à croire que ce n'est que le début pour Mboko. Et qu'en finale, « tout est possible ». C'est elle-même qui l'a suggérée, secouée, épuisée, mais ravie, sur le court central après son match. La foule était si bruyante qu'elle devait couvrir son oreille gauche avec sa serviette pour entendre les questions de l'animateur au centre du terrain. La première manche, remportée aisément par la neuvième tête de série, annonçait le pire. Mboko semblait avoir atteint sa limite. En deuxième manche, les deux assaillantes ont puisé dans leurs dernières ressources. Grâce à trois bris, dont un sur le dernier jeu, Mboko a pu revenir dans le manche et forcer un chapitre ultime. Avant la troisième manche, Rybakina a passé près de six minutes à la salle de bain. Pendant cette pause, Mboko est restée active en pratiquant ses services. Les « Vicky, Vicky, Vicky ! » enterraient même le bruit des avions qui passent dans le couloir aérien situé au-dessus du stade. Ces encouragements l'ont propulsé. Ils lui ont surtout permis de survivre. Comme ce fut le cas après une blessure au poignet droit subie sur une chute pendant le deuxième jeu. La Canadienne a reçu des traitements pendant l'arrêt de jeu suivant. « Sans ce soutien [de la foule], je ne pense pas que j'y serais parvenue ». Après le match, elle a confirmé que son poignet « allait vraiment mieux. » Elle s'est battue sur chaque point. Mais Rybakina a obtenu une balle de match à 5-4, au service. Malgré sa courte expérience, Mboko a géré la situation comme une vétérane. Elle a forcé la championne de Wimbledon en 2022 à deux fautes directes évitables avant de confirmer le bris grâce à un retour de service gagnant pour faire 5-5. Chacune des joueuses a pris le service de son adversaire pour pousser ce match déjà long de deux heures et demie à la limite, au bris d'égalité. « En bris d'égalité, tout devient stressant. Tout va plus vite. Tous les points comptent. Il faut juste mettre les balles en jeu et se battre aussi fort que possible. » Les erreurs de Rybakina se sont enchaînées. Trois fois, elle a mis un peu trop de force sur sa relance pour pousser la balle derrière la ligne de fond. Les deux joueuses se tenaient jusqu'à 4-4. Coup droit gagnant long de ligne. 5-4 Mboko. Revers trop long de Rybakina. 6-4 Mboko. Les amateurs ont sorti leurs téléphones cellulaires pour filmer la suite. Balle de match. Longue frappe de Rybakina à l'extérieur. 7-4. Sous une lune rouge presque pleine, Mboko a lâché sa raquette avant de porter ses mains à son visage. Sa place en finale était assurée. Celle dans l'histoire du tennis canadien aussi, si elle n'était pas déjà cimentée après ses exploits de la semaine. La jeune femme de 18 ans a serré la main de son adversaire puis celle de l'arbitre avant de se retourner et d'envoyer des baisers à une foule qui l'avait déjà noyée d'amour. Mboko a pris son entraîneuse Nathalie Tauziat dans ses bras. « Quand j'ai gagné, j'ai regardé mon box et j'ai vu qu'ils étaient très contents. J'étais contente de les voir sourire et sauter. » Le conte de fées continue de s'écrire. Sans baguette ni pouvoir magique, la Canadienne continue d'écrire sa propre histoire. « La chose dont je suis la plus fière, c'est d'être revenue de l'arrière, d'avoir gardé mon calme et d'être restée patiente. » La force de Mboko En première manche, rien n'allait pour Mboko. La Canadienne se faisait bombarder sans pouvoir contre-attaquer. Au service, la coqueluche des partisans n'était pas de taille contre la meilleure serveuse du circuit. « Rybakina jouait du très bon tennis. Je n'avais pas vraiment le temps de réfléchir à la manière dont je pouvais m'améliorer. Je voulais rester avec elle. » PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE Elena Rybakina À ce stade-ci du tournoi, compte tenu du parcours de Mboko, personne ne devrait être surpris par la tournure des évènements. Mais avant la rencontre, tous les éléments pointaient en faveur de Rybakina en raison de son curriculum vitae. « Toutes les filles de la WTA jouent très bien. Elles ne font pas d'erreur, elles n'ont pas beaucoup de faiblesses. C'est très difficile de jouer [contre elles]. Mais Rybakina a un très gros service, elle a aussi [de bonnes frappes]. Elle a beaucoup de puissance et de constance. » Alors qui aurait cru qu'une joueuse classée trop loin pour obtenir une place dans le tableau principal avant le tournoi aurait pu rivaliser avec cette gagnante de neuf titres WTA ? Même si on ne connaîtra jamais la réponse, c'est pourtant ce qui s'est produit. Une victoire sans appel qui offre à Mboko une place en finale d'un tournoi WTA 1000, un bond au 34e échelon du classement et un sourire qu'elle n'a jamais été capable de ranger, même plus d'une heure après son match. Après ses deux dernières victoires, La Presse a demandé à Mboko, chaque fois, s'il s'agissait du plus beau jour de sa vie. Les deux fois, elle a hésité, refusant de se compromettre. Mercredi, la réponse ne pouvait être plus claire lorsque la question lui a été posée pour une troisième fois. « Oui », a-t-elle lancé en riant et sans hésiter. Pour l'histoire Les marques et les records du passé tombent après chaque victoire de Mboko. D'après les données offertes par Tennis Canada, l'Ontarienne est la première joueuse canadienne à atteindre la finale de l'Omnium canadien à Montréal. Elle est aussi devenue la première joueuse canadienne à battre trois anciennes championnes de tournois du grand chelem en simple lors d'un même tournoi. Plus tôt cette semaine, Mboko avait aussi pris la mesure de Sofia Kenin et Coco Gauff. Maintenant, reste le trophée à soulever. Avant qu'il en soit question en point de presse, Mboko a juré n'avoir jamais envisagé un tel scénario. « J'aurai la chance de lever ce magnifique trophée, mais il me reste un match. Je me concentre sur le présent. » Elle devra toutefois commencer à y penser tranquillement, car mine de rien, elle se retrouve à deux manches de remporter le titre le plus important de sa carrière. Dans moins de 24 heures, son rêve pourrait devenir réalité. Et l'histoire qui devait être écrite le sera.

Vers l'infini, et plus loin encore !
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time7 hours ago

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Merveilleuse ! Prodigieuse ! Déjà, sauver une balle de match contre une championne d'un tournoi du grand chelem, c'est remarquable. Mais enchaîner avec un bris de service, une remontée, une manche gagnée à l'arraché, puis aller chercher la victoire au bris d'égalité, à 18 ans, dans son pays, avec toute la pression qui vient avec ? Mon cerveau a explosé. L'éclosion soudaine de Victoria Mboko, tombeuse d'Elena Rybakina 1-6, 7-5, 7-6 (4) en demi-finale mercredi, nous surprend tous. Même les experts de Tennis Canada, pourtant habitués aux prodiges, sont ébahis. « Depuis qu'elle a 10-11 ans, elle a toujours été très haut sur notre radar », m'a écrit Jocelyn Robichaud, chef du développement des moins de 15 ans à la fédération, depuis la République tchèque, où il accompagne plusieurs des plus beaux espoirs du pays. « Mais une ascension aussi rapide, ce n'était pas prévisible. » L'objectif de Mboko en 2025 ? C'était une 100e place, a révélé une de ses entraîneuses, Nathalie Tauziat. C'est déjà mission accomplie. Après sa victoire contre Rybakina, Mboko est assurée de grimper au moins au 34e rang mondial. Si elle remporte la finale, jeudi soir, elle montera jusqu'en 24e place. Et ce n'est pas fini : il lui reste encore de gros tournois pour accumuler des points, notamment ceux de Cincinnati et de Flushing Meadows, très payants. La jeune Canadienne joue présentement comme une des cinq meilleures joueuses au monde, a confié Jean-Christophe Faurel, entraîneur de Coco Gauff, à Marie-Ève Pelletier de TVA Sports. « Il ne faut pas s'enflammer non plus. Il faut garder les pieds sur terre », a cherché à tempérer Nathalie Tauziat plus tôt cette semaine. « Il y a plein de filles qui sont montées très haut, mais qui après, n'ont pas réussi à garder cette stabilité. » C'est vrai. Le tennis féminin a vu défiler plus d'étoiles filantes que l'Observatoire du Mont-Mégantic. Mais là, le party est pogné. Je ne serai assurément pas le chaperon qui rallumera les lumières trop tôt. Surtout que vous avez toutes les raisons de vous s'emballer. Pourquoi ? Parce que c'est rare que la courbe de progression d'une joueuse de 18 ans épouse la forme d'un bâton de hockey. La dernière fois ? C'était Emma Raducanu, en 2021. La Britannique avait gagné 10 parties consécutives aux Internationaux des États-Unis, en route vers son premier titre majeur en carrière. Deux ans plus tôt, Bianca Andreescu avait elle aussi entamé sa carrière avec un bond prodigieux. Pour trouver les meilleurs comparatifs à Mboko au même âge, j'ai recueilli les statistiques des 50 joueuses les mieux classées, et je les ai mises dans le malaxeur. Résultat : une grosse bouillie, que j'ai ensuite passée au tamis. Voici six joueuses qui, à la veille de leur 19e anniversaire, étaient dans les mêmes eaux au classement mondial. Victoria Mboko est en très, très bonne compagnie : Naomi Osaka est quadruple championne de tournois du grand chelem ; Jelena Ostapenko a remporté Roland-Garros ; Emma Raducanu et Bianca Andreescu, les Internationaux des États-Unis ; Elina Svitolina, les finales WTA en 2018. C'est simple. Toutes les statistiques possibles et imaginables confirment que la progression de Victoria Mboko est phénoménale. C'est comme si elle montait les marches deux fois plus vite que la moyenne des meilleures. Mboko contre la moyenne des 50 meilleures Top 100 : 16 mois plus tôt Top 75 : 22 mois plus tôt Top 50 : 32 mois plus tôt Et si Mboko gagne jeudi soir, elle atteindra le top 25 près de trois ans et demi avant la moyenne des meilleures joueuses au monde ! Bon, il faut que je me calme avec les points d'exclamation. Je dois en garder pour la finale, au cas où. Mais peu importe le résultat jeudi, Victoria Mboko nous a déjà prouvé qu'elle avait le talent, l'ambition, la combativité et la détermination pour joindre l'élite mondiale. Prochaine étape ? Vers l'infini, et plus loin encore !

L'ascension de Magdeleine Vallières Mill
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La Presse

time21 hours ago

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L'ascension de Magdeleine Vallières Mill

Le Tour de France Femmes a offert tout un spectacle en 2025 et l'équipe de la Québécoise Magdeleine Vallières Mill a été au cœur de celui-ci. Patrick Caisse La Presse Canadienne Bien que la meneuse de l'équipe, la Française Cédrine Kerbaol, ait terminé huitième du classement général en raison d'une chute lors de l'ultime étape, les coureuses d'EF Education-Oatly ont démontré une combativité hors pair. Vallières Mill a notamment aidé Kerbaol à se positionner dans le top 5 au cumulatif avant d'amorcer la neuvième et dernière journée de la Grande Boucle. « On est vraiment contentes, a indiqué la Sherbrookoise de 23 ans lors d'un entretien avec La Presse Canadienne depuis l'Espagne. C'est sûr qu'on est déçues de la dernière étape, mais je pense qu'on a fait du super bon travail et qu'on s'est beaucoup améliorées. « Il y a eu beaucoup d'apprentissages. Sans cette chute-là, on aurait réalisé notre objectif, qui était le top 5. On aurait peut-être même fini en quatrième position. On peut quand même être fières de notre Tour de France. » La Canadienne Alison Jackson a elle aussi participé au spectacle en prenant part à deux longues échappées. Arborant son chandail de championne canadienne, Jackson a également mis la table pour la sprinteuse Noemi Rüegg lors de la troisième étape. Vallières Mill a pour sa part pris le 18e rang au classement général. Bien que ce soit le meilleur résultat canadien de l'histoire du Tour de France Femmes, elle y attache peu d'importance. « Si j'avais couru pour moi, j'aurais fini plus haut (au classement), mais ce n'est vraiment pas ça le but quand tu peux avoir un podium au cumulatif (avec Cédrine), a-t-elle expliqué. « Je ne regarde vraiment pas mon résultat personnel à la fin du Tour. C'est le classement de notre meneuse qui m'importe. Je n'avais pas d'objectif personnel. » Il demeure néanmoins que la Québécoise retire une certaine fierté d'avoir pu rivaliser avec les meilleures coureuses lors des étapes les plus difficiles, en particulier la huitième, qui s'est terminée par l'ascension de l'impitoyable Col de la Madeleine, une montée de 19,6 km qui est sans répit. « Oui, j'étais contente d'être capable de suivre les meilleures grimpeuses, a-t-elle dit. Habituellement, c'est difficile pour moi d'être là dans les longues bosses, donc j'étais contente de voir que j'avais le niveau pour être là cette année. « C'est surtout d'y arriver au Tour de France, quand tout le monde est au sommet de sa forme. C'est certain que c'est positif pour l'avenir. Je m'améliore et j'ai hâte de voir la suite. » À 23 ans seulement et avec une telle prestation au Tour de France Femmes, Vallières Mill a toutes les raisons d'être enthousiaste pour les années à venir. La championne de 2025, la Française Pauline Ferrand-Prévot, est âgée de 33 ans. Ses deux principales rivales du Tour, Demi Vollering et Katarzyna Niewiadoma, ont respectivement 28 et 30 ans. Bientôt dans le rôle de meneuse ? Les performances de Vallières Mill au Tour de France ne sont pas passées inaperçues au sein de son équipe, si bien qu'elle pourrait se retrouver dans le rôle de meneuse dans quelques jours à peine. La Québécoise participera au Tour de Romandie, en Suisse, du 15 au 17 août. Et si tout va bien d'ici là, EF Education-Oatly pourrait lui confier les rênes de l'équipe. « Ça va dépendre de ma forme dans une semaine, mais il y a des chances que je puisse avoir une opportunité là-bas, a dit Vallières Mill. « C'est certain que ce serait spécial. J'aimerais ça voir ce que ça donne quand j'y vais pour moi, question de me donner une idée de mon niveau en ce moment. Ce serait un bon test. » L'an dernier, la double championne du monde Lotte Kopecky avait gagné le Tour de Romandie, six secondes devant Vollering. Puis, en 2023, Vollering avait triomphé, six secondes devant Niewiadoma. « Ce n'est pas le Tour de France, où gagner une étape peut changer une carrière, mais c'est quand même une bonne course avec un niveau relevé », a conclu Vallières Mill.

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