
Genève: grave accident entre tram et piéton à la route des Acacias
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Une piétonne trentenaire renversée par un tram à la route des Acacias
Un groupe spécialisé dans les accidents graves a été dépêché sur place.
Sophie Davaris
Une piétonne s'est fait renverser par un tram ce mardi en fin d'après-midi sur la route des Acacias. Sa vie n'est heureusement pas en danger.
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Un accident est survenu ce mardi à 17 h 44 sur la route des Acacias, à la hauteur du numéro 38. Une piétonne d'une trentaine d'années s'est fait renverser par un tram de la ligne 17 qui roulait en direction de Lancy. La vie de la jeune femme ne serait heureusement pas en danger, selon la police.
«Le Groupe audiovisuel accident (GAVA) que l'on dépêche pour les accidents graves s'est rendu sur place pour procéder aux relevés techniques», signale le porte-parole Alexandre Brahier. La circulation, d'abord bloquée dans les deux sens, a été rétablie à 18h24.
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24 Heures
7 hours ago
- 24 Heures
Genève: initiative législative pour un jardin du souvenir des animaux
Initiative lancée à Genève – Au cimetière, faut-il un jardin du souvenir pour les animaux défunts? À Genève, un groupe de citoyens réclame au Canton un espace où disperser les cendres d'animaux de compagnie. De tels lieux, privés, existent ailleurs en Suisse romande. Cathy Macherel Le jardin du souvenir de la la Société vaudoise pour la protection des animaux. Le site existe depuis vingt-cinq ans. KEYSTONE/Dominic Favre Abonnez-vous dès maintenant et profitez de la fonction de lecture audio. S'abonnerSe connecter BotTalk En bref : Une initiative demande la création d'un jardin du souvenir pour animaux domestiques à Genève. Le rôle social des animaux est mis en avant, notamment auprès des personnes âgées: ce type de lieu favorise le deuil. Les initiants estiment que Genève est en retard sur cette question. La SPA vaudoise propose déjà ce service depuis vingt-cinq ans. La proposition soulève toutefois des questions. Comment rendre hommage à nos chiens, chats et autres animaux domestiques après leur mort? Alors que ces fidèles compagnons nous accompagnent parfois de longues années et que nous nous y attachons, il manquerait à Genève un jardin du souvenir, soit un lieu où disperser leurs cendres et se recueillir. C'est du moins le ressenti d'un groupe de citoyens réclamant la création d'un tel site, lequel pourrait être aménagé au cimetière Saint-Georges ou dans un autre cimetière du canton, selon le texte d'une initiative législative cantonale qui vient d'être lancée. Les initiants ont jusqu'au 25 novembre pour obtenir les un peu plus de 4200 signatures nécessaires. Parfois, les seuls compagnons de vie William Makosso, juriste, théologien et acteur culturel, fait partie du comité qui a lancé l'initiative. Le printemps dernier, il avait été candidat à l'élection au Conseil administratif de la Ville de Genève. «Cette thématique figurait dans mon programme de campagne, car elle correspond à une demande de certains citoyens. Dans une société où les chiens ou les chats sont parfois devenus les seuls compagnons de vie des personnes âgées, ce rôle social ne doit pas être négligé. Et cela dans toutes les étapes de la relation: le deuil doit aussi pouvoir se faire pour un animal chéri. Or à Genève, rien n'est fait pour favoriser cet accompagnement.» «J'ai visité plusieurs jardins du souvenir pour les animaux, à Zurich, à Paris, ce sont des lieux qui font sens, poursuit William Makosso. Il s'agit de dispositifs simples, un puits commun où les cendres sont dispersées, quelques bancs qui permettent aux gens de se recueillir, rencontrer d'autres personnes dans la peine, cela ne demande pas beaucoup d'efforts et d'argent.» Depuis 25 au Chalet-à-Gobet En Suisse, les services funéraires animaliers représentent un marché qui s'est quasi exclusivement développé de manière privée. En marge des crématoires animaliers, qui permettent des incinérations individuelles et la récupération des cendres, des prestations concernant le repos de l'animal défunt (généralement des cendres, parfois des dépouilles), existent également. La Société Vaudoise Pour la Protection des Animaux a créé un jardin du souvenir animalier sur son site du Chalet-à-Gobet il y a vingt-cinq ans déjà, tandis que dans le canton de Neuchâtel, des pompes funèbres animalières à Montmollin viennent d'ajouter cette prestation à leur offre (lire ci-dessous). À quelques exceptions près, ces prestations émanent d'entreprises privées. D'où la question: serait-ce à la Ville de Genève ou au Canton de les proposer? «Ce point mérite d'être débattu, admet William Makosso, mais dans une ville qui compte 10 000 chiens dont les propriétaires paient des impôts, il ne serait pas choquant qu'un service public crée un jardin du souvenir, qui ne coûterait d'ailleurs pas grand-chose.» Un débat éthique Et qu'en est-il de l'aspect éthique, faut-il vraiment que le lieu demandé se situe à Saint-Georges ou dans un autre cimetière du canton, au risque de choquer une partie de la population? «On peut entendre que des personnes ne soient pas à l'aise avec l'idée qu'un jardin du souvenir animalier puisse se situer dans un cimetière, encore qu'à Saint-Georges, il y a beaucoup d'espace! Cela mérite aussi d'être débattu, dit le porteur de l'initiative. Mais cela ne ferait pas sens non plus de créer un lieu à l'écart de tout.» La Société Vaudoise Pour la Protection des Animaux a créé un jardin du souvenir animalier sur son site du Chalet-à-Gobet il y a vingt-cinq ans déjà KEYSTONE-SDA-ATS Une pétition classée Le lancement de cette initiative intervient alors qu'une pétition, plus ambitieuse, émanant du Mouvement de défense des propriétaires de chiens de Genève, avait été déposée en janvier dernier auprès du Conseil communal. Celle-ci, sans lien avec l'initiative, réclamait des concessions pour le repos des animaux (dépôt des cendres, et même des dépouilles), imaginant là aussi le cimetière Saint-Georges comme le site idéal. Selon Manuel Alonso Unica, président du comité de cette association, la pétition a été classée en commission. Mais elle devra encore être traitée en plénum en septembre. «Le respect des animaux, y compris après leur mort, est une préoccupation croissante de la population. Il faudra bien qu'un jour cette sensibilité soit entendue.» Les services funéraires animaliers se développent En Suisse, pour des raisons sanitaires, les dépouilles des animaux ne peuvent être enterrées dans la nature, à moins que cela ne soit sur un terrain privé, et à de très strictes conditions. Si l'on veut éviter le clos d'équarrissage - où la dépouille de l'animal finit en composant servant de combustible dans l'industrie du ciment -, on s'adresse à un crématoire animalier privé. Le service va de la prise en charge de la dépouille chez le vétérinaire, la crémation et, si on le souhaite, la restitution des cendres. L'un des leaders du marché, la société Crématoire Animalier Suisse est surtout active en Suisse alémanique. Mais elle vient tout juste d'ouvrir un centre à Nyon pour se rapprocher des Romands, où la demande représente 10% du marché. «Des vétérinaires romands faisaient appel à nos crématoires implantés outre-Sarine, pour éviter les transports, il était logique d'ouvrir une antenne en Suisse romande» explique son service de communication. Majorité d'incinérations individuelles Sur les 26 000 incinérations réalisées par année, une incinération individuelle (plutôt que collective) est choisie huit fois sur dix. La société propose une gamme de différentes urnes, et même la possibilité de transformer les cendres de son animal chéri en bijou, y compris un diamant. D'autres sociétés, comme Cremadog dans le canton de Neuchâtel, visant également le marché romand, a établi des tarifs de crémation différenciés selon le lieu de récupération de la dépouille. Pour un chat genevois par exemple, il faut compter 240 francs pour une incinération avec récupération des cendres, 156 sans la reprise. Pour les chiens, les tarifs varient aussi en fonction du poids de l'animal, ce qui peut donner une facture à plusieurs centaines de francs. À noter qu'à Genève, le Centre intercommunal des déchets carnés (CIDEC) a un accord avec cette société pour proposer aux propriétaires d'animaux défunts une incinération, avec récupération possible des cendres. À défaut, la dépouille sera traitée au centre de transformation de déchets, à Lyss, opération facturée au prix de 30 francs pour un chien et 15 francs pour un chat. Lieux de recueillement Légalement, les cendres peuvent être disséminées dans la nature, mais, avec l'importance que prennent les animaux de compagnie, certains services de pompes funèbres animalières ajoutent à leurs prestations la possibilité de déposer les cendres dans un lieu de recueillement. Comme dans un cimetière, les concessions individuelles peuvent se louer à l'année. Autre option: les cendres sont déposées dans un jardin du souvenir commun. C'est la prestation qu'offre la Société Vaudoise pour la Protection des Animaux, sur son site du Chalet-à-Gobet depuis vingt-cinq ans. «Le jardin du souvenir est constitué d'un puits commun où l'on peut venir déverser les cendres, c'est gratuit», explique son porte-parole, Stéphane Crausaz. «Par ailleurs, nous avons en ce moment une quarantaine de concessions occupées par des urnes individuelles, dont 15% par des propriétaires d'animaux défunts qui habitent Genève.» Il faut compter entre 70 francs et 100 francs à l'année selon la taille de la concession, et si on le souhaite, une cinquantaine de francs pour l'entretien avec pose de fleurs. «Une attente de la population» «Les gens qui ont perdu leur animal avec lequel ils ont passé souvent de longues années ont souvent besoin de temps pour faire leur deuil et un lieu de recueillement les aide. Il y a encore très peu de cimetières animaliers en Suisse, mais il y a une attente de la population, c'est certain», avance Laurence Gaymard, fondatrice du Jardin du Repos, à la Vue-des-Alpes dans le canton de Neuchâtel. Après trois ans de recherches, elle a trouvé un terrain mis à disposition sur la commune de Montmollin pour combler cette lacune, prestation qu'elle vient d'ajouter (depuis la mi-juin) à ses services funéraires animaliers. Les cendres peuvent être déposées dans des concessions individuelles au prix de 625 francs pour cinq ans. Ou ad eternam dans un espace collectif entre deux arbres, avec une plaque funéraire. Le prix? 520 francs pour un animal, 845 pour deux. La vue sur le lac de Neuchâtel y est, paraît-il, magnifique. Nos animaux domestiques Des félins fins observateurs Votre chat sait-il que vous allez partir en vacances? Newsletter «La semaine genevoise» Découvrez l'essentiel de l'actualité du canton de Genève, chaque semaine dans votre boîte mail. Autres newsletters Se connecter Cathy Macherel est journaliste à la Tribune de Genève depuis 2010. Elle collabore à plusieurs rubriques, locale, Week-end et gère certains suppléments. Elle s'occupe notamment d'aménagement du territoire et affiche une prédilection pour les enquêtes et les approches magazine. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


24 Heures
a day ago
- 24 Heures
Attention à cette arnaque Ikea qui promet un boîte cadeau gratuite!
La marque d'ameublement suédoise alerte sur l'usurpation de son identité sur les réseaux sociaux, visant à piéger sa clientèle suisse. Publié aujourd'hui à 13h13 Des malfrats utilisent l'identité d'Ikea pour tenter d'arnaquer des Suisses (image d'archive). Yvain Genevay Une publication Facebook datée du 21 juillet propose de faire gagner aux résidents suisses une boîte cadeau d'accessoires Ikea . Mais gare à ce sondage qui tourne sur les réseaux sociaux, car il s'agit bien d'une arnaque, rapporte le média «Watson» . Le compte à l'origine de ce prétendu cadeau se nomme «Maison & Confort Suisse», une entreprise soi-disant basée à Genève, qui répond à l'adresse suspecte suisseikea@ et prétend collaborer avec Ikea. Pour appâter les fans de décos, une image générée par intelligence artificielle met en scène un carton jaune estampillé de la griffe suédoise, dans un décor qui rappelle les grandes halles des magasins d'ammeublement. Les réactions des «gagnantes», qui postent une photo de leur colis en commentaire de la publication, finissent de convaincre les participants. Problème, ce sont tous de faux profils. Un sondage frauduleux tentent d'apater des internautes suisses pour récolter leurs données personnelles (capture d'écran). Facebook/Maison & Confort Suisse Lorsqu'on clique sur l'annonce, on nous demande de répondre à cinq questions à propos d'Ikea afin de remporter une boîte gratuite «en stock limité», argument supplémentaire pour enjoindre les internautes à participer rapidement. La dernière étape consiste à remplir un formulaire de ses données personnelles (nom, adresses mail et postale, numéro de téléphone)… pour les livrer aux malfrats. Ikea confirme l'arnaque Contactée par nos confrères, Ikea confirme l'escroquerie et l'utilisation abusive du nom de sa marque. Sur son site , le leader de l'ameublement informe sa clientèle de la recrudescence des tentatives de hameçonnage par usurpation de son identité et appelle à la vigilance. À lire aussi sur les arnaques en ligne en Suisse Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Laurène Ischi est journaliste au sein de l'équipe digitale de Tamedia. Après un bachelor en lettres à Lausanne, elle a obtenu son master à l'Académie du journalisme et des médias de l'Université de Neuchâtel en 2021. Elle se passionne pour les sujets de société et a travaillé pour «Femina» pendant 4 ans. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


24 Heures
a day ago
- 24 Heures
L'UE accuse Temu de violer sa législation numérique
La Commission européenne dénonce le manque de contrôle sur les produits proposés en ligne, notamment les jouets pour bébés. Publié aujourd'hui à 09h42 Une enquête de l'UE, encore en cours, montre qu'il existe «un risque élevé pour les consommateurs de l'UE» de trouver «des produits illégaux sur la plateforme» Temu. AFP La Commission européenne a accusé lundi le site de commerce en ligne d'origine chinoise Temu de violer sa législation sur les services numériques (DSA), faute de contrôle suffisant sur les produits proposés, notamment les jouets pour bébés. Une enquête de l'UE, encore en cours, montre qu'il existe «un risque élevé pour les consommateurs de l'UE» de trouver «des produits illégaux sur la plateforme», estime la Commission. Temu a encore la possibilité de répondre, mais risque une amende pouvant aller jusqu'à 6% de son chiffre d'affaires annuel si l'infraction est confirmée. «Selon notre évaluation préliminaire, Temu est loin d'évaluer les risques pour ses utilisateurs selon les standards exigés par le règlement sur les services numériques (DSA)", a souligné la commissaire européenne en charge du numérique, Henna Virkkunen. La Commission pointe notamment du doigt «des jouets pour bébés» et des «petits appareils électroniques» susceptibles de ne pas respecter les normes européennes. Autres infractions de Temu? Bruxelles entend poursuivre son enquête, ouverte en octobre 2024, sur d'autres infractions présumées, comme le «design addictif» de l'application Temu, avec ses promotions éclairs et ses jeux, ainsi que le possible manque de transparence dans les recommandations d'achats. Temu, qui connaît une progression fulgurante en Europe grâce à une stratégie de prix cassés, est la version internationale du mastodonte chinois du e-commerce Pinduoduo, né en 2015. Il propose un choix pléthorique de produits: vêtements, jouets, décoration, outils, high-tech… En mai 2024, des associations européennes de consommateurs avaient déposé une plainte contre la plateforme, l'accusant notamment d'inciter les utilisateurs à dépenser plus. En octobre, l'entreprise avait assuré avoir pris «des mesures importantes» et «affiner» ses pratiques «dans le cadre du règlement» européen sur les services numériques. Lundi, elle a indiqué «continuer à coopérer pleinement avec la Commission européenne». Des millions d'utilisateurs de Temu Extrêmement populaire dans l'UE malgré une arrivée récente sur le marché en 2023, Temu compte 93,7 millions d'utilisateurs actifs mensuels en moyenne dans les 27 États membres. Pour protéger les utilisateurs de contenus ou de produits potentiellement dangereux, d'autres enquêtes au titre du DSA sont en cours dans l'UE, notamment sur le site chinois AliExpress, ainsi que sur les réseaux sociaux Facebook, Instagram, X (ex-Twitter) et TikTok. L'UE souhaite également lutter contre l'afflux massif de petits colis bon marché sur son territoire, avec une proposition actuellement à l'étude visant à imposer une taxe de deux euros par colis. L'an dernier, 4,6 milliards de colis de ce type sont entrés dans l'UE — soit plus de 145 par seconde — dont 91% provenant de Chine. D'autres articles sur Temu Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.