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Tour de France : le classement général après la 10e étape, Ben Healy en jaune

Tour de France : le classement général après la 10e étape, Ben Healy en jaune

Le Parisien2 days ago
Tadej Pogacar ne voulait pas de ce maillot jaune avant la première journée de repos. À l'attaque dans la dernière ascension,
le Slovène
aurait sans doute pu forcer le destin pour priver Ben Healy de lui prendre sa position de leader du classement général
du Tour de France
. Il a finalement préféré rester sagement aux côtés de Jonas Vingegaard, laissant l'Irlandais se parer de jaune quatre jours après sa victoire d'étape.
Incapable de suivre l'attaque de Pogacar,
Remco Evenepoel
est finalement revenu dans les derniers mètres et ne perd que quelques secondes. Kévin Vauquelin perd, lui, trois places après avoir souffert en fin d'étape.
Présent dans l'échappée,
Lenny Martinez en a profité pour partir en quête des points du meilleur grimpeur
. Il portera désormais le maillot à pois.
Le classement général :
1. Ben Healy (EF Education-EasyPost) en 37h41′49″
2. Tadej Pogacar (UAE-Emirates) à 29″
3. Remco Evenepoel (Soudal-Quick Step) à 1′29″
4. Jonas Vingegaard (Visma-Lease a Bike) à 1′46″
5. Matteo Jorgenson (Visma-Lease a Bike) à 2′06″
6. Kévin Vauquelin (Arkéa-B&B Hotels) à 2′26″
7. Oscar Onley (Picnic-PostNL) à 3′24″
8. Florian Lipowitz (Red Bull-Bora) à 3′34″
9. Primoz Roglic (Red Bull-Bora) à 3′41″
10. Tobias Johannessen (Uno-X) à 5′03″
Le classement de meilleur grimpeur :
1. Lenny Martinez (Bahrain-Victorious), 27 points
2. Ben Healy (EF Education-EasyPost) , 16 points
3. Michael Woods (Israël-Premier Tech), 11 points
Le classement par points :
1. Jonathan Milan (Lidl-Trek), 227 points
2. Tadej Pogacar (UAE-Emirates), 163 points
3. Biniam Girmay (Intermarché-Wanty), 151 points
Le classement de meilleur jeune :
1. Ben Healy (EF Education-EasyPost) en 37h41′49″
2. Remco Evenepoel (Soudal-Quick Step) à 1′29″
3. Kévin Vauquelin (Arkéa-B&B Hotels) à 2′26″
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Le président du Paris SG a tenu, via un communiqué, à saluer la saison de ses joueurs, tout en s'adressant aux supporters. Après la saison historique, place aux vacances pour les joueurs du PSG. Battus dimanche soir par Chelsea (3-0) en finale de coupe du monde des clubs, les hommes de Luis Enrique ont malgré tout réussi une année 2025 légendaire avec le gain de la Ligue des champions contre l'Inter Milan (5-0) le 31 mai dernier à Munich. Avant de profiter de quelques jours de congé, le président du club parisien, Nasser Al-Khelaïfi, a tenu à remercier les supporters à travers un long message dévoilé dans un communiqué. Le voici dans son intégralité. «Chères toutes, chers tous, Publicité Alors que s'achève la saison la plus inoubliable de notre histoire, je tiens à adresser un immense Merci à toute la famille du Paris Saint-Germain. Aujourd'hui, en repensant à cette saison, on oublie facilement à quel point elle a été exigeante, avec de nombreuses compétitions, disputées à travers plusieurs pays, au plus haut niveau, dans des groupes particulièrement relevés et avec des parcours parmi les plus difficiles. Mais grâce à notre esprit collectif, en nous battant chaque jour pour le Club et les uns pour les autres, cette saison restera comme la plus belle jamais vécue par le Paris Saint-Germain. À lire aussi Chef-d'œuvre, Dembélé Ballon d'Or, hommage à sa fille décédée : les mots de Luis Enrique après PSG-Inter Remporter notre tout premier titre en Ligue des Champions, avec la deuxième équipe la plus jeune jamais alignée à ce stade de la compétition, la plus jeune de l'histoire du PSG, et un style de jeu qui a séduit les commentateurs du monde entier, restera gravé à jamais dans les annales du football. Ce sacre s'ajoute à nos victoires en Ligue 1, en Coupe de France et au Trophée des Champions, sans oublier les performances exceptionnelles de nos équipes de handball, de judo, de football féminin, de notre centre de formation, de eSports, et de nos 26 athlètes olympiques de Paris 2024. Trocadéro enflammé, Tour Eiffel rouge et bleue, feux d'artifice... Paris en liesse après le sacre du PSG en Ligue des champions Accéder au diaporama (10) Ce mois-ci, aux États-Unis, notre ambition était bien sûr de devenir champions du monde, au terme d'un parcours une nouvelle fois mémorable, marqué par des victoires contre certains des plus grands clubs de la planète. Mais après une saison aussi longue, nous pouvons être extrêmement fiers de ce que nos joueurs et notre staff ont accompli en terminant finalistes sur la scène mondiale. À lire aussi PSG-Inter Milan : «Vous êtes sur nous tout le temps», Nasser Al-Khelaïfi entre «fierté» et… règlement de comptes Tous ces succès sont le fruit du travail de chacun, tous les présidents, joueurs, entraîneurs, directeurs sportifs et collaborateurs du passé. Aujourd'hui, je tiens à remercier particulièrement notre section football, nos salariés, nos partenaires, notre entraîneur exceptionnel Luis Enrique, et nos soldats – nos joueurs – qui défendent chaque jour l'institution et se battent pour le Club à chaque match, sur le terrain comme en dehors. « Notre projet ne se limite pas à gagner aujourd'hui ou demain, il s'inscrit dans la durée. Nous construisons quelque chose de solide, de durable. Il reste encore tant à accomplir » Nasser Al-Khelaïfi PSG-Inter Milan : les plus belles photos de la finale de la Ligue des champions Accéder au diaporama (21) Publicité Je n'oublierai jamais non plus nos supporters : à Paris, partout en France et à travers le monde, nous avons les meilleurs supporters du monde. Ils ont suivi l'équipe partout : dans chaque ville, chaque pays, dans les stades comme dans les rues. Ils n'ont jamais cessé de chanter, jamais cessé d'y croire, et ont porté l'équipe jusqu'à la dernière minute, dans la victoire comme dans la défaite. Je suis fier que nos supporters soient un exemple pour tous, et les célébrations que nous avons partagées ensemble sur les Champs-Élysées et au Parc des Princes resteront gravées dans nos mémoires. Mais notre projet ne se limite pas à gagner aujourd'hui ou demain, il s'inscrit dans la durée. Nous construisons quelque chose de solide, de durable. Il reste encore tant à accomplir. Et comme le dit la chanson, « après tant d'années de galères et de combats », nous continuerons de travailler encore plus dur chaque jour. Avec humilité, toujours animés par l'esprit collectif où la superstar, c'est l'équipe, fidèle aux valeurs du sport, fière de porter les couleurs du Paris Saint-Germain et de représenter la France. Merci pour votre soutien tout au long de cette saison extraordinaire. Et en route vers de nouvelles victoires. Ici C'est Paris Nasser Al-Khelaïfi, Publicité Président du Paris Saint-Germain«

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Avant l'arrivée des fonceurs, des jeunes et moins jeunes, guère assommés par le cagnard, entonne le Se Canto, l'hymne occitan très populaire dans tribunes, notamment, du Stade toulousain. Mais ici, il n'est pas question de fans de rugby mais de fous de biclou. Bienvenue dans la côte infernale de Pech David, un raidard de 800 m à 8 km de la ligne d'arrivée de la 11e étape du Tour de France entre Toulouse et… Toulouse. Soudain, à 200 m du sommet de cette pente inclinée, dont l'entame se dresse à 20 %, le Norvégien Jonas Abrahamsen enflamme les foules. Il est suivi à la trace par le Suisse Mauro Schmid. « Oh là, ils sont dans le dur ! », commente Sébastien Bosvieux, cycliste amateur de 48 ans à la casquette jaune qui habite tout en bas de la descente. Déboule ensuite son favori, le Néerlandais Mathieu Van der Poel qui passe à l'offensive quasiment devant lui. Forcément, « Seb » est aux anges. « Oh l'attaque comme une balle, il est monstrueux ! », hallucine-t-il, son fiston Elio, 4 ans, sur les épaules. Malgré un finish haletant, le petit-fils de Raymond Poulidor ne parviendra jamais à rattraper Abrahamsen, miraculé du Tour après sa fracture de la clavicule il y a un mois. Mais « Seb », infatigable défenseur de la petite reine dans les rues de la Ville rose, est sur un petit nuage : ce passage par la côte de Pech David est un succès et c'est un peu grâce à lui. En septembre dernier, encouragé par Laure, sa compagne, cet ingénieur spécialisé dans le traitement des eaux adresse un mail à l'ancien coureur Thierry Gouvenou, directeur technique de la Grande Boucle. « J'ai envoyé une bouteille à la mer. Je savais que le Tour devait passer par Toulouse, alors je lui ai proposé la côte de Pech David pour casser la monotonie des arrivées au sprint dans notre ville », se souvient-il. Et là, miracle, lors de l'annonce du détail du parcours deux mois plus tard, la pente raide figure au programme. « Je réécris à Thierry Gouvenou pour le remercier, pour lui dire que c'est une chouette idée », relate-t-il. Son interlocuteur lui répond alors que son courriel a pesé dans la décision finale pour une arrivée « plus punchy et spectaculaire ». Quand il découvre, ce mercredi, les milliers de spectateurs massés dans son fief, Sébastien Bosvieux ressent « une fierté », parce qu'il y a une « ambiance de col ». Cette bosse, il la connaît par cœur, l'ayant vaincu une bonne vingtaine de fois. « Je n'ai jamais mis le pied à terre. Mon meilleur temps, c'est 3 minutes 30 secondes en 2015 (contre 2′25′' pour Van der Poel et 2′33′' pour Abrahamsen ce mercredi) », précise-t-il. Avant de détailler la configuration du cauchemar des sprinteurs : « En bas, c'est costaud, faut pas se mettre dans le rouge. Ensuite, il y a un replat, tu crois que tu as fait le plus dur, que c'est terminé alors tu lâches les watts mais ça repart ! » Les champions du Tour de France peuvent en témoigner. Beaucoup en bavent en cette fin d'après-midi caniculaire, même le maillot à pois Lenny Martinez . « Il n'est pas très bien là », lâche-t-il. Son « chouchou » dans le peloton s'appelle Guillaume Martin-Guyonnet (Groupama-FDJ). « C'est celui qui a le plus de recul sur le cyclisme », encense-t-il, séduit par les analyses du Normand philosophe. Sous ses yeux, les ultimes coureurs n'ont franchement plus la pêche. Mais c'est le jeu. « La côte a tenu toutes ses promesses. Il manque juste les pavés et ça deviendrait un mont du Tour des Flandres », sourit-il. Vendredi, « Seb » jouera les prolongations dans les Pyrénées, pour assister, en famille, au contre-la-montre au départ de Loudenvielle. Une montée qui fait très mal aux mollets au menu. Mais cette fois, ce n'est pas grâce à lui.

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