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Louis Vuitton s'expose au Japon, Oakley fête ses cinquante ans, la nouvelle collection Chloé... L'Impératif Madame

Louis Vuitton s'expose au Japon, Oakley fête ses cinquante ans, la nouvelle collection Chloé... L'Impératif Madame

Le Figaro3 days ago
Retour sur ce que la rédaction veut impérativement partager cette semaine.
Une exposition Louis Vuitton au Japon
Du 15 juillet au 17 septembre 2025 au Nakanoshima Museum of Art d'Osaka, Japon.
Louis Vuitton
Depuis le 13 avril, la ville d'Osaka, au Japon, vibre au rythme de l'Exposition universelle de 2025. En parallèle de cet événement qui se tiendra jusqu'au 13 octobre, Louis Vuitton, qui célèbre ses 170 ans, annonce l'ouverture de «Visionary Journeys», une exposition immersive présentée au Nakanoshima Museum of Art d'Osaka, institution culturelle ouverte il y a trois ans. «Un parcours universel en douze chapitres thématiques retraçant l'évolution de la Maison, mettant en lumière l'Art du Voyage, valeur chère à Louis Vuitton, ainsi que son savoir-faire à la fois traditionnel et novateur», précise un communiqué. Au programme : 138 malles à découvrir, des espaces immersifs, des documents d'archives exceptionnels, un décor sous forme de montgolfière... Un voyage de rêve en 12 salles et un événement unique : aucune exposition de cette ampleur n'avait été orchestrée par la maison de luxe depuis «Volez, Voguez, Voyagez» en 2015. A.B.
Du 15 juillet au 17 septembre 2025 au Nakanoshima Museum of Art d'Osaka, Japon. Les billets sont à réserver ici .
Les lunettes anniversaire signées Oakley
La paire Ellipse 50th Anniversary d'Oakley.
Oakley
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Cette année, la marque californienne adorée des sportifs du monde entier fête son cinquantième anniversaire. Pour l'occasion, une paire de lunettes de soleil en édition ultra-limitée a vu le jour : l'Ellipse 50th Anniversary. Cette dernière, dotée d'un design avant-gardiste, fusionne passé présent et futur avec des détails bien reconnaissables. Ses lignes courbées rappellent l'esthétique audacieuse des années 90, la tige dynamique s'inspire de la célèbre paire Radar EV, tandis que la forme du verre est résolument futuriste. Disponible dans une seule teinte, elle se dissocie des autres grâce à ses verres dorés et sa monture noire pailletée. «Au fil des évolutions, une chose demeure : notre ADN. Nous pensons qu'un produit Oakley doit rester reconnaissable entre tous, même sans son logo et l'Ellipse 50e Anniversaire en est l'incarnation la plus pure», déclare Nick Garfias, Vice-Président Design chez Oakley. E.M.
À retrouver sur oakley.com.
Chloé signe une nouvelle collection à l'allure affirmée
Nouvelle collection Chloé automne hiver 2025-2026.
Chloé
Nouvelle saison, nouvel élan : Chloé revient avec une collection automne-hiver qui conjugue héritage, allure et modernité tout en subtilité. La capsule navigue entre des influences cinématographiques et une esthétique photographique. Tout droit sorties d'un film d'Hitchcock comme La Main au colet ou Fenêtre sur cour, les pièces rendent hommage aux grandes heures des débuts de la mode new yorkaise. Leur force ? Une palette de couleurs naturelles et des coupes qui épousent la silhouette, des robes aux motifs et coupes structurés mais aussi des pièces plus imposantes comme un manteau en fourrure à la taille extra-large. Une histoire entre fantasme d'une époque révolue et modernité d'aujourd'hui. V.H.F.
À retrouver en boutique et sur le site de chloe.com à partir de mi-novembre.
Une femme à la tête de Marni
Meryll Rogge, nouvelle directrice artistique de Marni.
Portrait par Gretar Gunnlaugsson
Après un mois sans direction artistique à la suite du départ de Francesco Risso, la maison Marni a annoncé, le 15 juillet, l'arrivée de Meryll Rogge à la tête des collections. Formée chez Marc Jacobs et Dries Van Noten, la créatrice belge a été récompensée le 30 juin dernier du prestigieux grand prix de l'ANDAM, à Paris, pour son travail autour des mailles et du layering. «Un talent créatif exceptionnel et une femme inspirante, dont la vision et l'expertise joueront un rôle clé dans le façonnement de l'avenir de cette formidable marque», a souligné Stefano Rosso, PDG de Marni, dans un communiqué. «Assumer un rôle défini par des directeurs créatifs aussi visionnaires est à la fois une leçon d'humilité et une source d'inspiration», a de son côté confié la styliste, qui se dit «honorée» d'atteindre ce poste dans sa carrière. La date de son premier défilé sera annoncée prochainement. A.B.
La maison Mapoésie souffle ses 15 bougies
Mapoésie fête ses 15 ans.
Mapoésie
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La marque Mapoésie fête ses 15 ans. Elsa Poux, créatrice parisienne, imagine en 2015 une marque spécialisée dans les pièces design à l'identité visuelle forte, comme des tapis, coussins, et du linge de maison. Au fur et à mesure, la marque s'étend vers d'autres secteurs d'activité comme le prêt-à-porter et les accessoires et se réinvente à travers des collections empreintes d'une identité colorée. À l'occasion de cette célébration, la maison conçoit une nouvelle collection anniversaire en reprenant les motifs emblématiques de la marque et en les déclinant sur une série de produits. Les différentes lignes témoignent d'un savoir-faire artisanal, de matières de qualité, le tout fabriqué en France. V.H.F.
À retrouver en boutique et sur le site mapoesie.fr.
Kapten & Son réinvente le voyage
Nouvelle collection Kapten & Son
Kapten & Son
L'été est là et l'appel du départ en vacances se fait déjà sentir. À cette occasion, Kapten & Son conçoit une collection estivale adaptée aux grands départs. Les nouvelles valises «Heathrow» sont ainsi imaginées pour allier innovation et praticité. Plusieurs capsules sont créées en fonction de la destination choisie. Entre voyages longue durée et escapade le temps d'un week-end, les produits s'adaptent aux besoins de chacun. Les valises «Essentials suitcase» aux couleurs pastel sont solides et détiennent des compartiments de rangement adéquats pour gagner de la place. Les sacs et accessoires de voyage, eux, font partie de la capsule «Ibiza», entièrement fabriqués en coton et lin. L'essentiel, finalement, pour y transporter nos meilleurs souvenirs d'été. V.H.F.
À retrouver sur kapten-son.com.
L'été de Celio Be camaïeu à Saint-Tropez
La nouvelle collection Celio Be camaïeu X Saint-Tropez.
Celio Be Camaïeu x Saint Tropez
Celio Be Camaïeu s'inspire de l'univers de la French Riviera et lance cette saison un vestiaire estival mixte en s'associant à la ville de Saint-Tropez. Au programme : des pièces aux coupes pensées pour tout le monde, caractérisé par des jupes et robes longues ainsi que des shorts en coton façon caleçon, la tendance du moment. La collection propose également des incontournables plus intemporels comme un lot de tee-shirts à col rond aux imprimés minimalistes, ou des pantalons et chemises en lin. Les couleurs dominantes comme le jaune et le bleu vif offrent de lumière et profondeur à la capsule, à l'image de ces merveilleux couchers de soleil qui illuminent chaque été le vieux port de Saint-Tropez. V.H.F.
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À retrouver sur celio.com.
Loulou de Saison ouvre une deuxième boutique
La nouvelle boutique Loulou de Saison.
Loulou de Saison
Loulou de Saison vient de prendre ses quartiers rue des Saints-Pères, à Paris, avec une nouvelle boutique de 75 mètres carrés, pensée comme une continuité naturelle de l'univers de la marque. Lignes nettes, murs à la chaux et couleurs pures forment la ligne directrice et offrent un espace épuré et design. Loulou de Saison affirme ici sa manière d'habiter le luxe : un lieu où chaque pièce est mise en valeur, notamment grâce à la neutralité du décor qui les entoure. L'élégance ici ne se proclame pas, elle s'immisce dans le soin donné aux matières, entre autres détails. À cette occasion, en guise d'attention particulière, une sélection de crèmes glacées et sorbets du glacier Angiolo sera offerte à chaque personne se rendant en boutique tous les après-midi, du 7 au 19 juillet inclus. E.M.
À retrouver au 62 rue des Saints-Pères, 75007 Paris.
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«C'est toxique» : Yasmine Lavoine, la fille de Sarah Poniatowski et Marc Lavoine, confie ne pas chercher la fierté de ses parents
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Le Figaro

timean hour ago

  • Le Figaro

«C'est toxique» : Yasmine Lavoine, la fille de Sarah Poniatowski et Marc Lavoine, confie ne pas chercher la fierté de ses parents

Ce dimanche 20 juillet, Yasmine Lavoine, la fille de Sarah Poniatowski et Marc Lavoine, s'est confiée sur sa relation avec ses parents et son parcours dans une interview à La Tribune Dimanche. Elle n'a jamais cherché à se mettre en avant ni à capitaliser sur le nom de ses célèbres parents, le chanteur Marc Lavoine et la designeuse Sarah Poniatowski. À 27 ans, Yasmine Lavoine suit son propre chemin. Photographe et comédienne, la jeune femme est sortie de son habituelle discrétion ce dimanche 20 juillet, à l'occasion d'un entretien croisé avec sa mère publié dans La Tribune Dimanche . Des études à Athènes Elle explique être «contente» de ne pas travailler avec ses parents. «Ce n'est pas pour rien si je suis partie étudier à l'étranger. J'ai eu une chance immense d'être prise dans une école de théâtre à Londres, où le regard des autres élèves n'était pas le même qu'en France…», confie-t-elle, avant d'ajouter : «Aujourd'hui, j'apprends la photographie à Athènes et c'est un grand accomplissement personnel». Yasmine Lavoine n'est pas devenue artiste pour plaire à ses parents, mais pour elle-même : «Si on passe sa vie à chercher la fierté de ses parents, c'est toxique et ça peut être un frein», analyse-t-elle. Sarah Poniatowski n'en est pas moins très fière d'elle. «Sur mes murs se mélangent quelques-uns de ses clichés avec ceux des plus grands professionnels. Pour moi, elle est au niveau de leur talent. Je n'ai envie que de la pousser», s'enthousiasme la designeuse dans La Tribune Dimanche. À lire aussi Sarah et Yasmine Lavoine, un duo de charme pour Comptoir des Cotonniers Publicité Très proche de sa mère, Yasmine Lavoine entretient également une relation fusionnelle avec ses deux petits frères, Roman, 18 ans, et Milo, 15 ans. Elle raconte d'ailleurs qu'enfant, elle n'attendait qu'une chose : devenir grande sœur. «J'avais tellement hâte d'avoir une fratrie que l'arrivée de mon petit frère Roman puis celle de Milo ont été les plus beaux cadeaux de ma vie», assure-t-elle. L'image de la famille idéale s'est déchirée en 2018 lorsque Marc Lavoine et Sarah Poniatowski ont décidé de divorcer après vingt-trois ans de mariage. Yasmine Lavoine garde un souvenir douloureux de cette période. «Ce qui a été le plus difficile, c'est qu'ils ont dû nous en parler très vite, avant que ça ne sorte dans la presse, confiait-elle en février 2025 dans les colonnes de Gala. Je pense que chaque enfant est triste de voir ses parents se séparer». La jeune femme a vite pris du recul sur la situation grâce à la bonne entente de ses parents, restés proches malgré le divorce : «Ils ont de bons rapports aujourd'hui, ils sont tous les deux heureux dans leur vie et ils ont trois enfants ensemble qu'ils adorent. C'est précieux». Fin janvier, l'interprète d'Elle a les yeux revolver, aujourd'hui en couple avec Adriana Karembeu, a célébré le 27e anniversaire de sa fille aînée Yasmine aux côtés de son ex-femme. « Quand on a aimé quelqu'un pendant vingt-quatre ans et qu'on a trois enfants, l'amour se déplace. Il n'est pas au même endroit, mais il est toujours là », avait assuré le chanteur en 2018, l'année de son divorce, dans une interview accordée à Télé-Star.

La banane scotchée de Maurizio Cattelan, estimée à plusieurs millions d'euros, une nouvelle fois croquée
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Le Figaro

time3 days ago

  • Le Figaro

La banane scotchée de Maurizio Cattelan, estimée à plusieurs millions d'euros, une nouvelle fois croquée

« Plutôt que de manger la banane avec sa peau et son scotch, le visiteur s'est contenté de consommer le fruit », regrette vendredi l'auteur de l'œuvre qui était exposée à Metz. Cela devient une habitude. Un visiteur a « mangé » la banane faisant partie de l'œuvre Comedian de Maurizio Cattelan, estimée à plusieurs millions d'euros et présentée dans l'exposition Dimanche sans fin au centre Pompidou de Metz, a-t-on appris vendredi auprès du musée. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour « L'équipe de surveillance est intervenue rapidement et avec calme, conformément aux procédures internes », indique la communication du musée dans un message adressé à l'AFP, confirmant une information du quotidien Le Républicain lorrain. Publicité Le fruit est régulièrement remplacé L'œuvre, qui présente une véritable banane scotchée à un mur, « a été réinstallée dans les minutes qui ont suivi », précise le musée. « Le fruit n'est qu'un élément périssable, régulièrement remplacé selon un protocole précis défini par l'artiste ». Le centre Pompidou assure que l'incident « n'a en rien altéré l'intégrité de l'œuvre ni le bon déroulement de l'exposition, qui reste pleinement accessible au public ». Selon Le Républicain lorrain, aucune plainte n'a été déposée. Maurizio Cattelan a regretté que le visiteur « confonde le fruit avec l'œuvre elle-même ». « Plutôt que de manger la banane avec sa peau et son scotch le visiteur s'est contenté de consommer le fruit », a-t-il remarqué, cité par la communication du musée. L'œuvre, qui existe en trois exemplaires, censée interroger la notion d'art et sa valeur, a beaucoup fait parler d'elle depuis sa première exposition en 2019 à Miami, où un autre artiste l'avait mangée pour dénoncer son prix, à l'époque 120 000 dollars. Deux ans plus tard, en novembre 2021, un exemplaire de l'œuvre avait été acheté lors d'une vente aux enchères à 5,2 millions de dollars (soit 6,2 millions avec les frais) par Justin Sun, fondateur de la plateforme de cryptomonnaies Tron. L'entrepreneur sino-américain avait englouti la banane quelques jours plus tard devant des dizaines de journalistes et d'influenceurs. « Elle est bien meilleure que les autres bananes », avait-il déclaré après avoir avalé la première bouchée.

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ART - Bon appétit, bien sûr. Un visiteur a « mangé » la banane faisant partie de l'œuvre Comedian de Maurizio Cattelan, estimée à plusieurs millions d'euros et présentée dans l'exposition Dimanche sans fin au Centre Pompidou de Metz, a-t-on appris ce vendredi 18 juillet auprès du musée. « L'équipe de surveillance est intervenue rapidement et avec calme, conformément aux procédures internes », indique la communication du musée dans un message adressé à l'AFP, confirmant une information du quotidien Le Républicain lorrain. L'œuvre, qui présente une véritable banane scotchée à un mur, « a été réinstallée dans les minutes qui ont suivi, précise le musée. Le fruit n'est qu'un élément périssable, régulièrement remplacé selon un protocole précis défini par l'artiste. » Le Centre Pompidou assure que l'incident « n'a en rien altéré l'intégrité de l'œuvre ni le bon déroulement de l'exposition, qui reste pleinement accessible au public ». Selon Le Républicain lorrain, aucune plainte n'a été déposée. Maurizio Cattelan a regretté que le visiteur « confonde le fruit avec l'œuvre elle-même ». « Plutôt que de manger la banane avec sa peau et son scotch le visiteur s'est contenté de consommer le fruit », a-t-il remarqué, cité par la communication du musée. 5,2 millions de dollars L'œuvre, qui existe en trois exemplaires, censée interroger la notion d'art et sa valeur, a beaucoup fait parler d'elle depuis sa première exposition en 2019 à Miami, où un autre artiste l'avait mangée pour dénoncer son prix, à l'époque 120 000 dollars. En 2023, un étudiant avait fait de même lors d'une exposition en Corée du Sud. Par ailleurs, en novembre 2021, un exemplaire de l'œuvre avait été acheté lors d'une vente aux enchères à 5,2 millions de dollars (soit 6,2 millions avec les frais) par Justin Sun, fondateur de la plateforme de cryptomonnaies Tron. L'entrepreneur sino-américain avait englouti la banane quelques jours plus tard devant des dizaines de journalistes et d'influenceurs. « Elle est bien meilleure que les autres bananes », avait-il déclaré après avoir avalé la première bouchée.

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