
Le cofondateur Jonathan Ferrari quitte ses fonctions
La Presse Canadienne
M. Ferrari, qui a cofondé la marque de menus prêts à cuisiner il y a 11 ans, demeurera administrateur au sein du conseil d'administration.
L'autre cofondateur de Goodfood, Neil Cuggy, reste dans ses fonctions de président et chef des opérations. De plus, il aidera le conseil d'administration à entreprendre un examen officiel des activités en vue d'améliorer la stratégie à long terme de la société, précise l'entreprise.
Par voie de communiqué, M. Ferrari se dit fier d'avoir contribué à faire de Goodfood une marque nationale et avoir entièrement confiance en M. Cuggy pour la suite de l'entreprise.
Le président exécutif du conseil de Six Flags Entertainment Corporation, Selim Bassoul, est nommé président du conseil d'administration.
M. Bassoul soutient que son expérience dans l'exploitation de plus de 1200 restaurants lui permet de mieux comprendre ce que les consommateurs apprécient. Il ajoute que, malgré les difficultés rencontrées par Goodfood, l'entreprise a un important potentiel.
Après avoir profité d'un engouement durant la pandémie, la base d'abonnés de Goodfood fond depuis plusieurs trimestres.
Lors du trimestre clos le 7 juin dernier, Goodfood a vu ses ventes reculer de 20 % à 30,7 millions par rapport à 38,6 millions à la même période l'an dernier.
L'action de Goodfood demeurait inchangée, à 0,17 $ à la Bourse de Toronto, mercredi matin.
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Finalement, l'hébergement et les restos seront remboursés
Les clients affectés devront soumettre des reçus et autres preuves justificatives pour revoir la couleur de leur argent. Le traitement des demandes pourrait prendre jusqu'à six semaines. Pendant que des clients d'Air Canada continuent à se demander comment se rendre à destination, le transporteur aérien se décide finalement à rembourser les frais d'hébergement et de repas des voyageurs affectés par la grève des agents de bord. Au lendemain de la mise en place d'une politique pour indemniser les consommateurs qui se sont procuré des billets de remplacement en raison du conflit de travail, la compagnie à la feuille d'érable a apporté l'assouplissement attendu par bon nombre de consommateurs. « Ce plan mis à jour comprend les remboursements des frais raisonnables d'hébergement, de repas, de transport nécessaire et autres dépenses », explique le directeur de l'exploitation d'Air Canada, Mark Nasr, dans une déclaration. On parle ici des vols d'Air Canada et d'Air Canada Rouge annulés depuis le 15 août dernier et ceux qui le seront jusqu'à ce samedi alors que la plus importante compagnie aérienne au pays s'affaire à renouer avec sa vitesse de croisière habituelle. Encore une fois, le plus important transporteur aérien au pays évoque la notion de montants « raisonnables », sans fournir plus de détails. Les clients affectés devront soumettre des reçus et autres preuves justificatives pour revoir la couleur de leur argent. Le traitement des demandes pourrait prendre jusqu'à six semaines. Enfin Vivement critiquée en raison de l'interruption de service découlant du conflit de travail avec ses 10 000 agents de bord, Air Canada avait fini par mettre en place, mercredi, une « politique spéciale » pour rembourser les billets de remplacement de ses clients contraints de s'envoler avec un autre transporteur aérien. La mesure comporte plusieurs modalités et il y a deux conditions sine qua non : la compagnie aérienne doit avoir confirmé à son client que sa liaison était annulée et qu'elle n'avait pas de plan B à lui offrir. Les frais de location de voiture ou de billet d'autocar pour se rendre à destination doivent aussi être couverts. Cette politique ne couvrait cependant pas les frais de subsistance comme les nuits passées à l'hôtel ainsi que les sommes dépensées au restaurant, par exemple. « Six semaines, c'est assez long quand on a engagé d'importantes sommes en raison des perturbations, déplore Gabor Lukacs, fondateur de Droits des voyageurs, dans un entretien téléphonique. Il faudra aussi vérifier si Air Canada tiendra ses promesses sur les remboursements. Si oui, je dirais que c'est un pas dans la bonne direction, qui arrive tard. » Le défenseur des droits des voyageurs fait remarquer qu'au Canada, Air Canada va plus loin que les dispositions du Règlement sur la protection des passagers aériens, qui, par exemple, ne prévoit pas d'indemnités pour les nuits d'hôtel en cas de conflit de travail chez un transporteur aérien. Les autres recours Pour obtenir un dédommagement ainsi que des remboursements, les voyageurs lésés devaient se tourner vers les dispositions de la charte européenne des voyageurs ainsi que la Convention de Montréal, qui concerne tous les vols internationaux et qui permet aux voyageurs de réclamer un dédommagement qu'il juge justifié. Le montant peut cependant être contesté par une compagnie aérienne. « Si elle prouve qu'elle a pris toutes les mesures pouvant raisonnablement s'imposer pour éviter le dommage, elle ne sera pas tenue responsable », souligne une note du cabinet d'avocats Langlois, sur la question. Selon Droits des voyageurs, l'article 26 de la Convention de Montréal souligne qu'une « compagnie aérienne ne peut se soustraire d'une responsabilité en utilisant une formulation contractuelle créative ». Bref, il y a des chances que la réclamation d'un voyageur fasse l'objet d'un débat juridique qui risque de se retrouver devant la Division des petites créances. M. Lukacs reproche par ailleurs à Air Canada de garder dans le noir ses clients qui se trouvaient en Europe et dont le vol a été annulé. Il rappelle que le cadre européen prévoit des indemnités forfaitaires pouvant atteindre jusqu'à 600 euros (environ 970 $ CAN). « C'est un élément important que la compagnie devrait communiquer », dit le fondateur de Droits des voyageurs. Parallèlement à l'assouplissement de sa « politique spéciale », Air Canada prévoyait être en mesure d'assurer la quasi-totalité de ses vols à compter de vendredi.


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4 hours ago
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Finalement, l'hébergement et le resto remboursés
Les clients affectés devront soumettre des reçus et autres preuves justificatives pour revoir la couleur de leur argent. Le traitement des demandes pourrait prendre jusqu'à six semaines. Pendant que des clients d'Air Canada continuent à se demander comment se rendre à destination, le transporteur aérien se décide finalement à rembourser les frais d'hébergement et de repas des voyageurs affectés par la grève des agents de bord. Au lendemain de la mise en place d'une politique pour indemniser les consommateurs qui se sont procuré des billets de remplacement en raison du conflit de travail, la compagnie à la feuille d'érable a apporté l'assouplissement attendu par bon nombre de consommateurs. « Ce plan mis à jour comprend les remboursements des frais raisonnables d'hébergement, de repas, de transport nécessaire et autres dépenses », explique le directeur de l'exploitation d'Air Canada, Mark Nasr, dans une déclaration. On parle ici des vols d'Air Canada et d'Air Canada Rouge annulés depuis le 15 août dernier et ceux qui le seront jusqu'à ce samedi alors que la plus importante compagnie aérienne au pays s'affaire à renouer avec sa vitesse de croisière habituelle. Encore une fois, le plus important transporteur aérien au pays évoque la notion de montants « raisonnables », sans fournir plus de détails. Les clients affectés devront soumettre des reçus et autres preuves justificatives pour revoir la couleur de leur argent. Le traitement des demandes pourrait prendre jusqu'à six semaines. Enfin Vivement critiquée en raison de l'interruption de service découlant du conflit de travail avec ses 10 000 agents de bord, Air Canada avait fini par mettre en place, mercredi, une « politique spéciale » pour rembourser les billets de remplacement de ses clients contraints de s'envoler avec un autre transporteur aérien. La mesure comporte plusieurs modalités et il y a deux conditions sine qua non : la compagnie aérienne doit avoir confirmé à son client que sa liaison était annulée et qu'elle n'avait pas de plan B à lui offrir. Les frais de location de voiture ou de billet d'autocar pour se rendre à destination doivent aussi être couverts. Cette politique ne couvrait cependant pas les frais de subsistance comme les nuits passées à l'hôtel ainsi que les sommes dépensées au restaurant, par exemple. « Six semaines, c'est assez long quand on a engagé d'importantes sommes en raison des perturbations, déplore Gabor Lukacs, fondateur de Droits des voyageurs, dans un entretien téléphonique. Il faudra aussi vérifier si Air Canada tiendra ses promesses sur les remboursements. Si oui, je dirais que c'est un pas dans la bonne direction, qui arrive tard. » Le défenseur des droits des voyageurs fait remarquer qu'au Canada, Air Canada va plus loin que les dispositions du Règlement sur la protection des passagers aériens, qui, par exemple, ne prévoit pas d'indemnités pour les nuits d'hôtel en cas de conflit de travail chez un transporteur aérien. Les autres recours Pour obtenir un dédommagement ainsi que des remboursements, les voyageurs lésés devaient se tourner vers les dispositions de la charte européenne des voyageurs ainsi que la Convention de Montréal, qui concerne tous les vols internationaux et qui permet aux voyageurs de réclamer un dédommagement qu'il juge justifié. Le montant peut cependant être contesté par une compagnie aérienne. « Si elle prouve qu'elle a pris toutes les mesures pouvant raisonnablement s'imposer pour éviter le dommage, elle ne sera pas tenue responsable », souligne une note du cabinet d'avocats Langlois, sur la question. Selon Droits des voyageurs, l'article 26 de la Convention de Montréal souligne qu'une « compagnie aérienne ne peut se soustraire d'une responsabilité en utilisant une formulation contractuelle créative ». Bref, il y a des chances que la réclamation d'un voyageur fasse l'objet d'un débat juridique qui risque de se retrouver devant la Division des petites créances. M. Lukacs reproche par ailleurs à Air Canada de garder dans le noir ses clients qui se trouvaient en Europe et dont le vol a été annulé. Il rappelle que le cadre européen prévoit des indemnités forfaitaires pouvant atteindre jusqu'à 600 euros (environ 970 $ CAN). « C'est un élément important que la compagnie devrait communiquer », dit le fondateur de Droits des voyageurs. Parallèlement à l'assouplissement de sa « politique spéciale », Air Canada prévoyait être en mesure d'assurer la quasi-totalité de ses vols à compter de vendredi.


La Presse
6 hours ago
- La Presse
Air Canada remboursera les frais d'hôtel et de repas
Les clients affectés devront soumettre des reçus et autres preuves justificatives pour revoir la couleur de leur argent. Le traitement des demandes pourrait prendre jusqu'à six semaines. Après les vols de remplacement, au tour des frais d'hôtels et les factures au restaurant. Sous forte pression pour indemniser ses clients affectés par le conflit de travail avec ses agents de bord, Air Canada accepte finalement d'élargir ses remboursements. Les détails de la mesure annoncée jeudi ressemblent à ceux de la veille. La politique concerne les vols d'Air Canada et d'Air Canada Rouge annulés depuis le 15 août dernier et ceux qui le seront jusqu'au samedi 23 août. Encore une fois, le plus important transporteur aérien au pays évoque la notion de montants « raisonnables », sans fournir plus de détails. Les clients affectés devront soumettre des reçus et autres preuves justificatives pour revoir la couleur de leur argent. Le traitement des demandes pourrait prendre jusqu'à six semaines. « Nous franchissons une nouvelle étape en appliquant nos politiques pour corriger la situation. Ce plan mis à jour comprend le remboursement des frais raisonnables d'hébergement, de repas, de transport nécessaire et autres dépenses, affirme le directeur de l'exploitation d'Air Canada, Mark Nasr, dans un communiqué. Ce plan mis à jour comprend le remboursement des frais raisonnables d'hébergement, de repas, de transport nécessaire et autres dépenses. » Vivement critiquée en raison de l'interruption de service découlant du conflit de travail avec ses 10 000 agents de bord, Air Canada avait fini par mettre en place, mercredi, une « politique spéciale » pour rembourser les billets de remplacement de ses clients contraints de s'envoler avec un autre transporteur aérien. La mesure comporte plusieurs modalités et il y a deux conditions sine qua non : la compagnie aérienne doit avoir confirmé à son client que sa liaison était annulée et qu'elle n'avait pas de plan B à lui offrir. Les frais de location de voiture ou de billet d'autocar pour se rendre à destination doivent aussi être couverts. Cette politique ne couvrait cependant pas les frais de subsistance comme les nuits passées à l'hôtel ainsi que les sommes dépensées au restaurant, par exemple. Selon l'endroit où ils se trouvent dans le monde, les voyageurs devaient se tourner vers les dispositions de la charte européenne des voyageurs ainsi que la Convention de Montréal, qui concerne tous les vols internationaux et qui permet aux voyageurs de réclamer un dédommagement qu'il juge justifié. Le montant peut cependant être contesté par une compagnie aérienne. Parallèlement, jeudi, Air Canada prévoyait que la quasi-totalité de ses vols intérieurs ainsi que ceux avec les États-Unis seraient assurés au cours des 24 prochaines heures. À l'international, 94 % des vols prévus devraient décoller, selon le tableau de bord du transporteur à la feuille d'érable.