
Mercato : longtemps proche du PSV Eindhoven, Nobel Mendy (Betis Séville) s'en va finalement aux Rangers
La Scottish Premiership plutôt que l'Eredivisie. Nobel Mendy (20 ans), annoncé au PSV Eindhoven depuis le mois de mai, va finalement rejoindre l'Écosse. Les négociations avec le club néerlandais ont traîné en longueur notamment à cause d'un problème administratif et le dossier s'est même refermé récemment, l'équipe de Peter Bosz ayant aussi avancé en parallèle avec les arrivées de Kiliann Sildillia et Yarek Gasiorowski en défense.
La suite de la carrière du jeune gaucher du Bétis Séville va donc s'écrire dans le Championnat écossais, encore engagé au 3e tour préliminaire de Ligue des champions (3-0 à l'aller face au Viktoria Plzen). Un contrat de 4 ans l'attend, le montant de la transaction s'élève à 3 millions d'euros (et 20 % sur une future plus-value).
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Après sa victoire en Supercoupe d'Europe, le PSG peut encore réaliser un sextuplé
En ajoutant une nouvelle ligne à son palmarès, le PSG compte désormais cinq trophées en cette année 2025. Et un sixième pourra être décroché en décembre. Le Paris-SG a ajouté cinq lignes à son palmarès en 2025, avec le Trophée des champions, la Ligue 1, la Coupe de France, la Ligue des champions et donc la Supercoupe d'Europe. D'ici à la fin de l'année, un dernier trophée sera à sa portée. Le 17 décembre, le PSG prendra part à la finale de la Coupe intercontinentale dans un lieu encore à définir, face à l'équipe, issue d'un autre continent, qui passera les tours précédents. Le Pyramids FC (Égypte), Auckland City (Nouvelle-Zélande), Al-Ahli (Arabie saoudite) et Cruz Azul (Mexique), également qualifiés, seront rejoints par le vainqueur de la Copa Libertadores. Une rencontre qui est programmée entre la 16e journée de L1 (12-13-14 décembre) et les 32es de finale de Coupe de France (20-21 décembre). À ce programme pourrait s'ajouter le prochain Trophée des champions, dont la date et le format n'ont pas encore été fixés.

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Scruté, sollicité, coupable puis décisif : Lucas Chevalier, récit d'une sacrée première avec le PSG en Supercoupe d'Europe
Coupable d'une faute de main sur le deuxième but de Tottenham mercredi, Lucas Chevalier, très attendu après l'éviction de Gianluigi Donnarumma au PSG, a terminé le match comme l'un des héros en détournant un tir au but. Il se savait regardé, épié, analysé, pour cette première. Ses moindres faits et gestes allaient être décortiqués et comparés à ceux de Gianluigi Donnarumma. Le scénario de ses débuts ne lui aura laissé aucun répit, aucun temps d'acclimatation. Imaginez un peu la pression sur les épaules d'un jeune homme de 23 ans, après seulement une petite semaine à Paris ! Ce n'était pas qu'un match de reprise pour lui, mais les prémices d'une aventure qu'il espère la plus longue possible. Le contexte n'empêchera pas de longs débats autour de Lucas Chevalier et de Donnarumma dans les prochains jours mais, à travers cette Supercoupe, l'ancien Lillois aura tout de même donné une réponse positive sur ce qu'il peut apporter aux champions d'Europe. On a bien cru, d'abord, que cette erreur de main sur une tête de Cristian Romero juste après la pause (48e) allait tout gâcher pour lui. Que l'histoire allait ensuite retenir que Donnarumma avait de meilleures statistiques que le Français sur les tirs au but. Le PSG remporte la Supercoupe d'Europe aux tirs au but Mais Chevalier est né sous une bonne étoile. Celle, sûrement, des grands gardiens. Le néo-Parisien aura cru être l'homme malheureux de cette finale ; il l'a terminée comme l'un des héros, en détournant le troisième tir au but des Spurs, tiré par Micky Van de Ven. « C'est ça le PSG, c'est la pression ! avouait Marquinhos au micro de Canal+ après le match. Il a connu Lille, mais là c'est encore autre chose, c'est le PSG. (...) C'est un gardien de haut niveau, bienvenue à lui. » Le capitaine l'a d'ailleurs laissé soulever le trophée juste après lui sur la pelouse. On ne peut pas mettre son erreur de côté, mais le reste de son match a été convaincant. Surtout, il a montré ce qu'il pouvait apporter au jeu parisien grâce à la qualité de son jeu au pied. Ses coéquipiers n'ont pas hésité à le solliciter. Son premier titre en tant que numéro 1 Il n'y a pas eu de panique en début de rencontre. Vingt premières minutes où il a beaucoup joué au pied, toujours auprès de l'un de ses deux défenseurs centraux. Puis la vingt-troisième minute est arrivée, avec cette première claquette sur une frappe de Richarlison. Luis Enrique a ensuite profité de la pause fraîcheur pour lui expliquer qu'il ne devait pas hésiter à allonger ses ballons (26e). Message reçu deux minutes plus tard. L'histoire retiendra aussi ce premier but encaissé (39e) : après un superbe arrêt réflexe devant Romero, ses coéquipiers n'ont pas su sublimer son geste en empêchant Van de Ven de suivre et de marquer. Quarante-sept minutes solides... jusqu'à cette faute de main. Auprès de Safonov après la rencontre, le gardien a pris le temps d'expliquer son erreur : une anticipation malheureuse, avec un appui sur sa droite alors que la tête est partie à gauche. Vidéo de la séance de tirs au but victorieuse du PSG Plus d'un se serait effondré. Pas lui. Le Français a continué de diffuser du calme, comme il l'a fait tout au long de la journée. Jusqu'au début du match, il a forcément dû trouver le temps un peu plus long que d'habitude. Pressé de débuter avec le PSG et sous pression depuis l'annonce de l'éviction de Donnarumma, le gardien numéro 2 des Bleus attendait ce moment, toujours confiant. Il a beau avoir été patient pendant les négociations entre les deux clubs, montrer du calme et de la sérénité lors de ses débuts au Campus PSG, il n'en restait pas moins un joueur de 23 ans à la conquête d'un titre - son premier en club en tant que numéro 1. Symbole d'un moment pas comme les autres : on a vu un homme très concentré dès l'échauffement, saluant d'un petit signe de la main les supporters parisiens, qui lançaient un premier chant à sa gloire, pendant que les écrans géants diffusaient les exploits du PSG la saison dernière - et donc les arrêts de Donnarumma. Les siens font aussi, désormais, partie de l'histoire du club.


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« On ne mérite pas ce trophée » : Luis Enrique heureux et exigeant après la victoire du PSG en Supercoupe d'Europe
Après la victoire du PSG en Supercoupe d'Europe face à Tottenham (2-2, 4-3 aux t.a.b.) ce mercredi, Luis Enrique estime qu'elle est « injuste » pour Tottenham. « Quel était votre état d'esprit à la 85e minute ?Je suis tellement fatigué que je ne sais pas si je peux parler français correctement... (Il enchaîne en français) Mais pour être honnête, je pense qu'on ne mérite pas ce trophée, parce qu'on a pu voir la différence entre une équipe comme Tottenham, après six semaines d'entraînement, et nous, après seulement six jours. Cela fait une réelle différence. Pendant 80 minutes, on a cherché à jouer notre football, mais il y a eu beaucoup de mauvaises passes, et on a eu la chance de marquer deux buts et d'aller aux tirs au but. C'est le foot, et pour nous c'est un très bon moment, et je suis très content pour nos supporters qui sont là toujours et qui n'ont pas arrêté de chanter et d'aider l'équipe. Quand on perdait, ils étaient encore avec nous. Vous aviez dit venir à cette Supercoupe avec le sourire. Mais il a fallu autre chose...C'était un match très bizarre. C'est normal qu'il y ait eu cette différence entre Tottenham et nous, parce qu'il faut non seulement de la condition physique, mais aussi de la condition technique. On a pu voir, ce soir (mercredi), des joueurs avec un manque de technique. Je me souviens que quand j'étais joueur, les sensations techniques étaient toujours très différentes en revenant de vacances. Ce mercredi, Tottenham méritait mieux. Les notes de PSG-Tottenham : Dembélé n'a pas lâché « Je suis très content de la manière dont il a fini le match, c'était important pour lui. Je suis très content de sa performance » Luis Enrique à propos de Lucas Chevalier Avez-vous arrêté de croire à la victoire, avant le but de Lee ?Je ne peux pas arrêter de croire, parce que dans le foot, après la 80e minute, il y a souvent des renversements. Les joueurs qui sont sortis du banc ont été décisifs, Lee Kang-in, Gonçalo (Ramos), Ibe (Ibrahim Mbaye), Fabian (Ruiz). Je suis content de leurs performances. Comment jugez-vous le match de Lucas Chevalier ?Je dois dire que je suis très content de la manière dont il a fini le match, c'était important pour lui. Je suis très content de sa performance, et aussi de la présence de Safonov. On est sur ce schéma, on cherche à s'améliorer, et je pense qu'on sera meilleurs cette saison. C'est difficile un premier match, mais Lucas a montré du caractère et la personnalité pour être un joueur du PSG. Après Manchester City, Liverpool, Aston Villa, vous avez encore battu un club mais encore une fois Tottenham méritait plus de gagner. Ils ont mieux joué que nous, mais le foot est parfois injuste. Je suis heureux de ça, mais c'était un peu injuste. » Chevalier, récit d'une sacrée première avec le PSG en Supercoupe d'Europe