
« Il a pété les plombs » : à Trappes, un automobiliste fou fonce sur des badauds et tire en l'air
Trappes (Yvelines)
a été le théâtre d'un étrange déchaînement de violence de la part d'un seul habitant. Sous le coup d'une colère folle et encore inexpliquée, un homme, qui n'a pas été retrouvé, a tenté de percuter des passants et a tiré des coups de feu en l'air.
C'est peu après minuit que les faits se sont déroulés. En cette heure tardive, des habitants de la rue Gérard-Philipe appellent la police. Un homme vient de se disputer avec des badauds rassemblés sur la place des Merisiers. Il hurle. Il est ensuite aperçu en train de grimper dans son Renault Scénic avant de foncer à vive allure sur ces mêmes personnes.

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Comment obtenir la nationalité britannique en 7 étapes
Réservé aux abonnés NOS CONSEILS - Depuis le référendum sur le Brexit en 2016, environ 19 000 Français ont acquis la nationalité britannique. Mais le processus de demande peut être intimidant. Le Figaro vous explique les étapes clés pour éviter d'essuyer un coûteux refus. 1. Réussir les tests obligatoires Pour déposer son dossier de naturalisation, il est impératif de passer un test oral d'anglais dans un centre agréé par le gouvernement. Le niveau demandé actuellement est B1 (niveau d'anglais de fin de collège en France) et le coût est de 150 £ . Si le candidat a fait au moins une année d'étude au Royaume-Uni, il en sera exempté, tout comme les personnes ayant passé un test de langue pour l'obtention d'un visa. Afin de passer ce test, qui dure une vingtaine de minutes, il faut s'inscrire dans l'un des nombreux centres agréés dans le pays. Lors de l'examen, le candidat sera interrogé en visioconférence par un examinateur, qui va juger du niveau de langue avec une partie sur une thématique choisie et préparée en amont, et une partie où l'examinateur pose librement quelques questions plutôt mail est envoyé quelques jours plus tard pour confirmer ou non le succès du passage de l'examen, qui a une durée de validité de deux ans. Passé ce délai, il faut le repasser. Obligatoire également…


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En Vendée, petits et grands s'amusent comme avant dans ce parc d'attractions « à l'ancienne »
Si vous souhaitez remonter le temps, il vous suffira de traverser l'étonnant massif forestier de Mervent-Vouvant ( Vendée ) en empruntant la D 116. Elle vous conduira jusqu'à Pierre Brune. Un parc d'attractions, blotti depuis 1959 au milieu des arbres, où petits et grands s'amusent comme avant. « Je veux conserver l'esprit populaire des belles années 1970-1980 et permettre aux gens de déconnecter dans un lieu reposant et inspirant », explique Emmanuel Normand, 33 ans, aux commandes depuis 2020. Ici, pas de WiFi et pas beaucoup plus de réseau. Dès l'entrée, c'est un petit train sur rail qui vous accueille pour un tour du propriétaire. « C'est avec lui que mon grand-père a ouvert Pierre Brune, raconte Emmanuel Normand. Il l'avait récupéré à la fermeture de la mine de charbon voisine de Faymoreau, un an plus tôt. Au départ, il s'agissait de distraire les pèlerins célébrant le souvenir du Père de Montfort, un saint du XVIIe siècle, qui faisait retraite dans une grotte tout près d'ici. » Elle se visite toujours mais, désormais, elle attire moins de fidèles que les manèges. Sur cinq hectares, d'avril à novembre, manège à l'ancienne et voltigeur, toboggans, water ball, bateaux tampons, jeux gonflables et trampolines en veux-tu en voilà, mini-piste pour kartings électriques, sans oublier le minigolf 19 trous, construit en 1957 se répartissent entre les bouquets d'arbres. « Ce qui est bienvenu par temps de canicule », se félicite Sophie, une Haut-Marnaise mère de deux bambins ravis de cette sortie. Pierre Brune est une aubaine pour les touristes toujours plus nombreux en Vendée. Le département est la quatrième destination française avec 36 millions de nuitées. Mais les locaux ne sont pas les derniers à rappliquer. Par nostalgie, comme Vincent, escorté de ses deux nièces : « Enfant, je venais très souvent. C'était notre Disneyland ! » Ou par conviction, comme Renaud et son fils Meallan : « Il y en marre des endroits bruyants, agressifs et de toute cette technologie. On n'a pas besoin de ça pour s'amuser. » La preuve : Meallan est essoufflé. Il a bien profité des bateaux tampons et des trampos-élastiques. « Il a joué pendant plus de trois heures, résume papa. Il est heureux et moi aussi quand je le regarde. » Père et fils fréquentent les lieux pour la sixième année consécutive. « Je reviendrai avec mes petits-enfants… quand j'en aurai, sourit Renaud. Cet endroit ne doit pas changer. Il vaut de l'or. » Même enthousiasme chez Louise et ses quatre enfants : « Tout est bien organisé. Aucune bousculade devant les animations. » En 2024, Pierre Brune a accueilli 40 000 visiteurs. « Notre jauge est de 1 500 personnes en simultanée sur le site, explique Emmanuel Normand. Au-delà, ce serait délicat y compris pour nos 40 employés. » Cet été, un nouveau spectacle est donné dans l'arène. Son titre : Pierre de lune. Son fil rouge : les aventures et les mésaventures de la mascotte Echo. Son sujet est d'actualité : « Comment garder le sourire quand la vie complique tout ? » Réponse spontanée de Meallan : « En venant à Pierre Brune ! »


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