
Le PSG avec le même onze que contre le Real Madrid pour la finale de la Coupe du monde des clubs face à Chelsea
Comme annoncé, le Paris Saint-Germain ne change rien pour la finale de la Coupe du monde des clubs ce dimanche. Bradley Barcola est donc sur le banc, Désiré Doué lui étant préféré dans le onze de départ. Le Brésilien Lucas Beraldo rempile lui en défense centrale, remplaçant un William Pacho suspendu et déjà parti en vacances.
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L'Équipe
27 minutes ago
- L'Équipe
Y aura-t-il une cohabitation entre Chevalier et Donnarumma au PSG ?
Lucas Chevalier arrive au PSG, dans un club où Gianluigi Donnarumma s'est montré essentiel la saison dernière. Pas sûr qu'ils s'y côtoient très longtemps... Sirigu-Trapp, Trapp-Areola, Areola-Buffon, Navas-Donnarrumma : l'ère QSI a donné lieu à de nombreuses séquences de cohabitation dans le but parisien. Avec une réussite au mieux très quelconque. L'arrivée de Lucas Chevalier, au moins à court terme, va initier une période de ce type au sein de ce PSG 2025-2026. La Supercoupe d'Europe fixera avec précision, mercredi à Udine, la hiérarchie actuelle. Elle ne fait que peu de doute : Chevalier (23 ans) sera aligné d'entrée contre Tottenham. Mais après ? Gianluigi Donnarumma (26 ans) peut-il rester en attendant que son contrat s'achève, dans un an ? La cohabitation peut-elle initier une période de concurrence ? Attendu à Paris dans la soirée, Lucas Chevalier passera sa visite médicale vendredi Chevalier sera-t-il n° 1 ? Oui mais... Il y a quelque chose de constant chez Luis Enrique : jamais, dans ses échanges avec les cibles parisiennes, l'entraîneur du PSG, fidèle à son discours public, ne garantit une place de titulaire à son interlocuteur. Avec Chevalier, Luis Enrique n'a pas dérogé à cette règle. Il a été question de ses qualités, de sa capacité à devenir un gardien de très haut niveau, mais jamais de sa place dans la hiérarchie. Même constat dans le dialogue récent entre le Lillois et l'entraîneur des gardiens du PSG, Borja Alvarez. Le conseiller sportif Luis Campos s'est lui montré rassurant et lui a assuré un statut de gardien n° 1. L'ambitieux Chevalier n'a pas quitté Lille pour être n° 2 au PSG. Quand il a validé le principe d'un départ, le natif de Calais entendait passer un cap. En tant que titulaire du club champion d'Europe, il aura l'occasion de l'être. Près de 55 millions d'euros avec les bonus : les dessous de l'accord entre le PSG et Lille pour le transfert de Lucas Chevalier Donnarumma va-t-il vouloir rester ? Non mais... Donnarumma connaît trop le PSG pour être dupe. Au sortir d'une saison exceptionnelle, le gardien ne se faisait guère d'illusions. Et s'en ouvrait ouvertement auprès de ses coéquipiers. Après des mois de négociations où son camp voyait ses demandes salariales repoussées, il savait que la direction parisienne allait activer d'autres pistes. Comme révélé le 8 juin, l'ancien Milanais regardait avec appétit les intérêts des deux clubs de Manchester. Ces dernières semaines, après avoir publiquement répété son souhait de rester à Paris, Donnarumma faisait fuiter, via son entourage, qu'il pourrait tout à fait y rester une année de plus, pour aller jusqu'à la fin de son contrat et profiter alors de sa position de force sur le plan contractuel. Une forme de bluff ? Sans doute. Car l'Italien va vouloir jouer. Son entourage travaille sur l'hypothèse d'un départ depuis des mois. Paris acceptera-t-il une cohabitation ? A priori non Le PSG a, parfois, appris de ses erreurs passées. Dans ses discussions avec ses interlocuteurs, Campos repousse l'idée d'une alternance dans le but cette saison. Luis Enrique a, lui, montré l'an dernier que le poste de gardien était également concerné par cette notion de concurrence. Le Russe Matveï Safonov (26 ans) avait ainsi été lancé en Ligue des champions dans un match à enjeu sur le terrain du Bayern Munich (0-1, le 26 novembre). Avec une réussite peu nette. Paris n'envisage pas une concurrence frontale entre Chevalier et Donnarumma. Si l'Italien désirait aller jusqu'au bout de son contrat, serait-il placardisé à l'image d'un Adrien Rabiot lors de la saison 2018-2019 ?


L'Équipe
27 minutes ago
- L'Équipe
Le défenseur de Chelsea Levi Colwill opéré du ligament croisé antérieur du genou après s'être blessé à l'entraînement
Blessé à l'entraînement, Levi Colwill a été opéré jeudi du ligament antérieur du genou. Le défenseur pourrait rater une partie importante de la saison avec Chelsea. La saison 2025-2026 de Chelsea n'a toujours pas officiellement commencé, mais le club londonien doit déjà composer avec un premier coup dur. Titulaire indiscutable avec les Blues la saison dernière en défense centrale, Levi Colwill s'est blessé à l'entraînement lors de la pré-saison. Il a été opéré du ligament croisé antérieur du genou ce jeudi et pourrait manquer la majeure partie de l'exercice à venir. Colwill (22 ans) sort d'une saison pleine avec Chelsea, étant titulaire à 35 reprises avec les Blues en Premier League. En 2024-2025, il a remporté la Ligue Conférence mais aussi la Coupe du monde des clubs, où il a notamment délivré une passe décisive en finale contre le PSG. Il s'est également affirmé avec l'Angleterre, disputant quatre matches (deux titularisations) avec les Three Lions. « Tout peut arriver pour Nico » : l'entraîneur de Chelsea Maresca ouvre la porte à un départ de Jackson

L'Équipe
27 minutes ago
- L'Équipe
« Il y avait la queue dès 8 heures du matin » : le Club France, la fan zone devenue site officiel de la fête pendant Paris 2024
Le Club France, plus grosse fan zone des Jeux de Paris 2024 installée à La Villette, a rencontré un énorme succès, malgré les doutes qui ont entouré son fonctionnement et sa fréquentation jusqu'au dernier moment. Mais la célébration du titre olympique de l'équipe de France de rugby à 7 a agi comme un déclic auprès du public. « Quand je me suis rendue pour la première fois au Club France dans le parc de la Villette, l'avant-veille de son ouverture, je me suis dit : c'est monstrueux ! Ont-ils vu trop grand ? Sont-ils en capacité de maîtriser la foule », en rigole aujourd'hui Marie Martinod, ex-skieuse freestyle en charge de l'animation du lieu pendant les Jeux Olympiques. Si les doutes de la double médaillée d'argent olympique se sont très vite dissipés, ils résument les interrogations qui ont mis sous pression, jusqu'au dernier jour, les promoteurs du Club France, les comités olympique et paralympique. À Jeux exceptionnels, cent ans après les derniers dans la capitale, Club France exceptionnellement grand, coûteux (16,5 M€) et compliqué à mettre en place. Si le parc de la Villette, dans le 19e arrondissement, avait été identifié dès la phase de candidature par l'ancien président du CNOSF Denis Masseglia, avec la collaboration de Didier Fusillier, ex-président de l'Établissement public du parc et de la grande halle de la Villette, sa mise en place a pris beaucoup de temps, notamment à cause des querelles internes au CNOSF sous l'ère de Brigitte Henriques, successeuse de Masseglia. Le Club France, c'est de la folie « En pleine crise de gouvernance du mouvement sportif, il a fallu faire en sorte que tout le monde adhère au projet et veuille en être alors que les partenaires avaient déjà leur lieu de célébration et les fédérations aussi. Cela a été la grosse bataille pendant deux ans et il n'a pas été simple de convaincre tous les acteurs », rembobine Nathalie Péchalat, nommée présidente déléguée du Club France en octobre 2022. Quand David Lappartient prend les rênes du CNOSF en juin 2023, le dossier fait partie de ses priorités, alors que l'agence événementielle MCI est officiellement désignée en septembre pour l'organisation et l'animation du Club. Les ventes n'ont décollé qu'après le passage des champions olympiques du rugby à 7 Les derniers mois ont mis les nerfs des équipes à rude épreuve : les ventes de billets, dont le prix a été fixé à 5 € pour payer en une partie des frais de fonctionnement (gratuit pendant les Paralympiques), ne décollent pas et il manque des dizaines d'agents de sécurité privée à la suite de la défaillance du prestataire du lieu. Une réunion tendue se tient le jour même de la cérémonie d'ouverture en présence de la préfecture de police, à qui il a été demandé de pallier le manque d'agents de sécurité privée. Un an après Paris 2024, où en est le rugby à 7 français ? Il faudra attendre le premier jour, le 27 juillet, pour que le frémissement des ventes, enregistré la veille après la parade sur la Seine, se confirme. Et explose littéralement dans le sillage de la bande à Antoine Dupont, qui vient fêter la médaille d'or en dansant sur l'immense scène installée dans la grande halle. « Le rugby à 7 nous a tous marqués. Dès le samedi soir, premier jour, on est complet pour la première médaille d'or française. Alors qu'on voit la vidéo des exploits de l'équipe sur l'écran géant, Bob Sinclar, qui était au Stade de France, débarque à la Villette peu avant les Bleus et les visiteurs étaient chauds patate. Les joueurs passent par le plateau d'Eurosport, se mêlent à la foule, dansent et mettent le feu. On a quasiment vendu tous les billets dans les quatre premiers jours », raconte Arnaud Courtier, directeur général du Club France. « À la médaille des rugbymen, on est dépassés et on sait que ça va marcher », confirme Elie Patrigeon, directeur général du CPSF à l'époque en charge du lieu. « Dès le premier jour, il n'y a pas un athlète, un média, un partenaire qui ne nous a pas dit : ''qu'est-ce qu'on est bien, ici tout le monde est heureux'' », ajoute Nathalie Péchalat. La mise en scène est particulièrement soignée et veut que les athlètes arrivent par une entrée dédiée, avant de se rendre dans une loge aménagée en backstage par LVMH, partenaire de Paris 2024. Un petit bar, des écrans et un stand maquillage proposé par Sephora (marque du groupe de luxe) les attendent. Tandis qu'ils regardent le replay de leurs exploits, les images de leurs visages sont diffusées sur tous les écrans géants du Club France, puis ils sont filmés sur 50 mètres jusqu'à leur montée sur la scène. C'est ensuite l'écran noir, alors que la sono diffuse Que je t'aime de Johnny Hallyday, l'un des hymnes des Jeux. Seuls ceux qui ont décroché l'or ont droit aux confettis et paillettes qui tombent au bout de la scène, retenus dans un ballon que commande la régie. « Je me souviens de Cassandre Beaugrand (championne olympique de triathlon) qui revient vers moi alors que les confettis ne sont pas tombés. On me souffle qu'elle doit retourner au bout de la scène, à 70 mètres, mais il fait 40 degrés, elle dispute l'épreuve par équipe le lendemain et me dit qu'elle n'en peut plus ! » se souvient Marie Martinod. « Finalement, elle y retourne et les confettis explosent, ouf », poursuit-elle en soulignant que les fans ne se sont aperçus de rien. « Philippe Katerine est passé sans rien demander, Patrick Bruel aussi et Tony Parker a fait deux jours de suite : les people étaient là par amour du sport » Arnaud Courtier, directeur général du Club France Idem le soir de la réouverture du lieu pour les Jeux Paralympiques, le 29 août, avec la chanteuse Camélia Jordana programmée pour « enflammer » la Grande Halle. « Je suis en train de dîner quand on m'alerte parce que l'artiste porte une brassière avec le drapeau de la Palestine », se souvient Elie Patrigeon, en soulignant le devoir de neutralité du lieu. « Je vais voir son agent, on discute et il monte sur scène pour danser autour d'elle et, discrètement, lui dégrafe sa brassière. Elle est restée en soutien-gorge et le public s'en est à peine aperçu », en rigole-t-il aujourd'hui. Dans le club plein à craquer, plusieurs stars se mêlent aux anonymes en toute simplicité. « Philippe Katerine est passé sans rien demander, Patrick Bruel aussi et Tony Parker a fait deux jours de suite : les people étaient là par amour du sport », souligne Arnaud Courtier, qui s'est aussi transformé en guide du lieu pour le roi du Danemark et son entourage. En coulisses, plus de 2 000 personnes, dont près de 700 volontaires, font tourner la fan zone au quotidien, et jusqu'à 1 heure du matin. Le président du CNOSF David Lappartient et la ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra ont leur propre bureau dans la grande halle, à l'abri des regards, dans un endroit insonorisé, climatisé. Sur les deux canapés, autour de la table basse, ils reçoivent les invités de marque, notamment la délégation américaine venue en observation dans la perspective des JO 2028 à Los Angeles. Une salle de réunion de crise est également prévue avec des écrans pour organiser des visios. « Elle a servi avant les Jeux mais pas pendant », précise Arnaud Courtier. Malgré les ventes qui affichent sur le site complet, avec 35 000 à 40 000 personnes enregistrées chaque jour des Jeux Olympiques, il décide de laisser 3 000 à 4 000 billets par jour pour permettre aux familles ou aux amis de se retrouver, et offrir une chance à tous. « Le troisième jour, il y avait la queue dès 8 heures du matin pour ces billets alors que le club ouvrait à 10 heures », explique le dirigeant. Le comptage se fait en temps réel grâce à un tapis et des radars de contrôle, puisque la jauge à l'instant T est de 25 000 personnes. Deux populations se croisent, le public familial la journée cède la place aux amis le soir, en particulier quand la partie extérieure ferme, n'offrant que 6 000 places dans la grande halle pour une ambiance qui n'a rien à envier aux fan zones du foot. « Il y a eu zéro incident, pas de problème avec les gens qui étaient bienveillants, c'était un public facile », souligne Arnaud Courtier. « On n'avait jamais fait ça. Le 1er septembre, un dimanche soir de veille de rentrée pour beaucoup de Français, la halle est pleine pour les premiers jours des Jeux Paralympiques. Là je me suis dit : ''c'est bon, c'est gagné. Après on a nous aussi géré la pénurie », sourit Elie Patrigeon.