
Du maïs d'ici pour vos épluchettes
Fruits et légumes
C'est l'abondance de ce côté cette semaine :
Le maïs s'invite à notre table : vous le trouverez à 0,24 $ l'épi chez Walmart.
Les pêches jaunes du Canada sont offertes à 5,99 $ le panier de 3 L chez Maxi.
En sandwich ou en salade, les tomates sur vigne du Québec se vendent 1,24 $ les 454 g, 2,73 $ le kilo, chez Walmart.
Pour ajouter du croquant dans votre lunch, le céleri du Québec est à 2 $ chez Maxi.
Chez Super C, on trouve le chou vert du Québec à 0,49 $ les 454 g, 1,08 $ le kilo.
Avec du prosciutto, le cantaloup du Québec sera votre meilleur ami : 2,44 $ chez Metro.
Les bok choy, le chou nappa et les radis chinois du Québec se vendent 0,99 $ les 454 g, 2,18 $ le kilo, chez IGA.
En papillote sur le barbecue, les patates blanches du Québec, en sac de 4,5 kg, se vendent 2,77 $ chez Super C.
Chez Metro, la laitue Boston duo Gen V se vend 1,99 $.
Viande et volaille
Chez Walmart, vous trouverez des biftecks de contre-filet de bœuf AA du Canada à 9,97 $ les 454 g, 21,98 $ le kilo.
Du poulet à la bière sur le barbecue ? Pas de problème : vous trouverez le poulet entier frais Exceldor, en emballage duo, à 2,77 $ les 454 g, 6,11 $ le kilo, chez Super C.
Produits laitiers
Chez Metro, le yogourt Liberté grec et Méditerranée, choix variés, en pot de 500 g ou en contenants de 100 et 130 g, est offert à 2,97 $. Vous trouverez également le yogourt Iögo, Astro Original et Yoplait, formats de 650 g et 750 g, au même prix.
Produits surgelés
Pour vos smoothies ou compotes, les fruits surgelés Irrésistible, en sacs de 400 g et 600 g, se vendent 3,99 $ chez Metro.
Condiments
La mayonnaise MAG, en pot de 890 mL, se trouve chez Maxi à 4,99 $. Le miel d'Émilie, en pot de 500 mg, est au même prix chez cet épicier.
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La Presse
an hour ago
- La Presse
La fibre aux États, l'IA au Canada
La société mère de Bell Canada a déclaré que son bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires s'est élevé à 579 millions, soit 0,63 $ par action, au deuxième trimestre. Fibre aux États-Unis, intelligence artificielle au Canada : Bell a partagé avec ses investisseurs les grands axes de sa stratégie de croissance des prochaines années lors de sa présentation des résultats du deuxième trimestre de 2025 jeudi. La présentation tombait quelques jours après la clôture de l'achat de l'entreprise américaine Ziply Fiber. « On a révisé nos orientations financières à la hausse parce qu'on va bénéficier du rendement de Ziply pour cinq mois cette année, ça, c'est très fort », mentionne Mirko Bibic, président et chef de la direction de BCE et de Bell Canada, en entrevue avec La Presse. PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE Le président et chef de la direction de BCE et de Bell Canada, Mirko Bibic BCE a effectivement revu à la hausse ses prévisions de croissance du chiffre d'affaires pour 2025, qui passent de la fourchette de « -3 % à 1 % » à « 0 % à 2 % ». Bell anticipe une « croissance forte » pour Ziply dans un avenir rapproché. Les prévisions présentées aux investisseurs évoquent une augmentation de revenus supérieure à 10 % en 2025 par rapport à l'année précédente, et une augmentation du BAIIA ajusté de 20 % pour la même période. « Leurs abonnés, qui sont des abonnés à l'internet fibre, vont augmenter de 20 % cette année », affirme Mirko Bibic. Les investisseurs doivent espérer que Bell réussira cette aventure sur le compétitif marché américain. « L'équipe qui a bâti Ziply demeure en place avec Bell. Ça fait quatre ans que le rendement de Ziply Fiber est très très fort avec les fondateurs et ils sont avec nous, donc on se fie sur l'équipe. Il y a beaucoup moins de fibre de disponible aux États-Unis qu'au Canada : seulement 50 % des foyers américains ont accès à la fibre par rapport à 75 % à 80 % au Canada, donc il y a beaucoup de chantiers bien ouverts. Ça coûte moins cher de construire la fibre aux États-Unis et ce n'est pas réglementé du tout », énumère Mirko Bibic en entrevue. Le partenariat avec Investissements PSP, annoncé au printemps dernier et qui pourrait se traduire par des investissements dépassant le 1,5 milliard, « permet de foncer encore plus fort et de construire plus rapidement », mentionne le président et chef de la direction. Une analyse de Desjardins publiée peu avant le dévoilement des résultats du deuxième trimestre mentionnait d'ailleurs que ce partenariat était un « game changer » et révisait le statut de l'action de BCE, faisant passer son statut de « conserver » à « acheter ». Ça regarde moins bien pour la fibre du côté canadien, au point où BCE s'attend à ce que son réseau stagne plutôt que de prendre de l'expansion. Le gouvernement de Mark Carney a annoncé mercredi qu'il n'infirmera pas la décision du CRTC, qui autorise d'autres fournisseurs d'accès internet à vendre des services de fibre optique à leurs clients en utilisant les réseaux construits par des entreprises comme Bell moyennant une redevance. « Imaginez que vous dépensiez des milliards de dollars pour générer un rendement, puis qu'un organisme de réglementation vous dise que vous devez céder cet actif à quelqu'un d'autre afin qu'il puisse à son tour générer un rendement », déplore Mirko Bibic. Du potentiel pour l'IA Parmi les autres grands projets porteurs, le développement d'infrastructures d'intelligence artificielle au Canada via Bell Marchés Affaires (BBM) a fait partie des faits saillants. Le Réseau d'IA tissé de Bell (en anglais, Bell AI Fabric) vise à être « la colonne vertébrale de l'économie canadienne en IA », tâche que Bell s'estime particulièrement en mesure d'accomplir. Compte tenu de nos avantages stratégiques, nous sommes bien placés pour saisir une part importante des opportunités offertes par l'IA. Nous disposons d'une connectivité en fibre optique nationale, de terrains en propriété ou en location dans des emplacements clés, d'un accès à une quantité importante d'énergie et de refroidissement à faible coût, ainsi que de relations clients solides, et nous pouvons fournir l'ensemble des services dont un client aurait besoin. Mirko Bibic, président et chef de la direction de BCE et de Bell Canada Un premier centre du Réseau a ouvert en juin à Kamloops, en Colombie-Britannique, et un partenariat avec Cohere, une entreprise d'IA axée sur la sécurité, a été annoncé en juillet. Crave Il y aura aussi du mouvement à suivre du côté de Crave d'ici la fin de 2025. À l'instar d'autres plateformes de diffusion en continu, du contenu lié à des évènements sportifs et potentiellement de l'actualité provenant des chaînes CTV et Noovo pourraient y faire leur apparition. « On est passés d'en dessous de 3 millions d'abonnés il y a 15-18 mois à 4,1-4,2 millions d'abonnés. Ça fait au-delà d'un million d'abonnés de plus en moins d'un an et demi parce que la plateforme est forte, le contenu est très attrayant », mentionne Mirko Bibic. Baisse de vitesse dans le mobile BCE a enregistré un gain net de 44 547 abonnés à la téléphonie mobile postpayée au deuxième trimestre, par rapport à 78 500 activations nettes au cours de la même période un an plus tôt. L'entreprise a une fois de plus invoqué un « marché moins actif », un ralentissement de la croissance démographique dû aux politiques fédérales d'immigration et sa propre concentration sur les « chargements d'abonnés à plus forte valeur ajoutée » pour expliquer cette baisse. Le revenu moyen par utilisateur de BCE pour la téléphonie mobile s'est établi à 57,61 $, en baisse de 0,7 % par rapport à 58,04 $ il y a un an. L'entreprise a expliqué que cette baisse était attribuable aux pressions exercées par la concurrence et les rabais, à la baisse des revenus liés à l'utilisation excédentaire de données, les clients souscrivant de plus en plus à des forfaits de données illimités ou de grande capacité, et à la diminution des revenus d'itinérance en raison de la diminution des voyages aux États-Unis. Par ailleurs, le deuxième trimestre de 2025 est devenu le premier trimestre en près de trois ans lors duquel le taux de désabonnement des services postpayés s'est amélioré d'un exercice à l'autre, se fixant à 1,06 % (en baisse de 0,12 %), ce que Bell attribue à l'amélioration de son service à la clientèle. Bénéfice en hausse BCE a déclaré jeudi que son bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires était en hausse de 7,8 %, s'élevant à 579 millions, soit 0,63 $ par action, au deuxième trimestre. Ce résultat se compare à un bénéfice de 537 millions, soit 0,59 $ par action, un an plus tôt. Les revenus d'exploitation pour le trimestre clos le 30 juin ont totalisé 6,08 milliards, contre environ 6 milliards un an plus tôt, une augmentation de 1,3 %. Sur une base ajustée, BCE indique avoir réalisé un bénéfice de 0,63 $ par action, en baisse (-19,2 %) par rapport à un bénéfice ajusté de 0,78 $ par action au même trimestre l'an dernier. Les analystes s'attendaient en moyenne à un bénéfice ajusté de 0,71 $ par action, selon les estimations compilées par LSEG Data & Analytics. Les flux de trésorerie disponibles sont pour leur part en hausse de 5 %. BCE a aussi annoncé qu'une Journée des investisseurs se tiendra le 14 octobre à Toronto. Avec La Presse Canadienne


La Presse
2 hours ago
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Surenchère et importante hausse des transactions à Montréal et Québec en juillet
Le prix médian d'une unifamiliale s'est établi à 625 000 $ en juillet, celui d'une copropriété à 425 000 $ (+ 3 %) et celui d'un plex à 815 000 $ (+ 8 %). Surenchère et importante hausse des transactions à Montréal et Québec en juillet Tant à Montréal qu'à Québec, l'activité résidentielle bouillonne. En un an, le nombre de transactions dans les deux villes a connu une importante hausse, et l'escalade des prix se poursuit. Depuis l'effervescence de la pandémie, en 2021, jamais Montréal n'a connu autant de transactions en un mois, révèlent les plus récentes statistiques du marché immobilier résidentiel de la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal, compilées par l'Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ). En juillet dernier, un total de 3731 ventes résidentielles ont été conclues, soit une augmentation de 10 % par rapport au même mois l'an dernier. L'augmentation la plus prononcée a été enregistrée à Vaudreuil-Soulanges, tandis que les ventes sur la Rive-Sud ont été les plus modestes. Le nombre d'inscriptions de propriétés résidentielles en vigueur a faiblement augmenté en un an, avec une croissance de 2 %, positionnant ainsi encore les vendeurs en nette situation d'avantage, conclut le rapport. Ainsi, les prix continuent de grimper et la surenchère demeure bien présente, particulièrement pour les maisons unifamiliales dans certaines villes de la RMR. Le prix médian d'une unifamiliale s'est établi à 625 000 $ en juillet, celui d'une copropriété à 425 000 $ (+3 %) et celui d'un plex à 815 000 $ (+8 %). « La hausse des prix par rapport au même mois l'année dernière semble toutefois s'essouffler un peu dans la RMR de Montréal », précise Hélène Bégin, économiste-experte, marché immobilier et économie du Québec, au Service de l'analyse de marché de l'APCIQ. Comme le révélait La Presse en début de semaine, le marché immobilier montréalais a connu un mois de juillet très actif et se distingue de certains marchés canadiens, notamment ceux de Vancouver et Toronto, où les ventes et les prix ont fléchi un peu plus tôt cette année, au printemps. Québec À Québec, la hausse des ventes résidentielles, dans toutes les catégories de propriété, est aussi remarquée : avec un total de 744 transactions en juillet dernier, l'augmentation sur un an s'élève à 12 %. « L'inventaire d'habitations à vendre a atteint un creux sans précédent dans la région métropolitaine de Québec », indique l'APCIQ, dans son communiqué. « Le total des inscriptions en vigueur a fléchi de 28 % depuis un an », ajoute-t-on. Cette forte pression exercée sur l'offre pousse les prix à augmenter de plus belle dans la capitale. Le prix médian d'une maison unifamiliale a atteint un sommet de 453 500 $ dans la RMR. « Quatre transactions de propriétés sur dix sont conclues à un prix de 5 %, ou plus, à celui initialement demandé [dans la RMR de Québec] », souligne l'économiste-experte Hélène Bégin.


La Presse
2 hours ago
- La Presse
BCE « déçue » par la décision d'Ottawa sur les services de gros
La société mère de Bell Canada a déclaré que son bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires s'est élevé à 579 millions, soit 0,63 $ par action, au deuxième trimestre. (Montréal) Le président et chef de la direction de BCE s'attend à ce que la couverture de fibre optique canadienne de l'entreprise plafonne, après que le gouvernement fédéral a annoncé qu'il n'interviendrait pas dans une décision réglementaire controversée concernant l'accès de gros aux services internet. Sammy Hudes La Presse Canadienne Mirko Bibic a indiqué jeudi que Bell avait déjà déployé son réseau internet par fibre optique à environ 8 millions de foyers, mais que l'entreprise ne prévoit pas d'accroître ce nombre pour l'instant. Il s'agit d'une réduction significative par rapport à son objectif précédent d'atteindre 9 millions de foyers, un chiffre qui a ensuite été révisé à 8,3 millions avant d'être encore abaissé. Ces décisions font suite au cadre mis en place par le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) permettant à d'autres fournisseurs internet de vendre des services de fibre optique à leurs clients, en utilisant les réseaux construits par des entreprises titulaires comme Bell, moyennant des frais. Bell a été particulièrement irritée par une disposition qui permet aux plus grands fournisseurs internet du Canada – Bell, Telus et Rogers Communications – de revendre des services internet sur des réseaux de fibre optique existants construits par d'autres, à condition qu'ils le fassent à l'extérieur de leurs principales régions de desserte. Arguant que cela décourage les grands fournisseurs d'investir dans leurs propres infrastructures, Bell a réduit de 500 millions ses plans d'investissement cette année. La ministre de l'Industrie, Mélanie Joly, a fait savoir mercredi qu'Ottawa ne renverserait pas la politique du CRTC à la suite d'un examen fédéral. « Nous sommes déçus de la décision du gouvernement de maintenir la décision du CRTC, a mentionné M. Bibic lors d'une entrevue. À ce stade, nous exhortons simplement le gouvernement et le CRTC à veiller à ce que les constructeurs de réseaux soient pleinement indemnisés pour les coûts de construction importants et le risque d'investissement considérable que nous prenons lors de la construction. » En vertu des règles du CRTC, toute nouvelle infrastructure de fibre optique construite par les grandes entreprises de télécommunications ne peut être mise à la disposition des concurrents avant cinq ans. L'organisme de réglementation a affirmé que son cadre établissait un équilibre efficace entre les besoins de concurrence et d'investissement. Dans sa décision, Mme Joly a précisé que la politique du CRTC « a permis immédiatement d'accroître la concurrence sur les réseaux existants ». Telus a commencé à offrir un service internet par fibre optique en Ontario et au Québec en novembre dernier dans le cadre du régime de gros et a annoncé son intention d'étendre son offre aux provinces de l'Atlantique. Bell a soutenu qu'un tel accès à son réseau ne devrait pas être offert à ses plus grands concurrents. « Imaginez dépenser des milliards de dollars pour générer un rendement, puis qu'un organisme de réglementation vous dise que vous devez céder cet actif à quelqu'un d'autre pour qu'il puisse en tirer un rendement, a expliqué M. Bibic. Quand vous présentez les choses ainsi, les gens commencent à vous regarder et à dire : 'Vraiment ? Ça n'a aucun sens.' » Si Telus a salué la décision de Mme Joly, d'autres entreprises ont tiré la sonnette d'alarme. La porte-parole de Rogers, Sarah Schmidt, a qualifié cette décision de « volte-face consternante par rapport à sa position de principe adoptée il y a moins d'un an », faisant référence à une ordonnance d'Ottawa demandant au CRTC de réexaminer si les trois grands fournisseurs devaient être autorisés à agir comme grossistes. À l'époque, Ottawa avait fait part de ses inquiétudes quant à la viabilité des petits fournisseurs d'accès internet comme solutions de rechange dans le cadre réglementaire. Un potentiel de croissance aux États-Unis Alors que le déploiement du réseau de fibre optique de Bell au Canada est au point mort, l'entreprise entrevoit un potentiel de croissance au sud de la frontière après avoir conclu la semaine dernière une entente de 5 milliards pour l'acquisition du fournisseur d'accès internet par fibre optique américain Ziply Fiber. Cette acquisition étend la couverture du réseau de fibre optique de Bell aux États-Unis de 1,4 million de points de service. « Le marché américain de la fibre optique est très attractif, et c'est pourquoi nous sommes ravis d'avoir conclu l'accord vendredi dernier », a souligné M. Bibic aux analystes lors d'une conférence téléphonique jeudi, alors que BCE, société mère de Bell, publiait ses résultats du deuxième trimestre. « Le déploiement de la fibre optique aux États-Unis est en retard sur celui du Canada, nous le savons. Seuls environ 50 % des foyers américains sont équipés de la fibre optique, ce qui signifie que l'opportunité est considérable alors que nous commençons à déployer la fibre », a-t-il ajouté. BCE a également revu à la hausse ses prévisions pour refléter l'accord. Elle prévoit désormais une croissance de son chiffre d'affaires de 0 à 2 % en 2025, par rapport à d'anciennes prévisions qui tablaient sur une perte de 3 % à une hausse de 1 %. Un bénéfice en hausse La société mère de Bell Canada a déclaré que son bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires s'est élevé à 579 millions, soit 0,63 $ par action, au deuxième trimestre. Ce résultat se compare à un bénéfice de 537 millions, soit 0,59 $ par action, un an plus tôt. Les revenus d'exploitation pour le trimestre clos le 30 juin ont totalisé 6,08 milliards, contre environ 6 milliards un an plus tôt. Sur une base ajustée, BCE indique avoir réalisé un bénéfice de 0,63 $ par action, en baisse par rapport à un bénéfice ajusté de 0,78 $ par action au même trimestre l'an dernier. Les analystes s'attendaient en moyenne à un bénéfice ajusté de 0,71 $ par action, selon les estimations compilées par LSEG Data & Analytics. BCE a enregistré un gain net de 44 547 abonnés à la téléphonie mobile postpayée au deuxième trimestre, par rapport à 78 500 activations nettes au cours de la même période un an plus tôt. L'entreprise a une fois de plus invoqué un « marché moins actif », un ralentissement de la croissance démographique dû aux politiques fédérales d'immigration et sa propre concentration sur les « chargements d'abonnés à plus forte valeur ajoutée » pour expliquer cette baisse. L'entreprise a indiqué que le taux de désabonnement était de 1,06 %, en baisse de 0,12 % par rapport à l'année précédente. Il s'agit du premier trimestre d'amélioration sur douze mois depuis 2022. Le revenu moyen par utilisateur de BCE pour la téléphonie mobile s'est établi à 57,61 $, en baisse de 0,7 % par rapport à 58,04 $ il y a un an. L'entreprise a expliqué que cette baisse était attribuable aux pressions exercées par la concurrence et les rabais, à la baisse des revenus liés à l'utilisation excédentaire de données, les clients souscrivant de plus en plus à des forfaits de données illimités ou de grande capacité, et à la diminution des revenus d'itinérance en raison de la diminution des voyages aux États-Unis.