
Rentrée scolaire : les conseils de parents pour une préparation efficace et amusante
Qu'est-ce qu'un XTRA?
XTRA est une section qui regroupe des contenus promotionnels produits par ou pour des annonceurs. Les journalistes et photographes de La Presse n'ont pas collaboré à ce contenu promotionnel.
Transformer les emplettes en mission partagée
Les achats de la rentrée peuvent facilement devenir une activité à faire en famille. En choisissant eux-mêmes leurs articles – étui à crayons, sac à dos, bouteille isotherme ou boîte à lunch –, les enfants se sentent valorisés et sont heureux de pouvoir faire leurs propres choix. Un seul arrêt dans une succursale Jean Coutu facilite cette démarche, puisque tout y est, des fournitures scolaires aux essentiels d'hygiène à glisser dans le sac des adolescents.
Bouteille d'eau Thermos Stitch
Boîte à lunch Thermos
Thermos Stitch
Étui à crayons Merangue
Thermos b.box
Bouteille d'eau b.box
Bouteille d'eau Thermos Stitch
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« Je planifie une sortie spéciale avec ma fille pour acheter tout ce qu'il lui faut. On choisit une journée pluvieuse pendant les vacances pour faire les achats ensemble. On regarde les couleurs et les motifs, puis on compare les modèles. Je la laisse aussi choisir un article coup de cœur qui n'est pas nécessairement sur sa liste d'effets scolaires. Ça la motive, et ça insuffle un peu de magie dans le retour à l'école », raconte Geneviève P, maman d'une petite fille de 8 ans.
Étiqueter ensemble, pour mieux s'organiser
Pour éviter les pertes et les achats en double, rien de mieux que d'étiqueter tout le matériel. Jean Coutu propose d'ailleurs un service d'impression d'étiquettes personnalisées en succursale. Une solution simple et ludique, surtout si l'enfant met l'épaule à la roue en identifiant lui-même ses fournitures scolaires.
« L'impression d'étiquettes personnalisées, c'est ma découverte de l'année. Mon fils adore apposer son nom partout. Et moi, je suis plus zen à l'idée de ne pas avoir à tout racheter en novembre », explique Paula T., mère d'un élève de deuxième année.
Bon à savoir : le service d'impression de Jean Coutu permet d'obtenir 80 étiquettes au nom de l'enfant pour seulement 0,99 $.
Faire un seul arrêt et économiser
Avec son vaste réseau de succursales partout au Québec, Jean Coutu se démarque par son accessibilité. « J'ai trois enfants et peu de temps, alors je suis reconnaissante d'avoir une succursale Jean Coutu à quelques minutes de chez moi. Le personnel est toujours aidant, surtout quand il faut comprendre certaines demandes spécifiques de matériel », affirme Viviane L.
Du côté du portefeuille, la différence est marquante : « Acheter les effets scolaires de mes enfants chez Jean Coutu plutôt que chez un fournisseur spécialisé m'a permis de réduire significativement ma facture », poursuit la maman. Cette économie peut faire toute la différence dans cette période de l'année où les dépenses ont tendance à s'accumuler rapidement pour les parents.
Gagner du temps (et des points) avec l'achat en ligne
Si votre horaire est trop chargé pour vous déplacer en succursale, il y a toujours la possibilité de commander en ligne sur le site web de Jean Coutu. En plus de compléter rapidement la liste d'effets scolaires dans le confort de votre salon, vous bénéficiez de rabais intéressants, d'offres exclusives via l'application Jean Coutu et Moi ainsi que de services pratiques, comme la livraison ou la cueillette en magasin. « Je n'ai pas toujours le temps de passer en succursale, alors je commande en ligne et je fais livrer à la maison. Et je profite quand même des offres et des points Moi ! », explique Jonathan C, papa de quatre enfants.
Rentabiliser chaque dollar dépensé
Magasiner chez Jean Coutu, c'est aussi une stratégie payante à long terme. Grâce au programme Moi, chaque transaction donne droit à des points échangeables sur de futurs achats. Des offres bonifiées sont également proposées sur l'application Jean Coutu et Moi, permettant d'accumuler des points plus rapidement. Certains achats accordent même des cadeaux en magasin. Pour les commandes en ligne de 100 $ et plus, un rabais pouvant atteindre 20 $ est octroyé.
Soyez prêt pour la rentrée avec Jean Coutu

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Selon Statistique Canada, les exportations vers les États-Unis ont augmenté de 3,1 % en juin, mais elles étaient tout de même en baisse de 12,5 % sur un an. Conséquence directe et prévisible de la guerre commerciale déclenchée par les États-Unis, les exportations totales de biens canadiens sont en baisse de 12,8 % au deuxième trimestre de 2025 par rapport au trimestre précédent. Les voitures et les pièces de véhicules automobiles, de même que les biens de consommation, qui sont au centre des hostilités commerciales, sont les produits qui ont contribué le plus à la baisse des exportations au deuxième trimestre, selon Statistique Canada. Au premier trimestre, les exportations avaient été gonflées par les achats devancés avant l'imposition des droits de douane. Les chiffres du commerce extérieur pour le seul mois de juin, publiés mardi, indiquent une légère hausse de 0,9 % des exportations totales par rapport à mai et une augmentation plus importante des importations, de 1,4 %, ce qui a fait passer le déficit commercial du Canada avec le monde de 5,4 milliards en mai à 5,9 milliards en juin. Les exportations vers les États-Unis ont augmenté de 3,1 % de mai à juin, mais elles restent inférieures de 12,5 % à ce qu'elles étaient en juin 2024. Malgré le rebond des exportations vers les États-Unis en juin, les effets de la guerre commerciale sont clairement visibles, estime l'économiste de la Banque Nationale Jocelyn Paquet. « Les exportations de véhicules automobiles, qui ont été visées par des mesures protectionnistes, ont chuté à leur plus bas niveau en 31 mois », pointe-t-il. L'industrie automobile canadienne est parmi celles qui souffrent le plus des tensions commerciales. Selon Statistique Canada, les exportations de voitures et de camions légers sont en baisse pour le troisième mois consécutif en juin, et la valeur de ces exportations est passée sous la barre des 4 milliards de dollars pour la première fois depuis novembre 2022. Les exportations d'aluminium, de fer et d'acier, qui sont taxées à hauteur de 50 %, sont aussi en forte baisse. Depuis le début de l'année, les exportations de ces trois produits ont reculé de plus de 30 %, souligne l'économiste de la Banque Nationale. Une économie paralysée De juin 2024 à juin 2025, les exportations totales du Canada vers ses 10 principaux partenaires commerciaux ont baissé de 5,9 %. Celles vers les États-Unis ont reculé de 12,5 %. En volume, le recul de 12,8 % des exportations totales au deuxième trimestre se traduit par une baisse de plus de 33 % en rythme annualisé. Un tel déclin du commerce extérieur contribuera à affaiblir davantage la croissance attendue au deuxième trimestre, souligne l'économiste de la TD Marc Ercolao. « Ce déclin devrait se poursuivre en raison de l'absence d'entente entre le Canada et les États-Unis qui doit entraîner d'autres droits de douane de 35 % », analyse-t-il. Ces éventuels droits supplémentaires ne s'appliqueront toutefois pas aux produits conformes à l'Accord Canada–États-Unis–Mexique, qui constituent la plus grande part des exportations canadiennes aux États-Unis. En juin, 92 % des exportations canadiennes vers les États-Unis étaient exemptées de droits de douane en juin, selon le U.S. Census Bureau. Cette proportion était de 91 % en mai et de 89 % en avril. Chez Desjardins, les économistes prévoient que le commerce extérieur réduira la croissance de 7,1 % au deuxième trimestre, ce qui paralyserait pratiquement l'économie canadienne. « Nous estimons que la croissance du produit intérieur brut se situera entre -0,5 % et 0,0 % au cours du trimestre, ce qui est supérieur aux prévisions du Rapport sur la politique monétaire de juillet de la Banque du Canada », écrit l'économiste LJ Valencia dans son commentaire sur les dernières données du commerce extérieur. Statistique Canada publiera les chiffres du produit intérieur brut pour le deuxième trimestre le 29 août. La banque centrale, qui vient de maintenir son taux directeur inchangé à 2,75 % pour la troisième décision consécutive, garde la porte ouverte à une baisse des taux d'intérêt si l'économie canadienne continue de s'affaiblir. « Si l'affaiblissement de l'économie fait peser des pressions à la baisse supplémentaires sur l'inflation et que les pressions à la hausse sur les prix dues aux perturbations commerciales sont contenues, une réduction du taux directeur pourrait être nécessaire », a signalé le gouverneur de la Banque du Canada, Tiff Macklem, lors de la dernière annonce sur les taux. La prochaine décision de la banque centrale est prévue le 17 septembre.


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