
Nantes-PSG : pourquoi cette rencontre de la première journée de Ligue 1 est diffusé gratuitement ?
Après l'ouverture de la saison la veille avec la victoire du Stade Rennais contre l'Olympique de Marseille (1-0), la Ligue de Football Professionnel « régale » les fans de foot en diffusant le choc en clair entre les Canaris et le vainqueur de la Ligue des champions. Une manière de marquer le coup d'envoi de de la saison 2025-2026 et de faire découvrir sa nouvelle plateforme.

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Le Figaro
28 minutes ago
- Le Figaro
Ligue 1 : «Très content» de son retour en France, Giroud savoure un «moment spécial» après son premier but avec Lille
Buteur dès son premier tir avec le LOSC sur le terrain de Brest (3-3), l'attaquant français apprécie son grand retour sur les pelouses de Ligue 1. Il pouvait difficilement rêver meilleur retour. Si ce n'est une victoire de son club. Malgré le match nul concédé par le LOSC sur la pelouse de Brest (3-3), Olivier Giroud a marqué les esprits en inscrivant, dès son premier tir, son premier but sous ses nouvelles couleurs en Ligue 1. Le meilleur buteur de l'histoire des Bleus (57 buts en 137 sélections) a savouré ce retour réussi sur les pelouses françaises, qu'il avait quittées en 2012 (il évoluait alors à Montpellier). «Les jambes de 20 ans je ne sais pas mais en tout cas la motivation, la détermination et l'énergie sont intactes. Ça a été un moment spécial pour moi, je suis très content d'être de retour en France dans un bon club, avec un bon staff et des bons mecs. Je prends du plaisir», a confié l'attaquant de 38 ans au micro du nouveau diffuseur Ligue 1+. Publicité «Un réel plaisir de retrouver le public français» Très en forme physiquement, Giroud a disputé l'intégralité des 90 minutes aux côtés de ses jeunes partenaires chez les Dogues. «Quand on est sur le terrain, ce n'est jamais un cadeau empoisonné. Le coach (Bruno Génésio) m'a demandé plusieurs fois comment je me sentais et je lui ai dit que je me sentais prêt à aller jusqu'au bout, a-t-il déclaré. J'avais vraiment envie d'avoir une opportunité pour faire gagner ce match à la fin. C'est frustrant de ne pas prendre les trois points aujourd'hui après avoir mené deux fois à l'extérieur, c'est rageant.» «Physiquement je me sens bien, je n'ai jamais eu de doutes sur ma capacité d'enchaîner les matchs. J'avais envie de me challenger une dernière fois et de revenir en Ligue 1 n'était pas forcément prévu il y a quelques années. C'est un réel plaisir de retrouver le public français auquel je suis attaché», a conclu le champion du monde 2018, très heureux d'évoluer à nouveau dans son pays. Pour, déjà, performer et continuer à marquer des buts.


L'Équipe
42 minutes ago
- L'Équipe
Mercato : Eliesse Ben Seghir, choix n°1 du Bayer Leverkusen pour remplacer Amine Adli
Le Bayer Leverkusen est à la recherche du remplaçant d'Amine Adli, en partance pour Bournemouth. Eliesse Ben Seghir est la priorité des dirigeants du Werkself. Alors que Maghnes Akliouche, courtisé par plusieurs cadors européens, est toujours là, Eliesse Ben Seghir va-t-il quitter l'AS Monaco ? En tout cas, le Bayer Leverkusen a transmis une première offre au club monégasque ces dernières heures. Elle devrait être refusée par l'ASM, qui réclame 35 M€ pour son ailier de 20 ans. L'international marocain (11 sélections, 3 buts) est la priorité des Allemands. Ceux-ci accepteront ensuite de laisser partir Amine Adli, autre joueur des Lions de l'Atlas, qui est déjà tombé d'accord avec Bournemouth pour un contrat de cinq ans.

L'Équipe
43 minutes ago
- L'Équipe
Nadir Hifi dernier écarté, un risque assumé à l'intérieur : les dessous de la liste de l'équipe de France pour l'Euro
Après le forfait sur blessure de Vincent Poirier, Nadir Hifi a été le dernier écarté des Bleus qui débuteront l'Euro. Le choix « le plus difficile » pour le staff de l'équipe de France, qui ne comptera par ailleurs que quatre vrais intérieurs. On l'a aperçu ce dimanche en fin de matinée dans les couloirs de l'hôtel Pullman de Bercy, en pleine discussion avec les autres joueurs de l'équipe de France. Nadir Hifi avait la mine et le moral dissimulés sous son afro, encore sous le choc du couperet. Le sélectionneur Frédéric Fauthoux l'avait annoncé la veille au soir, après la victoire renversante contre l'Espagne (78-73) en amical de préparation à l'Euro (27 août-14 septembre) : il avait décidé d'« arrêter de jouer avec les nerfs des joueurs » et donc d'annoncer sa sélection de 12. Hifi en a été le dernier écarté. Timothé Luwawu-Cabarrot a lui été conservé au bénéfice de la blessure au genou de Vincent Poirier. Un choix cornélien. « Nadir a été le choix le plus difficile, tant les joueurs sont proches », reconnaissait Fauthoux, le nouveau sélectionneur, toujours invaincu (8 victoires). Les joueurs ont été réunis dimanche matin pour leur faire part du verdict. « C'était complexe pour les joueurs aussi. Il fallait s'exprimer sur des temps de jeu courts. La concurrence aurait pu les rendre fébriles. J'ai trouvé au contraire qu'ils ont bien performé, chacun dans son registre, dans une ambiance excellente. On a fait le choix de la complémentarité. Parmi les trois, quatre extérieurs, il fallait des qualités différentes. On a estimé que l'association Matthew (Strazel), Élie (Okobo), Théo (Maledon), Sylvain (Francisco) apporterait plus de complémentarité que si on avait inclus Nadir. » Forfait de Poirier, refus de Diabaté : casse-tête dans la raquette L'arrière de 23 ans, devenu une vraie figure du basket parisien et bénéficiant même d'une notoriété nationale, joueur le plus ovationné à Bercy samedi soir, sortait d'une saison de rêve, tant en Euroligue (meilleur jeune, 15,1 points) qu'en Championnat de France (18,2 points, meilleur marqueur de Betclic Élite), terminée sur le premier sacre de l'histoire du Paris Basketball, également vainqueur de la Coupe. Le natif de Strasbourg était particulièrement apprécié de Fauthoux depuis le début de la préparation et semblait tenir la corde d'une première phase finale pour sa capacité à créer son propre tir. Mais après une sortie à 14 points en 16 minutes contre le Monténégro (81-75), et malgré un bon match à Badalone contre l'Espagne (7 unités en 13 minutes, 67-75), l'ancien Portelois a fait les frais de son inconstance (0/3 en 5 minutes samedi), et surtout du niveau affiché par son concurrent Francisco, en pleine lumière dans les deux victoires contre la Roja (7 points, 4 passes et 2 interceptions en 12 minutes de moyenne). A l'intérieur, un risque assumé « Je suis heureux mais je reste les pieds sur terre », disait le meneur du Zalgiris Kaunas, dont la seule phase finale avec les Bleus, le Mondial 2023, s'était soldée par une grosse déception (élimination au premier tour). « Ça fait mal pour Nadir, a-t-il confié. Personne n'aimerait être à sa place. Mais tu ne peux rien dire. Il n'y avait pas de bon ou mauvais choix. Tout le monde était performant. Connaissant Nadir, je suis sûr que ça va le motiver. Cela ne doit pas l'éteindre. Je vais en parler avec lui. De notre côté on a un objectif à accomplir. Il faut rester concentrés. » Les Bleus clament vouloir une médaille. Il faudra aller la chercher dans une configuration singulière, avec une raquette dépeuplée. Confronté à une incroyable pénurie - Victor Wembanyama, Rudy Gobert, Mathias Lessort, Moustapha Fall et finalement Poirier, tous blessés ou indisponibles -, Fauthoux a opté pour un dispositif à seulement quatre intérieurs de métier (Mouhammadou Jaiteh, Jaylen Hoard, Alexandre Sarr et le capitaine Guerschon Yabusele), l'ex-Monégasque Jaiteh étant le seul pivot de référence. Les Bleus vice-champions olympiques l'avaient fait l'été dernier, mais avec trois pivots dominants et Nicolas Batum en ailier-fort pigiste de luxe. « On voulait quelqu'un qui puisse apporter de suite, et fort, ou qui s'inscrivait dans une perspective d'avenir » Frédéric Fauthoux, sélectionneur des Bleus Le sélectionneur a bien tenté de rappeler Moussa Diabaté, présent en début de préparation. Il s'est heurté au refus du joueur de Charlotte, qui s'est sans doute autodisqualifié pour de nombreuses années sous le maillot bleu. « On voulait quelqu'un qui puisse apporter de suite, et fort, ou qui s'inscrivait dans une perspective d'avenir, décrypte Fauthoux. On a envisagé plusieurs scenarii, les joueurs annoncés forfaits (Wembanyama, Gobert, Lessort) ou les jeunes prospects (Beringer, Raynaud). Mais une fois épuisées les options deux ou trois, on ne pouvait pas descendre plus. On a privilégié le groupe construit jusque-là. » En décalant Yabusele au pivot par séquences - « Je l'ai fait cette saison en NBA et au Real Madrid », validait le capitaine -, le technicien devrait combler une partie des carences. « Ce sera différent de ce qu'on a imaginé en début de campagne, acquiesçait-il. On va peaufiner. La force de cette équipe, c'est sa faculté à être agressive défensivement. En attaque, ça ne posera pas de problème particulier. Le jeu qui est produit en Europe et dans le monde est plus tourné vers le "small ball". » Une philosophie qui volerait en éclats si, lors de la dernière semaine de préparation, avec un dernier amical à disputer en Grèce (le 24 août), - ou pire, pendant le premier tour de l'Euro - une nouvelle blessure devait survenir. Le staff, qui n'a pas prévu de partenaire d'entraînement en Grèce, priait très fort dimanche en ce sens. Car à l'Euro, sa raquette partira sans filet. Le parcours atypique de Moussa Diabaté qui a dit non aux Bleus