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CAN féminine 2025 : comment les tensions diplomatiques entre Alger et Rabat s'invitent sur le terrain

CAN féminine 2025 : comment les tensions diplomatiques entre Alger et Rabat s'invitent sur le terrain

Le Parisien14 hours ago
La
Coupe d'Afrique des nations (CAN) féminine 2025
bat son plein sur le sol marocain. La sélection algérienne, qui affronte le Nigeria ce dimanche 13 juillet, dans la soirée, fait pour autant comme si la compétition n'avait pas d'adresse. Depuis le 5 juillet, les protégées de Farid Benstiti ont rejoint les meilleures équipes du continent… mais
en gommant méthodiquement toute trace du pays hôte
.
Logo dissimulé, emblème modifié et sponsor officiel remplacé, toute référence au Maroc est invisibilisée. Cette mise en scène singulière est à l'image de la crise diplomatique qui gangrène les relations entre les deux frères ennemis du Maghreb.
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Chelsea-PSG : «On avait l'intention de les tuer sur leurs faiblesses», confesse Malo Gusto après le sacre des Blues
Chelsea-PSG : «On avait l'intention de les tuer sur leurs faiblesses», confesse Malo Gusto après le sacre des Blues

Le Figaro

timean hour ago

  • Le Figaro

Chelsea-PSG : «On avait l'intention de les tuer sur leurs faiblesses», confesse Malo Gusto après le sacre des Blues

L'ancien Lyonnais a évoqué les clés du succès de Chelsea face au PSG dimanche, en finale du Mondial des clubs. Malo Gusto (défenseur de Chelsea) : «C'est une grande fierté. C'était un objectif clair. On l'a réalisé, on est très contents pour le club et pour nous en tant que joueurs. On sait que beaucoup de gens ont mal parlé de nous et qui ne nous respectaient pas. On a montré qu'on mérite de gagner ce trophée. Les clés en première période ? C'était d'abord le pressing. On savait que c'était une équipe qui sait bouger, qui sait garder le ballon. Le pressing était donc important. Après, c'était la récupération. On avait l'intention de les tuer sur leurs faiblesses, c'est ce qu'on a fait et on est très contents. (…) On n'était pas forcément respectés. Les gens ont tendance à dire qu'on est jeunes, qu'on n'a pas l'habitude de jouer ce genre de rendez-vous. Le coach nous a dit que c'était l'occasion de montrer au monde qu'on est l'un des meilleurs clubs et qu'on peut se frotter à ce genre d'équipe. C'est ce qu'on a su faire.» (sur DAZN)

Les notes de Pays-Bas - France  : Delphine Cascarino a renversé la table
Les notes de Pays-Bas - France  : Delphine Cascarino a renversé la table

L'Équipe

timean hour ago

  • L'Équipe

Les notes de Pays-Bas - France : Delphine Cascarino a renversé la table

Menée à la pause (1-2), l'équipe de France a renversé dimanche les Pays-Bas en 5 minutes à l'heure de jeu, dans le sillage d'une Delphine Cascarino inarrêtable (2 buts, 1 passe décisive), pour finalement s'offrir un large succès (5-2), un sans-faute dans le groupe D et l'Allemagne en quarts de finale. Les Pays-Bas ont fait mal aux Bleues sur les côtés, notamment en première période, avec Grant (6), dangereuse sur plusieurs actions, et Pelova (7). Déjà buteuse contre le pays de Galles, l'attaquante a récidivé d'une frappe sous la barre (1-1, 26e) puis fait le décalage pour Beerensteyn sur le c.s.c de Bacha. Et si elle a perdu le ballon sur le 2-2, la passe de Janssen (2) était catastrophique. La défenseuse a été trop facilement éliminée par Cascarino sur le 2-3, a raté son dégagement sur le dernier but et vécu un calvaire. Casparij (3) comme Groenen (3) ont beaucoup souffert. La sentinelle a été mangée par Katoto sur l'ouverture du score puis dévorée par Cascarino sur le 2-2. Roord (4) a affiché une improbable nonchalance sur sa perte de balle puis dans la continuité de l'action du doublé de Cascarino. Van Domselaar (4) a réalisé plusieurs beaux arrêts, mais elle a pris cinq buts. Elle ne peut rien faire sur les deux buts adverses et elle a maintenu son équipe à flot pendant longtemps. Sollicitée dès le début du match (2e par Pelova, 31e par Van de Donk), elle a été parfois impressionnante dans ses arrêts sur sa ligne. Son jeu au pied s'est franchement amélioré depuis quelques mois et cela s'est encore vu à Bâle. Restée sur le banc contre les Galloises, la latérale du PSG a retrouvé son poste de latérale droite, mais elle a été moins en vue que face à l'Angleterre. Autrice d'un très bon début de match, elle a été coupable sur les deux buts néerlandais. Titulaire contre les Galloises, elle a enchaîné face aux Pays-Bas, puisque Mbock et Lakrar ne sont pas à 100 % physiquement. Si elle manque de vitesse, elle possède une puissance très intéressante, qui lui a notamment permis de s'imposer devant Van de Donk ou Beerensteyn (34e). Passée axe gauche après la pause, elle a été impériale et a même apporté des solutions offensives en perçant les lignes adverses, comme à la 54e. Seule joueuse avec Bacha à avoir été titularisée lors des trois matches de cet Euro, la Lyonnaise a commencé axe gauche avant de passer à droite après la pause. Sereine en début de match, elle a flanché sous la pression adverse. Elle est prise par l'appel de Beerensteyn sur le deuxième but adverse et n'a pas vraiment régné dans sa défense. Moins en vue que d'habitude balle au pied, et aucun risque pris à la relance. Remplacée par N'DONGALA (79e), qui a obtenu un penalty (90e). Dans le onze pour la troisième fois de suite, comme Sombath, elle était sous la menace d'une suspension en cas d'avertissement. Cela l'a peut-être limitée dans son pressing et ses duels, car elle a souffert. Souvent prise dans son dos par Grant, elle a laissé des espaces et des positions de centre. Le but marqué contre son camp (41e) ne l'a pas fait couler et elle a réalisé une bonne seconde période, avec beaucoup de présence défensive. Offensivement, elle est toujours intéressante, notamment par ses centres. Remplacée par BOGAERT (71e). Placée en relayeuse droite, la milieu a été beaucoup trop discrète. Son travail défensif n'a pas été à la hauteur en première période avec aucun ballon récupéré. Un bon centre vers Katoto qui ne centre pas (20e). Au début de l'action néerlandaise, elle est en retard sur Roord (41e). Mieux quand elle est redescendue en sentinelle à la place de Toletti. Un très bon début de match à la récupération du ballon (3) et dans l'orientation du jeu. Elle marque son quatrième but en sélection le jour de ses 30 ans d'une frappe de 20 mètres (22e). Un bon retour pour repousser un centre de Grant (30e). Visiblement touchée à la jambe gauche, elle cède sa place à GEYORO (59e), dont l'entrée a fait beaucoup de bien à l'entrejeu. La milieu du PSG a eu une énorme activité au milieu, où elle a beaucoup couru et défendu. Une première frappe détournée par la gardienne (7e). Elle est impliquée sur l'action du premier but français (22e). Elle trouve parfaitement Cascarino pour le but du 3-2 (64e). Une bonne passe pour Mateo, qui bute sur la gardienne (78e), une autre pour Geyoro qui ne cadre pas (87e). Elle transforme le penalty obtenu par N'Dongala (90e + 2). Hormis une frappe du gauche sortie par la gardienne (7e), l'ailière française a été beaucoup trop discrète offensivement sur son côté droit en première période. Sa seconde a simplement été époustouflante. Après deux manqués (52e, 54e), elle récupère un bon ballon et résiste à Groenen pour servir Katoto sur le deuxième but français (61e). Son contrôle et son but qui redonne l'avantage aux Bleues sont simplement fabuleux (64e), puis elle inscrit un doublé (66e). Elle quitte le terrain acclamée par le public et cède sa place à DIANI (71e). Une reprise largement à côté sur un centre de Jean-François (21e), une belle passe décisive pour Toletti (22e), une tête pas cadrée sur un centre de Bacha (40e). Bien lancée par Cascarino, elle inscrit un but plein de sang-froid (61e) et devient la seule cinquième meilleure buteuse de l'histoire des Bleues (40 réalisations). Elle touche deux fois les montants avant le deuxième but de Cascarino (67e). Remplacée par MATEO (71e) qui réalise une entrée pleine de peps. Un gros travail défensif en première période (4 ballons récupérés, meilleur total français). En revanche, offensivement, elle a peiné, même si elle est impliquée sur le premier but français (22e). Un bon centre dans la surface dont ne profite pas Cascarino (52e). Un tir contré par Van Domselaar après un bon service de Mateo (80e). Toujours privé de Lakrar et Mbock, le sélectionneur de l'équipe de France a refait confiance à Samoura en défense centrale et la Parisienne a été l'une des meilleures. Malmenée en première période, son équipe s'est reprise à la pause, preuve que son discours a été entendu par les joueuses. Ses changements, notamment l'entrée de Geyoro pour Toletti (blessée), ont été très bénéfiques. À lire aussi Retrouvailles insolites entre Lerond et sa soeur à Bâle Un travail à finir Le mois américain de Luis Enrique Beraldo veut quitter le PSG

Lucas Beraldo souhaite un statut de titulaire dans les grands rendez-vous et veut quitter le PSG
Lucas Beraldo souhaite un statut de titulaire dans les grands rendez-vous et veut quitter le PSG

L'Équipe

timean hour ago

  • L'Équipe

Lucas Beraldo souhaite un statut de titulaire dans les grands rendez-vous et veut quitter le PSG

Le défenseur central brésilien Lucas Beraldo, en quête de temps de jeu et d'un statut différent, a demandé à quitter le PSG cet été. Une demande validée, mais sous conditions. Ce petit sourire en coin étonnant lors de toutes les présentations de joueurs, Lucas Beraldo l'arborait encore dimanche soir au MetLife Stadium, quelques minutes avant le coup d'envoi de la finale de la Coupe du monde des clubs. Une constante chez le Brésilien de 21 ans. Et une séquence à laquelle les supporters parisiens n'assisteront bientôt plus ? L'hypothèse n'est pas à écarter. Selon nos informations, Beraldo, en grande difficulté dimanche soir comme l'ensemble de la défense parisienne, a fait savoir à ses dirigeants récemment - au cours du tournoi américain - qu'il demandait à quitter le club de la capitale cet été. Le défenseur central, arrivé en provenance de Sao Paulo moyennant 20 millions d'euros en janvier 2024, se sent bien à Paris et ne cache pas son épanouissement dans un contexte sportif qu'il sait particulièrement compétitif. Mais Beraldo, s'il a disposé d'un temps de jeu loin d'être négligeable (38 matches toutes compétitions confondues, 2 683 minutes), a pu mesurer cette saison l'écart qui le séparait de la concurrence lors des matches importants. Apparu seulement lors de 4 des 17 matches de Ligue des champions (142 minutes jouées), le Brésilien, confronté à l'émergence au très haut niveau de l'Équatorien Willian Pacho, souhaite postuler à un statut de titulaire sur ce type de grandes échéances. La manière dont il a assumé ce rôle lors du quart de finale aller face à Aston Villa (3-1, le 9 avril) l'a renforcé dans sa conviction. Un souhait prématuré, dix-huit mois après son arrivée en Europe ? La question se situe là. Mais à un an de la Coupe du monde, Beraldo, sous contrat jusqu'en 2028, se sent prêt à faire le grand saut. Un départ conditionné à l'arrivée de Zabarni La direction parisienne, nécessairement surprise par cette décision et fidèle à sa méthodologie de ne construire un groupe qu'avec des joueurs pleinement engagés dans le projet, a validé le principe d'un départ. Mais sous certaines conditions. Et pas des moindres. D'abord, la finalisation du dossier menant à l'Ukrainien de Bournemouth, Ilya Zabarni (22 ans). Les deux parties ne sont plus très loin d'un accord. Seconde condition : un montant correct. Après avoir disputé 62 matches avec le PSG, Beraldo est un joueur dont la valeur a augmenté. Il faudra débourser a minima 30 millions d'euros pour recruter le central. Un montant qui ouvre, sur un marché des axiaux gauchers de haut niveau pas si large, des perspectives certaines. Le profil du Brésilien, relanceur élégant et efficient, avec une réelle marge de progression dans sa culture défensive, ne colle pas à tous les Championnats. Par exemple, difficile de le voir, à court terme, convoité par le top 3 de la Premier League. D'autres clubs se sont déjà renseignés. Si les velléités de départ de Beraldo trouvent un prolongement très concret, la direction sportive du PSG fera face à un chantier important dans ce secteur de jeu. Outre l'arrivée de Zabarni, les questions entourant l'avenir de Marquinhos et l'état de forme de Lucas Hernandez et surtout Presnel Kimpembe demeurent. Luis Campos, qui avait un temps pris des informations sur le défenseur espagnol du Valence CF, Yarek Gasiorowski (parti depuis au PSV Eindhoven), devra donc se mettre en quête d'un central gaucher de haut niveau. À lire aussi Les notes de Chelsea-PSG Pour le PSG, dernier étage avant les nuages Le mois américain de Luis Enrique Les notes de Pays-Bas - France

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