
Labyrinthe, jeux, visite guidée… Cette ferme médiévale de l'Essonne se réinvente pour attirer les familles

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Le HuffPost France
3 minutes ago
- Le HuffPost France
Manuel Valls se dit prêt à discuter avec le leader des indépendantistes kanaks Christian Tein, mais…
POLITIQUE - Visite cruciale. Après le rejet mercredi de l'accord sur l'avenir de la Nouvelle-Calédonie par le Front de libération nationale kanak socialiste (FLNKS), principal mouvement indépendantiste du territoire, le ministre des Outre-mer Manuel Valls va chercher à convaincre les indépendantistes du bien-fondé du texte de Bougival. Raison pour laquelle il se rendra à Nouméa à partir de ce lundi 18 août. Mais avant cela, le ministre a détaillé dans une interview au Parisien dimanche les raisons de son déplacement, qui a tout l'air d'une mission de sauvetage de cet accord qu'il juge « inédit ». Et qui doit permettre d'obtenir la création d'un « État de Nouvelle-Calédonie » doté d'une loi fondamentale, d'une nationalité calédonienne et de la compétence en relations internationales. Mais aussi d'une reconnaissance de l'identité kanake. Après avoir jugé « incompréhensible » le rejet de cet accord, il affirme vouloir « expliquer, préciser, compléter, convaincre autant que nécessaire » lors de ce déplacement. Durant cette semaine, « nous examinerons d'ores et déjà le projet de loi de réforme de la Constitution, préalable à la consultation des Calédoniens en février. Chacun sait que repartir de zéro, sans projet alternatif, conduirait la Nouvelle-Calédonie dans l'impasse ». Toutefois, Manuel Valls va devoir se confronter aux profondes réticences du FLNKS pour trouver un compromis. Il indique à ce titre que « les conséquences d'une absence d'accord seraient dramatiques : arrêt des investissements, fermeture des trois usines de nickel, perte de milliers d'emplois, aide financière de l'État au compte-goutte. Et c'est la jeunesse océanienne qui serait la plus touchée ! ». « Ma porte est toujours ouverte » « C'est pour cela que je veux convaincre le FLNKS de s'inscrire dans l'accord lors de notre réunion bilatérale ». Mais pour ce faire, le FLNKS réclame que son président Christian Tein supervise les discussions. En visioconférence depuis Mulhouse, où il a été incarcéré pendant près d'un an, Christian Tein avait dénoncé mercredi « un accord à marche forcée proposé par Macron ». Autre problème, le leader indépendantiste a été mis en examen pour son rôle présumé dans les émeutes de 2024. Et se retrouve depuis interdit de séjour en Nouvelle-Calédonie. Ce qui n'est pas un problème selon le ministre, qui ouvre quand même la porte à un échange avec Christian Tein. « Si Christian Tein veut me rencontrer à Paris et échanger évidemment de manière constructive, ma porte est toujours ouverte, même si je connais sa situation judiciaire ». Le ministre se retrouve quand même forcé de reconnaître que « Christian Tein est dans l'Hexagone et moi je me rends à Noumé a ». Ce qui va clairement poser problème pour répondre à la revendication du FLNKS. Manuel Valls explique qu'il « privilégie à ce stade la discussion avec la délégation du FLNKS en Nouvelle-Calédonie ». « Je ne veux pas passer en force. Mais il n'y a pas d'alternative crédible à Bougival », avance également le ministre, pour qui « la Nouvelle-Calédonie, déjà sévèrement touchée, ne peut se permettre l'instabilité et le chaos ». Dans ces conditions, l'ancien ministre de l'Intérieur socialise reconnaît que « les risques de confrontation, de guerre civile existent réellement », mais assure que « l'État sera présent pour préserver l'ordre public et le respect de l'exercice de la démocratie ».


Le Figaro
3 minutes ago
- Le Figaro
L'éditorial de Philippe Gélie : «La méthode Poutine pour manœuvrer Tump»
Réservé aux abonnés En amenant l'Américain à laisser tomber sa demande de cessez-le-feu pour rechercher un « accord de paix rapide », le président russe a posé d'emblée la question territoriale sur la table. Après Anchorage, c'est de facto un deuxième sommet qui va être improvisé ce lundi à la Maison-Blanche entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky, escorté par une demi-douzaine de dirigeants européens. Il n'en fallait pas moins pour délibérer sur les conséquences des retrouvailles effusives en Alaska entre les présidents américain et russe. Avant peut-être un troisième sommet avec Vladimir Poutine, souhaité par Trump dès vendredi prochain, mais dont le Kremlin n'a pas encore accepté le principe. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Club Le Figaro Idées avec Eugénie Bastié Au milieu de cette fébrilité diplomatique, le président russe procède avec méthode. Première étape, face à un Trump brouillon et inconstant, il a obtenu exactement ce qu'il était venu chercher. Pas seulement le décorum et le traitement de parité qui l'arrache à son statut de paria international. Plus important : en amenant l'Américain à laisser tomber sa demande de cessez-le-feu pour rechercher un « accord de paix rapide », il a posé d'emblée la question territoriale sur la table. Avec une…


Le Figaro
33 minutes ago
- Le Figaro
Macron affirme que Poutine ne veut pas la paix mais une «capitulation» de l'Ukraine
La question des garanties de sécurité en faveur de l'Ukraine est au centre de l'élaboration d'un éventuel accord de paix. Elles auraient pour but de dissuader la Russie d'attaquer de nouveau l'Ukraine. Le président français, Emmanuel Macron, a affirmé dimanche que son homologue russe, Vladimir Poutine, ne voulait pas la paix mais une «capitulation» de l'Ukraine, à l'issue d'une réunion en visioconférence avec la «coalition des volontaires» alliés de Kiev. «Est-ce que je pense que le président Poutine veut la paix? Si vous voulez mon intime conviction, non. Il veut la capitulation de l'Ukraine, c'est ça qu'il a proposé», a jugé le chef de l'État français, en disant vouloir «une paix robuste, durable, c'est-à-dire respectueuse du droit international, (...) qui respecte la souveraineté, l'intégrité territoriale de tous les pays». Il a estimé au contraire que Donald Trump recherchait la paix entre la Russie et l'Ukraine. Publicité «Front uni entre Européens et Ukrainiens» À la veille d'une rencontre entre Donald Trump et le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, lundi à Washington, à laquelle Emmanuel Macron et plusieurs responsables européens doivent également participer, «notre volonté est de présenter un front uni entre Européens et Ukrainiens», et de demander aux Américains «jusqu'à quel point» ils sont prêts à contribuer aux garanties de sécurité qui seraient offertes à l'Ukraine dans un accord de paix, a encore dit le président français. La question des garanties de sécurité en faveur de l'Ukraine est au centre de l'élaboration d'un éventuel accord de paix car elles auraient pour but de dissuader la Russie d'attaquer de nouveau l'Ukraine. Il s'est montré prudent sur la possibilité avancée par Donald Trump de faire bénéficier à l'Ukraine de protections similaires à celles de l'Otan, sans pour autant que Kiev ne devienne membre de l'Alliance atlantique. «Je crois qu'un article théorique n'est pas suffisant. La question, c'est la substance», a-t-il estimé. «Comment nous assurer collectivement que l'ordre international est respecté et que notre sécurité à tous est protégée, parce qu'il en va de la sécurité des Européens et de la France», a-t-il encore déclaré depuis sa résidence d'été du Fort de Brégançon (sud-est de la France), après plus de deux heures de réunion de la «coalition des volontaires». «Il ne peut pas y avoir de discussions territoriales sur l'Ukraine sans les Ukrainiens» et, «de la même manière pas de discussion sur la sécurité des Européens sans eux», a ajouté Emmanuel Macron, demandant que ces derniers soient conviés aux prochains sommets sur l'Ukraine. «Nous allons demain (à Washington) pas simplement pour accompagner le président ukrainien, nous y allons pour défendre les intérêts des Européens», a-t-il souligné.