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Ado blessée, baignade déjà interdite… dans les Yvelines débuts difficiles des nouveaux Étangs de Hollande

Ado blessée, baignade déjà interdite… dans les Yvelines débuts difficiles des nouveaux Étangs de Hollande

Le Parisien09-07-2025
Quand ça ne veut pas… En confiant son joyau aquatique à un
gestionnaire privé
, la communauté d'agglomération Rambouillet Territoires pensait entrevoir le bout du tunnel. Aux Bréviaires (
Yvelines
), la base de loisirs des Étangs de Hollande,
à peine inaugurée après une restructuration complète
, est hélas confrontée à deux difficultés dont les élus locaux se seraient bien passés.
Alors qu'une nouvelle envolée des températures se profile, la baignade y est (encore) interdite jusqu'à nouvel ordre, en raison de la prolifération de
cyanobactéries
, ces « algues bleues » qui pénalisent chaque année les candidats au barbotage. L'accès au Water Games, une structure flottante flambant neuve, est suspendu aussi, à la suite d'un accident survenu dix jours après la réouverture.
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Tour de France : ambiance de folie à Montmartre, Tadej Pogacar largement vainqueur de cette 112e édition
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Le HuffPost France

time9 minutes ago

  • Le HuffPost France

Tour de France : ambiance de folie à Montmartre, Tadej Pogacar largement vainqueur de cette 112e édition

TOUR DE FRANCE - Alors que les premiers spectateurs avaient investi Montmartre parfois dix heures avant le passage du peloton ce dimanche 27 juillet, ceux-ci ont eu la surprise de voir les organisateurs du Tour de France prendre une rare décision dans l'après-midi. En raison de la pluie tombant sur Paris, il a été décidé de geler les temps du classement général au quatrième passage des coureurs sur la ligne d'arrivée des Champs-Élysées, soit avant les trois ascensions de la butte Montmartre, lors de la 21e et dernière étape. « En raison des conditions météorologiques, les temps au classement général seront gelés au 4ème passage sur la ligne d'arrivée, à 50,3 km de l'arrivée », avait annoncé la direction de course. Qu'à cela ne tienne, cela n'a finalement pas changé grand-chose à ce final inédit dans la capitale, puisque les coureurs pouvaient tout de même continuer de se battre pour remporter la victoire d'étape mythique sur les Champs-Élysées. Vers 18h45, le peloton est donc arrivé groupé au pied de la butte Montmartre pour le premier passage que tout le monde attendait avec impatience, juste après avoir croisé la route des danseuses du Moulin Rouge. Comme lors des Jeux olympiques l'été dernier, les dizaines de milliers de spectateurs massés derrière les barrières de la rue Lepic et les millions de téléspectateurs derrière leur écran ont pu profiter d'une ambiance digne d'un stade de foot, avec des images qui ont encore fait une publicité incroyable à la capitale, même si elle n'en a plus besoin depuis longtemps pour attirer les touristes. Le Français Julian Alaphilippe ne s'y est pas trompé en plaçant une attaque dès le début de l'ascension. Le Belge Wout van Aert vainqueur sur les Champs-Élysées L'aspect « dramatique » de la course s'est renforcé quand la pluie a redoublé d'intensité au moment de la deuxième ascension de la butte, ce qui n'a fait que galvanisé la foule présente jusqu'aux fenêtres des immeubles donnant sur le parcours montmartrois. D'autant plus que le maillot jaune en personne, Tadej Pogacar, est même passé à l'attaque à ce moment-là. Finalement, aux alentours de 19h40, sur une chaussée rendue particulièrement glissante, c'est le Belge Wout van Aert qui s'est imposé en solitaire sur les Champs-Élysées, avec une vingtaine de secondes d'avance sur ses poursuivants, après avoir fait le trou lors du troisième passage sur le circuit de Montmartre. Sans suspense au classement général, le Slovène Tadej Pogacar remporte lui son quatrième Tour de France (après 2020, 2021 et 2024), avec plus de quatre minutes d'avance sur le Danois Jonas Vingegaard, jamais en mesure de le dépasser durant les trois semaines de course. Deux Français se classent dans le top 10, Kévin Vauquelin (7e) et Jordan Jegat (10e).

« C'est une nage où il est obligé de se poser »  : le papillon, la nage qui canalise Maxime Grousset
« C'est une nage où il est obligé de se poser »  : le papillon, la nage qui canalise Maxime Grousset

L'Équipe

time9 minutes ago

  • L'Équipe

« C'est une nage où il est obligé de se poser » : le papillon, la nage qui canalise Maxime Grousset

Le Néo-Calédonien a impressionné lors des demi-finales du 50 m papillon en réalisant dimanche le meilleur chrono en 22''61 (record de France). Il affiche une sérénité très prometteuse pour la finale ce lundi. À la fin du stage de l'équipe de France à Jakarta, Michel Chrétien voyait Maxime Grousset (26 ans) sauter partout. Un bon signe. Le coach comme l'élève sentaient bien qu'un petit truc se profilait. Depuis les Championnats de France, le Néo-Calédonien a changé de visage. Arrivé malade (sinusite) et handicapé par une préparation tronquée par des douleurs au dos et à l'épaule à Montpellier, il s'est rassuré, même surpris, en réalisant des temps canons jour après jour. De quoi voir l'avenir radieux. Sans jouer les Cassandre, ça sentait bon pour les Championnats du monde et ça s'est confirmé ce dimanche avec deux performances de très haut niveau lors du 50 m papillon. « Je retrouve le Max que je connais bien. Il est joyeux, cool, à l'écoute, se réjouit l'entraîneur. Il vient vers moi, on change des choses à l'échauffement, il n'est pas sur la réserve. L'année dernière, il était toujours insatisfait de ce qu'il faisait. Là il s'accepte, il a confiance en lui. Il répète ce qu'il fait de mieux. » Du nec plus ultra dès les séries du matin avec un 22''74 tout en maîtrise pour finir par un record de France en 22''61, meilleur chrono des demi-finales. « Je suis très content. On est des gosses, on est contents d'améliorer nos chronos, explique-t-il avec un grand sourire. Le record de France, c'est bien, je ne peux pas cracher dessus, je suis encore 1 au classement et le plus important sera d'être encore 1 au classement demain (ce lundi). » « Le pap l'empêche de développer une fougue qui serait nuisible » Michel Chrétien, entraîneur Lui le fougueux ne veut surtout pas s'emballer car il n'a pas oublié les Mondiaux de Fukuoka (Japon) en 2023 où il avait signé le meilleur temps des demi-finales en 22''72 avant de « faire une dinguerie » comme il le dit en finale. « J'étais dans les premiers et je finis ''je ne sais plus'' (3e en 22''82). On va rester tranquille et concentré pour continuer à faire des bonnes choses », tempère-t-il sans vouloir « rien promettre ». Il existe toujours un risque de crispation en finale mais Grousset n'envoie aucun message négatif. Il apparaît serein, bien loin de sa déconvenue des JO. Cette nage qu'il travaille peu à l'entraînement le canalise. « C'est une nage où il est obligé de se poser. Quand tu ne te poses pas en pap, c'est catastrophique, prévient Michel Chrétien. Le pap l'empêche de développer une fougue qui serait nuisible. » Le fameux lâcher-prise le guide. Tout paraît fluide et contrôlé comme sa respiration au dernier 15 m. Il voulait regarder sa course en vidéo pour voir l'efficacité de ce choix mais il avait la sensation que « ça lui faisait gagner de la hauteur » et « pas perdre de la vitesse ». En apnée ou avec une respiration, il a bien conscience qu'il doit avant tout se concentrer sur lui. Il ne regarde pas ses adversaires pour rester dans sa bulle. On a donc vu pour lui l'élimination surprise du Canadien Ilya Kharun qui avait signé la meilleure performance mondiale de la saison en 22''68 avant de venir à Singapour. On a noté que Noè Ponti n'a jamais fait mieux que les 22''61 de Grousset (meilleur temps en 22''65). On a constaté que Ben Proud était toujours là avec son 3e temps en 22''74. On a surtout retrouvé le Maxime Grousset de Fukuoka où il avait décroché son titre mondial sur 100 m papillon.

Mondiaux d'escrime : une journée sans pour les Français
Mondiaux d'escrime : une journée sans pour les Français

Le Figaro

time9 minutes ago

  • Le Figaro

Mondiaux d'escrime : une journée sans pour les Français

Après la médaille d'or des épéistes françaises ce samedi, la délégation française a connu une journée compliquée. ILs repartent donc sans titre individuel. Sara Balzer et les sabreuses tombées aux portes de la médaille, les épéistes loin du podium. Les Français ont connu une journée morose dimanche aux Mondiaux de Tbilissi (Géorgie), dont ils repartiront sans titre en individuel. Alors que les trois dernières journées seront consacrées aux épreuves par équipes, la délégation tricolore ne pourra ajouter de médaille au bronze obtenu par Maxime Pauty (fleuret) et l'argent de Jean-Philippe Patrice (sabre) et Pauline Ranvier (fleuret). Les sabreuses tricolores, emmenées par la vice-championne olympique Sara Balzer et la championne d'Europe Sarah Noutcha, faisaient partie des chances de podium, mais ont tour à tour échoué à franchir le cap des quarts de finale. Publicité Balzer dominée par l'Ukrainienne Komashchuk Balzer a été dominée par l'Ukrainienne Alina Komashchuk (15-7), avant que Noutcha ne tombe devant la Polonaise Zuzanna Cieslar (15-12) et que la jeune Toscane Tori ne soit battue par la Russe Yana Egorian, double championne olympique en 2016 et sacrée en fin de journée. Une première victoire en Géorgie pour la Russie, dont les athlètes concourent sous bannière neutre, dans un contexte où la présence de certains d'entre eux a provoqué la colère avant et pendant ces Mondiaux. En juillet, la Fédération internationale d'escrime a décidé de simplifier sa procédure d'attribution du statut d'athlète individuel neutre (AIN), permettant ainsi le retour de certains tireurs appartenant au CSKA Moscou, club historiquement lié à l'armée, dont Yana Egorian. Dimanche, des dizaines de manifestants se sont rassemblés devant le Palais olympique de Tbilissi, afin de protester contre la participation des escrimeurs des deux pays dont certains «sont des militaires» avaient indiqué des manifestants à l'Agence de presse Interpress. Après l'or de samedi, déception pour les épéistes Côté piste, la marche était peut-être encore un peu haute pour Balzer, qui malgré l'ambition d'aller chercher une médaille voire mieux, n'a pas eu toute la préparation adéquate après une saison marquée par un retour tardif à la compétition afin de récupérer des JO. Son meilleur résultat en Coupe du monde demeurait un 8e de finale en Tunisie en début d'année, stade de la compétition également atteint aux championnats d'Europe. L'herbe n'a pas été plus verte pour l'épée masculine, qui a connu une saison de reconstruction après des mois de tensions en interne précédant les Jeux de Paris. Reste désormais aux Bleus a brillé par équipes, et tenter d'imiter les épéistes tricolores, sacrées championnes du monde samedi. Les sabreuses, championnes d'Europe à Gênes et les épéistes, en argent il y a deux ans à Milan, débuteront lundi quand les équipes masculines de sabre et féminine de fleuret tenteront de monter sur le podium la même journée.

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