
La victime de " freinage fantôme " entendue par le ministère des Transports
Depuis, la victime souhaite lancer une action collective et s'est entretenue auprès du ministère des Transports. Selon nos confrères du Figaro, le ministère confirme « qu'un échange a bien eu lieu entre Joanna et le service de surveillance du marché des véhicules et des moteurs (SSMVM), un service rattaché au ministère des Transports ».
Ce type de démarche semble habituelle de la part du SSMVM. Ce dernier est justement en charge du scandale des airbags Takata. Dans le cas de ce freinage fantôme, le but est « de recueillir les témoignages et de déterminer si des investigations plus approfondies doivent être menées ».
Une ouverture d'une possible enquête de la part du SSMVM pourrait faire avancer son dossier. De son côté, Joanna affirme avoir reçu plus de 350 mails décrivant des situations similaires à celle qu'elle a vécue. Appuyez sur l'accélérateur
Ce système de freinage d'urgence automatique est obligatoire sur toutes les voitures neuves depuis juillet 2024. Seulement, il équipe plusieurs modèles depuis plusieurs années.
Lors de nos essais, nous avons souvent constaté, et relaté, des défaillances de ce système avec des ralentissements, voire des freinages appuyés, inappropriés. Si cela arrive, il faut accélérer le plus rapidement possible afin de désactiver le système, donc le freinage, et de reprendre de l'allure.
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LeMonde
33 minutes ago
- LeMonde
Des taux « incommensurables » de microplastiques retrouvés dans les eaux Contrex et Hépar, révèle Mediapart
Des taux de pollution de microplastiques « incommensurables » ont été retrouvés dans les eaux Contrex et Hépar, selon le magistrat chargé de l'enquête préliminaire dans le cadre des poursuites contre Nestlé Waters concernant des décharges sauvages de déchets polluants dans les Vosges, révèle Mediapart dans un article paru samedi 9 août. Nestlé Waters est poursuivi pour avoir stocké des déchets et maintenu quatre décharges sauvages à Contrexéville, They-sous-Montfort, Saint-Ouen-Les-Parey et Crainvilliers, représentant un volume cumulé de 473 700 mètres cubes, l'équivalent de 126 piscines olympiques. Le procès, décidé après une enquête du pôle régional environnement du parquet de Nancy, se tiendra du 24 au 28 novembre. Nestlé est notamment poursuivi pour avoir, autour de ces décharges, « laissé s'écouler dans les eaux superficielles et souterraines » des « particules de microplastiques » à des concentrations « rendant toute vie aquatique impossible et ayant des effets nuisibles sur la santé, la flore et la faune ». Les révélations de Mediapart, qui a contribué avec Le Monde et Radio France aux révélations sur les traitements illégaux utilisés par le passé par Nestlé Waters sur ses eaux, indiquent que les décharges de plastique « sont [à] l'origine » de taux élevés de microplastiques retrouvés à la sortie des forages des eaux ensuite embouteillées sous les marques Contrex et Hépar. « Aucune dépollution n'est envisageable » Le média s'appuie notamment sur une enquête de l'Office français de la biodiversité (OFB) et de l'Office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique (Oclaesp). « Une analyse chiffrée illustre que les proportions sont incommensurables s'agissant de l'introduction de microplastiques dans les sols vosgiens par Nestlé aux lieux des décharges, sur les terres et les eaux situées en aval », indique le magistrat chargé de l'enquête, selon Mediapart, alertant sur « leurs effets nuisibles sur la santé humaine ». Les taux de microplastiques sont de 515 particules de microplastique par litre (mp/L) pour Contrex, et 2 096 pour Hépar, soit des concentrations 51 000 à 1,3 million de fois supérieures à celles retrouvées dans des lacs, fleuves et rivières par deux études sur lesquelles s'appuient les enquêteurs. Et de 5 à 2 952 fois supérieurs aux taux moyens dans les nappes phréatiques du monde, selon d'autres études. Ces taux sont également supérieurs à ceux retrouvés dans d'autres eaux en bouteille par des chercheurs. « La dégradation est substantielle en ce qu'ils sont fragmentés en micro voire nanoplastiques, imprégnés et diffusés dans les sols et les réseaux d'eaux souterraines, de sorte qu'aucune dépollution n'est envisageable », ajoutent les enquêteurs. Contacté par Mediapart, Nestlé Waters affirme « qu'aucune pollution n'est avérée aux termes des analyses environnementales partagées avec les autorités. Toutes nos eaux peuvent être bues en toute sécurité ». Le média indique avoir consulté une note confidentielle dans laquelle Nestlé affirme en 2022 que les décharges pourraient avoir « un impact sur la qualité des eaux ». Selon l'entreprise, les décharges incriminées datent des années 1960, avant qu'elle ne soit propriétaire des terrains pollués. Les taux de microplastiques dans les eaux minérales naturelles ne sont pas réglementés. Omniprésentes dans l'environnement, ces substances sont au cœur des négociations en cours à Genève pour élaborer un traité contre la pollution plastique.


Le HuffPost France
an hour ago
- Le HuffPost France
Contrex et Hépar épinglés par Mediapart pour leurs taux « incommensurables » et « nuisibles » de microplastiques
SANTE - Nestlé toujours plus dans la tourmente. Des taux de pollution de microplastiques « incommensurables » ont été retrouvés dans les eaux Contrex et Hépar, selon le magistrat chargé de l'enquête préliminaire dans le cadre des poursuites contre Nestlé Waters concernant des décharges sauvages de déchets polluants dans les Vosges, révèle ce samedi 9 août Mediapart. Nestlé Waters est poursuivi pour avoir stocké des déchets et maintenu quatre décharges sauvages à Contrexéville, They-sous-Montfort, Saint-Ouen-Les-Parey et Crainvilliers, représentant un volume cumulé de 473 700 mètres cubes, l'équivalent de 126 piscines olympiques. Le procès, décidé après une enquête du pôle régional environnement du parquet de Nancy, se tiendra du 24 au 28 novembre. Nestlé est notamment poursuivi pour avoir, autour de ces décharges, « laissé s'écouler dans les eaux superficielles et souterraines » des « particules de microplastiques » à des concentrations « rendant toute vie aquatique impossible et ayant des effets nuisibles sur la santé, la flore et la faune ». Des « effets nuisibles sur la santé humaine » Les révélations de Mediapart, qui a contribué avec Le Monde et Radio France aux révélations sur les traitements illégaux utilisés par le passé par Nestlé Waters sur ses eaux, indiquent que les décharges de plastique « sont (à) l'origine » de taux élevés de microplastiques retrouvés à la sortie des forages des eaux ensuite embouteillées sous les marques Contrex et Hépar. Le média s'appuie notamment sur une enquête de l'Office français de la biodiversité (OFB) et de l'Office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique (Oclaesp). « Une analyse chiffrée illustre que les proportions sont incommensurables s'agissant de l'introduction de microplastiques dans les sols vosgiens par Nestlé aux lieux des décharges, sur les terres et les eaux situées en aval », indique le magistrat chargé de l'enquête, selon Mediapart, alertant sur « leurs effets nuisibles sur la santé humaine ». Les taux de microplastiques sont de 515 particules de microplastique par litre (mp/L) pour Contrex, et 2 096 pour Hépar, soit des concentrations 51 000 à 1,3 million de fois supérieures à celles retrouvées dans des lacs, fleuves et rivières par deux études sur lesquelles s'appuient les enquêteurs. Et de 5 à 2 952 fois supérieurs aux taux moyens dans les nappes phréatiques du monde, selon d'autres études. Ces taux sont également supérieurs à ceux retrouvés dans d'autres eaux en bouteille par des chercheurs. « La dégradation est substantielle en ce qu'ils sont fragmentés en micro voire nanoplastiques, imprégnés et diffusés dans les sols et les réseaux d'eaux souterraines, de sorte qu'aucune dépollution n'est envisageable », ajoutent les enquêteurs. Nestlé Waters dément Contacté par Mediapart, Nestlé Waters affirme « qu'aucune pollution n'est avérée aux termes des analyses environnementales partagées avec les autorités. Toutes nos eaux peuvent être bues en toute sécurité ». Le média indique avoir consulté une note confidentielle dans laquelle Nestlé affirme en 2022 que les décharges pourraient avoir « un impact sur la qualité des eaux ». Selon l'entreprise, les décharges incriminées datent des années 1960, avant qu'elle ne soit propriétaire des terrains pollués. Les taux de microplastiques dans les eaux minérales naturelles ne sont pas réglementés. Omniprésentes dans l'environnement, ces substances sont au cœur des négociations en cours à Genève pour élaborer un traité contre la pollution plastique.

Caradisiac
an hour ago
- Caradisiac
Faut-il se laisser tenter par un Peugeot 2008 II d'occasion ?
Pour cette seconde génération de 2008 apparue en octobre 2019, il n'est plus question de compromis entre la citadine et le break surélevé. Il devient alors un véritable SUV, le montre fièrement, et prend aussi de la carrure avec une longueur de 4,30 m (14 cm supplémentaires). Des mensurations qui lui permettent d'offrir un bel espace à bord et un coffre suffisamment grand. En plus d'un style fort, il reprend la planche de bord de la 208 alliant une présentation plutôt soignée et un design moderne. Petit volant, instrumentation numérique 3D et écran de dix pouces sont les éléments caractéristiques de cet intérieur. À noter que sa gamme se compose de quatre finitions : Active, Allure, GT Line et GT. Sous le capot, il s'offre les services du BlueHDi de 100 et 130 ch ainsi que le PureTech en trois puissances, 100, 130 et 155 ch. Boîte mécanique à six rapports ou automatiques à huit rapports complètent l'ensemble. Dans le même temps, Peugeot lance la déclinaison électrique e-2008 avec un moteur de 136 ch et une batterie de 50 kWh de capacité lui assurant une autonomie homologuée de 310 km. En juin 2023, la firme sochalienne lance la version restylée de son SUV. Il ne marque pas de rupture puisque les évolutions sont concentrées sur l'avant. Il arbore le nouveau logo, les trois « crocs » à LED sous les optiques et une calandre à l'intégration différente. À l'arrière, le graphisme des feux évolue comme le lettrage Peugeot et le logo disparaît. Les différences sont encore plus timides dans l'habitacle, l'écran tactile de dix pouces se généralise et le combiné profite d'un nouveau graphisme. En revanche, la version électrique profite d'un moteur plus puissant (156 ch) et d'une plus grande batterie (54 kWh) portant son rayon d'action à 406 km. Il faut attendre fin 2024 pour voir apparaître l'hybridation. Il s'agit d'une électrification via une architecture 48V cumulant 136 ch. Le moteur thermique PureTech profite de nombreuses améliorations, dont l'abandon de la courroie au profit d'une chaîne de distribution. Malgré ses cinq ans au compteur, le 2008 demeure une valeur sûre puisqu'il s'est classé à la quatrième place des meilleures ventes en France sur les six premiers mois de l'année.