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Palmeiras - Chelsea : à quelle heure et sur quelle chaîne TV voir le quart de la Coupe du monde des clubs ?

Palmeiras - Chelsea : à quelle heure et sur quelle chaîne TV voir le quart de la Coupe du monde des clubs ?

Le Parisiena day ago
Petit à petit, les tours avançant, la
Coupe du monde des clubs
se transforme en affrontement entre les clubs européens. Palmeiras a ainsi hérité d'une lourde tâche : celle d'entretenir la flamme pour le reste du monde. Arrivé jusqu'en quart de finale au forceps, après avoir battu Botafogo au tour précédent (1-0), le vice-champion du Brésil affronte dans la nuit de vendredi à samedi Chelsea, à Philadelphie.
De par leur pedigree, les Londoniens partiront évidemment favoris, même s'ils n'ont pas franchement convaincu depuis le début de la compétition, s'inclinant contre Flamengo en poule (3-1), puis passant par une prolongation pour éliminer Benfica en huitièmes (4-1). Pour le staff des Blues, le match sera l'occasion d'observer de près l'ailier gaucher
Estevao
, 18 ans seulement, attendu au club dès la fin du tournoi.
Le quart de finale de la Coupe du monde des clubs entre Palmeiras et Chelsea est à suivre dans la nuit du vendredi 4 juillet au samedi 5 juillet à 3 heures (heure française) sur DAZN.
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Plongée dans le coup de pédale, ce geste que les coureurs vont faire 400 000 fois pendant le Tour de France
Plongée dans le coup de pédale, ce geste que les coureurs vont faire 400 000 fois pendant le Tour de France

L'Équipe

time44 minutes ago

  • L'Équipe

Plongée dans le coup de pédale, ce geste que les coureurs vont faire 400 000 fois pendant le Tour de France

Ces trois prochaines semaines, les coureurs vont donner environ 400 000 coups de pédale. Plongée dans un geste banal et simple techniquement, mais aussi celui, tous sports confondus, qui évoque le plus de notions scientifiques. À force, on n'y prête même plus attention. Un coureur pédale, et c'est comme voir une friterie dans Lille ou une casquette jaune au bord des routes du Tour. Tout le cyclisme est là, pourtant, dans ce geste rond, mécanique mais parfois poétique, puissant même quand le coureur a des jambes de criquet, et répétitif. Immensément répétitif : ces trois prochaines semaines, à raison de 90 rotations par minute environ, les participants du Tour pédaleront autour de 400 000 fois, sans compter les échauffements et les sorties lors des jours de repos. Dans aucun autre sport on n'effectue le geste technique principal à une telle fréquence et dans un tel volume. Pour les coureurs, pédaler revient à respirer, ça se fait sans y penser. Il faut dire que ça n'a rien de très sorcier, comparé à une bicyclette en foot ou un swing de golf. Mais sa simplicité technique n'empêche pas qu'on consacre au coup de pédale des études poussées, qu'on cherche à l'améliorer en modifiant la forme d'un élément matériel ou la longueur d'un autre, qu'on place des capteurs pour mesurer des notions comme les watts, les RPM (rotation par minute), l'impact sur les BPM (battements cardiaques par minute)... Voici un éclairage en quatre points sur le geste que vous allez le plus souvent voir pendant le Tour de France. Les pros pédalent-ils différemment du commun des mortels ? « Bien baisser le talon, pousser et tirer. » Comme Matteo Vercher de TotalEnergies, les coureurs pros ont appris leur leçon à l'école de cyclisme et la recrachent instinctivement. « Baisser le talon », donc, dans la phase de descente du pied pour pousser sur la cale via les fessiers, les quadriceps et les mollets. Puis le relever dans la remontée pour tirer la pédale vers le haut avec les muscles autour du tibia, les ischio-jambiers et le psoas. La technique permet aux pros de « pédaler rond », comme dit Jean-Baptiste Quiclet, directeur de la performance chez Décathlon-AG2R La Mondiale. « Ils arrivent à mettre de la force dans les phases les plus faibles du pédalage. Il n'y a pas de point d'arrêt dans leur geste, contrairement aux cyclistes lambdas, chez qui c'est plus saccadé parce qu'ils travaillent davantage en piston, sans accompagner vers l'avant ni vers l'arrière. » Une fois acquise, la technique de pédalage n'est plus un axe de travail pour les coureurs de haut niveau. « En regardant des images d'un même coureur à dix ans d'intervalle, on peut voir la même chose au niveau technique, poursuit Quiclet. Il y a davantage de progression sur les gestes périphériques, comme la capacité à rester bien fixé sur la selle, à moins utiliser la danseuse. C'est dû à tout le travail pour renforcer les différentes chaînes musculaires. » Faut-il mouliner pour gagner ? On le constate depuis Chris Froome, la mode est au « tricot » dans le peloton. Grâce à l'augmentation du nombre de vitesses sur le vélo et au développement des capacités cardio-vasculaires via un entraînement plus scientifique, les jambes des pros tournent plus vite qu'au 20e siècle, à une cadence d'environ 90 rotations par minute (RPM). Cela donne des coureurs qui semblent parfois tourner les jambes dans le vide, mais c'est très efficace. « Plus on augmente la fréquence de pédalage, plus c'est coûteux en énergie, explique Jean-Baptiste Quiclet. En revanche, ça diminue la fatigue musculaire. » Car les fessiers, les cuisses et les mollets ont moins de force à produire pour tirer le braquet. Mais tous les coureurs ne tournent pas les jambes à la même vitesse, et « la cadence optimale reste une signature propre à chacun » pour Quiclet. On le voit avec le Slovène Matej Mohoric, qui a gagné trois étapes du Tour et un Milan - San Remo en écrasant de gros braquets, ou le coureur de TotalEnergies Emilien Jeannière, souvent bien placé depuis un an. « Je suis souvent vers les 80-82 de cadence, c'est assez bas, dit ce dernier. On veut le travailler avec mon entraîneur pour amener un peu plus de souplesse, même si je pense qu'il ne faut pas complètement changer son coup de pédale. » Pour augmenter encore leur cadence, de plus en plus de coureurs diminuent la taille de leurs manivelles (la tige qui relie le plateau à la cale), ce qui fait parcourir moins de chemin aux pieds pendant la rotation. Alors que les standards étaient de 170 ou 175 mm, Tadej Pogacar est passé à 165. Et Jonas Vingegaard a testé un inédit 150 mm cette saison. « Mais attention aux phénomènes de mode », prévient Quiclet, qui se souvient que le plateau ovale utilisé par Chris Froome, censé améliorer le pédalage de 6 %, a disparu des pelotons après y avoir pullulé. Que disent les watts d'un coup de pédale ? En mai, au milieu de ses photos souvenirs du Giro, Wout van Aert a posté une capture d'écran de son compte Strava. L'application, grande amie des cyclistes pros comme amateurs, avait enregistré sa meilleure performance de tous les temps. Pas une victoire, ni un pic de vitesse, ni sa pente la plus sèche avalée. Non, un record de 518 watts développés sur une période de 10'. Si le Belge a exposé ce chiffre comme un trophée, c'est parce que les watts, calculés à partir de la force et de la cadence, sont devenus la valeur étalon du coup de pédale d'un coureur. Celle qui fixe son pic de puissance (jusqu'à 1700 watts pendant une seconde pour les sprinteurs, selon Quiclet) ou sa capacité à le maintenir à un haut-niveau d'intensité (entre 480 et 550 watts pendant cinq minutes). « C'est l'expression la plus factuelle de la dépense énergétique et la performance athlétique d'un coureur, car elle n'est pas impactée par l'environnement, la météo, la vitesse du vent, comme peuvent l'être les km/h », détaille Jean-Baptiste Quiclet. Le plus souvent, les watts sont gardés secrets par les coureurs. Sauf quand ils battent un record, donc. Peut-on pédaler aussi efficacement assis qu'en danseuse ? Les images de Tadej Pogacar semant ses concurrents sans lever les fesses de sa selle ont interloqué : le champion du monde est-il devenu plus efficace assis qu'en danseuse ? Les chiffres disent qu'en se mettant debout sur les pédales pour y appliquer tout le poids du corps, un coureur produit environ 40 watts de plus qu'en étant assis. « C'est un formidable outil pour attaquer, mais comme ce mouvement mobilise plus de groupes musculaires, sa consommation énergétique est plus importante, éclaire Jean-Baptiste Quiclet. Il faut donc l'utiliser à bon escient. » Au-delà d'une quinzaine de secondes, c'est la baisse de régime assurée, d'autant que le fait d'être debout diminue l'aérodynamisme. Mais comment attaquer en restant assis ? Tout est question de force musculaire, et de capacité à l'appliquer sans dégrader le coup de pédale. « Normalement, quand vous appliquez une grande force sur vos pédales en étant assis, vous perdez de la stabilité, a expliqué Jeroen Swart, directeur de la performance de l'équipe UAE Emirates, dans un entretien avec le site Global Cycling Network. Mais si vous êtes capables de maintenir la stabilité en utilisant mieux les petits groupes musculaires, en fixant votre bassin, vous pouvez être fort en restant sur la selle. » Dans le vélo, on appelle cela avoir de la force dans les reins, qui ne sont pourtant pas un muscle. L'expression sert surtout à évoquer un gainage global du corps, élément sur lequel « Pogi » a bossé, selon Jeroen Swart : « Pour Tadej, ces attaques assises ne sont pas intentionnelles, c'est juste le fruit du travail de renforcement sur et en dehors du vélo qu'il a mené. » En restant assis, Pogacar produit sans doute un pic de watts moins élevé qu'en se dressant sur les pédales. Mais comme son mouvement est plus économique que la danseuse, il peut tenir plus longtemps à haute intensité. Selon Jeroen Swart, « il conserve ainsi une réserve physiologique qu'il pourra utiliser en se mettant debout ensuite. » Comme il l'a fait en avril dans le mur de Huy, quand Ben Healy a réagi (en danseuse) à son attaque assise au plus fort de la pente. La danseuse a encore de beaux jours devant elle. À lire aussi Forestier : «Si Pogacar attaque, c'est mort pour le château» Les sprinteurs, une caste changeante La superstar Pogacar fascine toutes les générations «Les moyens sont là pour lutter contre le dopage»

Mort de Diogo Jota : Wimbledon déroge à sa tradition vestimentaire et autorise un ruban noir
Mort de Diogo Jota : Wimbledon déroge à sa tradition vestimentaire et autorise un ruban noir

Le Parisien

timean hour ago

  • Le Parisien

Mort de Diogo Jota : Wimbledon déroge à sa tradition vestimentaire et autorise un ruban noir

Le décès de l'attaquant de Liverpool Diogo Jota, 28 ans, et de son frère André Silva jeudi dans un accident de voiture jeudi en Espagne, a provoqué un vif émoi qui a largement dépassé le cadre de la planète football. Les organisateurs de Wimbledon ont ainsi décidé de rompre avec une tradition ancestrale vieille de 148 ans, propre à ce tournoi de tennis : son code vestimentaire strict qui oblige les participants à s'habiller tout en blanc. En hommage aux deux disparus, ils ont autorisé les joueurs et les joueuses à porter un ruban noir sur leur maillot ou casquette. C'est la première fois de l'histoire que Wimbledon le permet pour la mort d'une personnalité. En 2024, Elina Svitolina avait été autorisée à porter un tel signe après le bombardement d'un hôpital pour enfants de Kiev (Ukraine) par l'armée russe. Le joueur portugais Francisco Cabral, engagé en double avec l'Autrichien Lucas Miedler, a porté ce ruban noir lors de son match, ce vendredi après-midi. « C'est une nouvelle très, très triste, soupire-t-il. Bien que je ne l'aie jamais rencontré, un ami commun m'a dit qu'il était une personne fantastique. C'était un grand monsieur, pas seulement au Portugal, mais dans le monde entier. Un homme formidable avec une belle famille et trois enfants. J'adresse toutes mes pensées à sa famille. Je sais qu'ils sont bien entourés et j'espère qu'ils trouveront la force de surmonter cette épreuve. »

Ruben Neves présent pour porter le cercueil de Diogo Jota quelques heures après avoir joué en Coupe du monde des clubs
Ruben Neves présent pour porter le cercueil de Diogo Jota quelques heures après avoir joué en Coupe du monde des clubs

L'Équipe

timean hour ago

  • L'Équipe

Ruben Neves présent pour porter le cercueil de Diogo Jota quelques heures après avoir joué en Coupe du monde des clubs

Alors qu'il était titulaire avec Al-Hilal en quarts de finale de Coupe du monde des clubs vendredi soir, Ruben Neves a rejoint la banlieue de Porto pendant la nuit pour assister aux obsèques de son ami Diogo Jota, mort dans un accident de la circulation jeudi. Ruben Neves tenait à être présent pour saluer la mémoire de son ami. Ce samedi matin, le footballeur portugais était dans la banlieue de Porto pour porter le cercueil de Diogo Jota, mort dans un accident de la route jeudi. Quelques heures plus tôt, le milieu de 28 ans était titulaire pour Al-Hilal en quarts de finale de la Coupe du monde des clubs contre Fluminense (1-2). Comme Joao Cancelo, Neves était apparu particulièrement ému lors de la minute de silence observée en hommage à Jota avant la rencontre. Il est celui qui a le plus joué avec l'ancien attaquant de Liverpool. Entre Porto, Wolverhampton et les sélections portugaises, les deux amis avaient disputé 164 matches ensemble. L'ancien milieu des Wolves avait adressé un long message en l'honneur du défunt sur Instagram. « "Bicho", où que tu sois, je sais que tu vas lire ceci, nous n'avons jamais été du genre à faire ce genre de chose et peut-être que maintenant je le regrette un peu, mais tu sais ce que tu représentes pour moi autant que je sais ce que je représente pour toi, a-t-il écrit. Plus qu'une amitié, nous sommes une famille et nous n'allons pas cesser de l'être parce que tu as décidé de signer un contrat un peu plus loin de nous ! Quand je partirai en équipe nationale, tu seras toujours à mes côtés à table, dans le bus, dans l'avion... tu seras toujours là avec moi, comme d'habitude. Nous continuerons à rire, à faire des projets, à partager nos vies. » Une publication partagée par Ruben Neves (@rubendsneves) Neves a conclu ce message par « Je t'aime ». Lors des funérailles de Jota et de son frère, André Silva, Neves a croisé de nombreuses personnalités du monde du football, comme d'autres internationaux portugais, dont Bruno Fernandes, ou des joueurs de Liverpool, comme Virgil van Dijk.

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