
À la recherche de la fratrie disparue : la quête effrénée de Sula, fille d'un rescapé de la Shoah
Sula Miller
, assise devant son ordinateur, lunettes de vue posées sur le bout de son nez.
De cette quête tentaculaire, l'Américaine de 65 ans, installée en Arizona, a retracé son histoire : le parcours de son père, juif d'origine hongroise,
rescapé des camps de la Shoah
. Surtout, elle a rencontré sa demi-sœur, Helen, Allemande née après la Seconde Guerre mondiale, dont elle ne connaissait même pas l'existence il y a encore quatre ans.

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Figaro
11 hours ago
- Le Figaro
André Kaspi : «L'étonnant succès de Zohran Mamdani, candidat démocrate à la mairie, chez les Juifs de New York»
Réservé aux abonnés TRIBUNE - Vainqueur de la primaire démocrate pour la mairie de New York, le candidat qui dénonce le génocide à Gaza bénéficie de fortes sympathies dans la communauté juive new-yorkaise, notamment au sein de la jeunesse, explique l'historien*. *André Kaspi est historien, spécialiste reconnu des États-Unis, auxquels il a consacré de nombreux ouvrages de référence. Il a récemment publié « Le Watergate. La démocratie américaine à l'épreuve » (Archipoche, 2024). À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Club Le Figaro Idées avec Eugénie Bastié Les New-Yorkais éliront leur maire en novembre. À l'intérieur de chaque parti, ils viennent de désigner leur candidat. Les primaires démocrates ont donné la victoire à un socialiste, encore inconnu il y a quelques semaines. Une surprise qui a provoqué bien des commentaires. Zohran Mamdani, un élu local de 33 ans, né en Ouganda, naturalisé américain en 2018, défend les positions de l'extrême gauche. Il bénéficie du soutien de Bernie Sanders, le sénateur juif du Vermont, et d'Alexandria Ocasio-Cortez, qui, parmi les élus démocrates à la Chambre des représentants, siège à l'extrême gauche. Mamdani a mené une campagne innovante et dynamique. Outre son approbation proclamée du wokisme, il propose la gratuité des transports urbains (soit une dépense de 630 millions de dollars…


Le Parisien
12 hours ago
- Le Parisien
États-Unis : cinq soldats blessés lors d'une fusillade dans une base militaire en Géorgie, le tireur a été appréhendé
Un tireur a blessé cinq soldats, ce mercredi, dans le camp militaire de Fort Stewart, en Géorgie, selon la page Facebook du camp. « Cinq soldats ont été blessés par balle aujourd'hui lors d'une fusillade » a-t-elle annoncé. « Tous les soldats ont été soignés sur place et transférés à l'hôpital militaire Winn Army Community Hospital ». Le tireur a été appréhendé, à 11h35 heure locale, soit 17h35 heure française, et il n'y a plus de menace active pour la communauté, a déclaré Fort Stewart. 10 000 personnes dans le camp Le président Donald Trump a été informé de la fusillade à Fort Stewart, et la Maison Blanche suit la situation de près, a déclaré la porte-parole Karoline Leavitt. Selon son site, Fort Stewart accueille environ 21 000 soldats, et quelque 10 000 personnes y résiden. Le gouverneur de Géorgie, Brian Kemp, affirmait, sur X, être en « contact étroit » avec les forces de l'ordre et s'était dit « attristé par la tragédie qui se produit aujourd'hui à Fort Stewart ». Le FBI a déclaré, que ses agents sont « au courant de l'incident survenu à Fort Stewart » et « coordonnent leurs efforts avec les services d'enquête criminelle de l'armée ».


Le Figaro
15 hours ago
- Le Figaro
Plus de 360 postes supprimés à l'université Stanford après les coupes de Donald Trump
Stanford est la dernière grande université américaine à procéder à des licenciements du fait des décisions de la Maison Blanche, après Harvard, Columbia ou encore Johns Hopkins. La prestigieuse université américaine Stanford a annoncé qu'elle supprimait plus de 360 postes en raison des coupes budgétaires drastiques décidées par le gouvernement Trump, qui s'est lancé dans une offensive contre les institutions universitaires qu'il juge trop progressistes. La direction de l'université a fait part aux autorités californiennes fin juillet de son projet de suppression de 363 postes, selon des documents officiels consultés par l'AFP. Il s'agit de la dernière grande université américaine en date à procéder à des licenciements du fait des décisions de la Maison Blanche, après Harvard, Columbia ou encore Johns Hopkins. Ces «mesures difficiles» ont été motivées par un «contexte budgétaire difficile largement influencé par les changements de politique fédérale affectant l'enseignement supérieur», ont expliqué le président et la doyenne de Stanford dans une note au personnel et aux étudiants publiée sur le site de l'université. Face aux coupes drastiques annoncées par le gouvernement de Donald Trump, l'université californienne doit procéder à une «réduction de 140 millions de dollars de son budget général pour l'année à venir», a encore indiqué la direction. L'université Stanford employait cette année plus de 18.000 personnes, selon son site. Publicité Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald Trump a multiplié les annonces chocs visant la communauté universitaire: coupes budgétaires brutales dans les financements de la recherche, censure de certains sujets... Face à cette situation, un nombre grandissant d'étudiants, chercheurs et professeurs envisage de quitter les Etats-Unis. Une fuite des cerveaux dont d'autres pays, comme la France, espèrent bénéficier en ouvrant les portes de leurs universités.