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Mercato : pour remplacer Zabarnyi, Bournemouth va s'offrir le Lillois Bafodé Diakité

Mercato : pour remplacer Zabarnyi, Bournemouth va s'offrir le Lillois Bafodé Diakité

Le Parisien2 days ago
L'opération s'est conclue dans la foulée du transfert d'Illya Zabarnyi au Paris Saint-Germain. Comme annoncé par L'Équipe, nous pouvons confirmer que Bournemouth s'apprête à engager Bafodé Diakité pour remplacer l'international ukrainien. Le club de Premier League est tombé d'accord, ce samedi, avec Lille pour la mutation du défenseur de 24 ans qui avait déjà donné son feu vert aux Cherries pour un contrat de cinq ans.
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« Chacun fait ce qu'il veut dans ce club » : Laurent Labit explique les raisons de son départ du Stade Français
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L'Équipe

time42 minutes ago

  • L'Équipe

« Chacun fait ce qu'il veut dans ce club » : Laurent Labit explique les raisons de son départ du Stade Français

Directeur du rugby du Stade Français jusqu'en mars 2025, Laurent Labit était parti suite aux mauvais résultats qui menaçaient le club de relégation. Dans un entretien accordé au Midi Olympique, il affirme cependant que les problèmes du club sont plus profonds. Pour la première fois depuis son départ du Stade Français, Laurent Labit a pris la parole publiquement, dans un entretien accordé au Midi Olympique, afin « d'apporter certaines précisions et de rétablir quelques vérités pour laver [son] intégrité ». Il affirme d'abord que son départ, après la défaite à Toulon (24-6, le 22 février), était de son initiative. Outre des couacs de communication dans la presse, Laurent Labit fustige « un président actionnaire absent 90 % du temps ». « Il n'y a pas de patron au quotidien, déplore-t-il. Et, nombreux sont ceux qui profitent de cette situation. Rares sont ceux qui sont là pour les bonnes raisons, c'est-à-dire dans l'intérêt du club. Pour gagner. » Les Bleues surclassées par l'Angleterre à deux semaines du Mondial Au-delà de l'absence de patron et du manque de communication entre les différents responsables, Laurent Labit décrit un manque de synergie entre le groupe professionnel, le centre de formation et l'association. « Chacun fait ce qu'il veut dans ce club », résume l'ancien entraîneur des lignes arrières de l'équipe de France. Sur le recrutement aussi, il estime que le club avait du retard sur ses rivaux : « Lorsque je suis arrivé, il n'y avait personne pour travailler sur la détection ou la relation avec les clubs partenaires. (...) Le comble, c'est que de jeunes joueurs évoluant dans nos clubs partenaires signaient dans d'autres clubs de Top 14 parce que personne ne les connaissait. » « On survolait les sujets, il n'y avait rien de construit. » Laurent Labit dans un entretien accordé au Midi Olympique Au moment d'aborder le bilan, il reconnaît qu'il est arrivé « trop confiant » mais affirme que « les conditions pour réussir n'étaient pas réunies ». Il admet aussi que l'organisation qu'il avait mise en place, avec un directeur du rugby (lui-même) et un entraîneur principal (Karim Ghezal puis Paul Gustard depuis octobre 2024), « n'était pas la bonne organisation pour mener à bien le projet », mais se défend des supposées critiques de sa direction sur la gestion de la masse salariale, n'ayant « aucun souvenir d'une discussion sur ce sujet ». « De toute façon, il n'y a jamais eu de réelles réunions de travail entre le président, le directeur général et le directeur sportif, raconte-t-il. Quand il y en avait une, c'était toujours à la va-vite quand le président était de passage. On survolait les sujets, il n'y avait rien de construit. »Devenu consultant pour Canal + depuis, Laurent Labit ne se voit pas rejoindre un autre club dans l'immédiat, mais se félicite de certaines réussites avec le Stade Français, dont l'installation au Camp des loges et « un travail de fond » sur la formation, avec le retour de l'équipe espoirs au niveau élite.

Luis Muriel et Orlando giflent l'Inter Miami, Choupo-Moting inscrit un doublé pour New York : le résumé de la nuit en MLS
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L'Équipe

time42 minutes ago

  • L'Équipe

Luis Muriel et Orlando giflent l'Inter Miami, Choupo-Moting inscrit un doublé pour New York : le résumé de la nuit en MLS

Après la phase de groupes de Leagues Cup, l'Inter Miami a retrouvé les terrains de MLS mais s'est lourdement incliné face à Orlando (1-4), dans la nuit de dimanche à lundi. Eric Maxim Choupo-Moting a inscrit un doublé et offert la victoire au New York Red Bulls. Difficile retour en Championnat pour l'Inter Miami. Après s'être qualifiés pour les quarts de finale de la Leagues Cup, Luis Suarez et ses coéquipiers - toujours privés de Lionel Messi, blessé - se sont lourdement inclinés pour la reprise de la MLS dans la nuit de dimanche à lundi. Les Floridiens ont sombré face à Orlando (1-4), emmené par un doublé de Luis Muriel (2e, 50e) et un but de Marco Pasalic (88e). L'ancien avant-centre de l'Atalanta et l'ailier droit international croate ont ainsi répondu à l'égalisation de Yannick Bright (5e), d'une reprise de volée à l'entrée de la surface. Grâce à cette victoire, Orlando reprend la 4e place de la conférence Est à l'Inter Miami, qui chute au 6e rang, à neuf points du leader Philadelphie (mais avec trois matches de retard). Les anciens d'Europe en feu Les deux joueurs d'Orlando n'ont pas été les seuls ex-Européens à s'illustrer. Wilfried Zaha, qui a vu son ancien club de Crystal Palace disposer de Liverpool dimanche lors du Community Shield (2-2, 3-2 aux t.a.b.), a donné la victoire en fin de match (88e) à sa franchise de Charlotte face à Cincinnati (1-0), et ainsi permis aux siens de remonter à la 7e place de la conférence Est. De son côté, Eric Maxim Choupo-Moting a inscrit un doublé pour les New York Red Bulls. Il a d'abord été à la finition (52e) d'une bonne action collective, bien servi par Emil Forsberg dans la surface, avant d'obtenir un penalty et de le transformer (90e + 8) dans les ultimes secondes. Le Los Angeles Galaxy de Marco Reus a, en revanche, lourdement chuté à domicile contre les Seattle Sounders (0-4).

Le carnet de notes de la mi-saison : Piastri et Norris dominent, Hadjar surprend, Hamilton a le blues tandis que Gasly garde la face
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timean hour ago

  • L'Équipe

Le carnet de notes de la mi-saison : Piastri et Norris dominent, Hadjar surprend, Hamilton a le blues tandis que Gasly garde la face

Qui a brillé durant les 14 premiers Grands Prix l'année ? Qui s'est loupé ? Retrouvez le carnet de notes de cette première partie de saison, marquée par le duel interne chez McLaren, les difficultés d'Hamilton chez Ferrari, la surprise Sauber, les révélations Hadjar et Antonelli, ou les déboires d'Alpine. Piastri et Norris : 9/10 On le sentait venir avec leurs performances de l'an dernier, on n'est donc pas étonnés de voir Oscar Piastri et Lando Norris à ce niveau cette saison. Les résultats de l'Australien, moins expérimenté, moins aguerri, sont peut-être un peu plus surprenants, mais on a choisi de donner la même note aux deux pilotes McLaren. Car après 14 courses, ils ne sont séparés que par 9 points, et ont donc quasiment fait jeu égal. Cela donne 284 points, 6 victoires et 4 poles pour Piastri ; 275 points, 5 succès et 4 poles pour Norris. C'est presque bonnet blanc et blanc bonnet pour les deux rivaux, largement dominateurs cette saison, portés par la meilleure monoplace du plateau, et qui ont pour le moment le droit de se battre en piste. Cela a occasionné un seul accrochage, au Canada. Jusqu'ici, tout se passe plutôt bien dans la maison papaye, et on sait gré à ces deux futurs champions de nous animer la saison. Alors, faites vos jeux, pour le titre : Piastri ou Norris ? Sauber : 8/10 On était tellement habitués, ces dernières années, à voir Sauber au fond du classement qu'on ne peut être que surpris des performances de l'écurie suisse, 7e avec déjà 51 points après les 14 premières courses (elle n'en comptait que 6 après 8 Grands Prix). Cela sonne comme un renouveau pour Sauber, et comme une mise en bouche agréable pour Audi, qui prendra le contrôle total la saison prochaine. Le principal fait d'armes de l'équipe, c'est bien sûr la 3e place de Nico Hülkenberg à Silverstone, le premier podium de l'Allemand dans sa carrière en F1, après 239 départs. L'intégration et l'adaptation de Gabriel Bortoleto sont également à souligner. Le rookie brésilien a mis un peu de temps à se mettre dans le rythme, mais il vient d'obtenir trois top 10 en quatre courses, dont une 6e place en Hongrie. Isack Hadjar : 7/10 Si les débuts en F1 d'Isack Hadjar ont été pour le moins catastrophiques, avec son accident lors du tour de formation en Australie sous la pluie, le pilote Racing Bulls a rapidement fait oublier cette mésaventure pour s'imposer comme le plus impressionnant des rookies. Le Français s'est très vite adapté à la F1, à ses difficultés et ses contingences, tout en restant lui-même, assez frais et honnête dans ses interventions, après avoir réussi, ou manqué une course d'ailleurs. Il a fini 5 fois dans les points et a notamment connu un très bon passage, entre Imola et Barcelone, avec en exergue sa 6e place à Monaco. Il marque cependant le pas depuis quelques Grands Prix, alors que son coéquipier Liam Lawson se montre de plus en plus compétitif. Kimi Antonelli : 6/10 Placé dans un top team, à 18 ans, pour ses débuts en F1, Kimi Antonelli a dû effectuer un sacré plongeon dans le grand bain en prenant la relève de Lewis Hamilton chez Mercedes. Et l'Italien s'en sort globalement bien, même si son irrégularité ne lui permet pas (encore ?) de rivaliser avec son coéquipier George Russell. Mais sa 4e place en Australie, alors qu'il était 16e sur la grille, sa pole du sprint à Miami et bien sûr sa 3e place au Canada parlent en sa faveur. Il a aussi commis quelques erreurs en piste et a connu quelques week-ends difficiles, mais son patron, Toto Wolff, se veut tolérant à son égard : « Malheureusement, notre voiture manque de régularité, ce qui complique son adaptation. » Alex Albon : 6/10 Discrètement, Alex Albon est en train de réussir sa meilleure saison, et de loin, depuis son arrivée chez Williams en 2022. Le Thaïlandais compte déjà 54 points, soit plus que la somme de ses trois années précédentes avec l'écurie britannique. Albon profite évidemment d'une monoplace qui ne cesse de progresser, mais il fait aussi bien mieux que son nouveau coéquipier, Carlos Sainz, qui, comme son successeur chez Ferrari Hamilton, a du mal à s'adapter dans sa nouvelle équipe et sa nouvelle voiture. L'ancien pilote Red Bull surfe notamment sur un début de saison impressionnant, avec trois cinquièmes places (Melbourne, Miami et Imola), et il a manqué de peu le podium en Émilie-Romagne. À 29 ans, il semble arrivé à maturité, et pourrait attirer les regards d'écuries plus huppées. Lewis Hamilton : 4/10 Forcément, l'association entre le pilote et l'écurie, représentant le transfert du siècle en F1, faisait saliver et espérer des lendemains qui chantent. Mais, à part quelques exceptions, comme la victoire sur le sprint en Chine ou quelques 4es places (Imola, Spielberg et Silverstone), la première saison de Lewis Hamilton chez Ferrari n'est pour le moment pas un succès, sur le plan sportif. Charles Leclerc, qui pouvait craindre qu'on lui mette un septuple champion du monde dans les pattes, arrive jusqu'à présent à dominer le Britannique, qui a de plus en plus de mal à cacher son mal-être. « Il est frustré mais pas démotivé » : Vasseur au soutien d'Hamilton Son : « Je suis absolument inutile » après sa 12e place en qualifications en Hongrie a beaucoup fait parler. Hamilton commence à traîner sa peine dans le paddock, comme c'était par moments le cas l'an dernier avec Mercedes. Il n'arrive pas à entrer en osmose avec sa monoplace, et ne parvient donc pas à en tirer le meilleur. Mais d'où vient le problème, du pilote ou de la machine ? Red Bull : 3/10 La note est évidemment injuste pour Max Verstappen, qui fait ce qu'il peut au volant d'une monoplace rétive qui semble de plus en plus difficile à piloter à chaque course, et a tout de même réussi dans ce marasme a signé quelques coups d'éclat, notamment deux victoires, à Suzuka et Imola. Mais elle vient sanctionner une écurie dont l'histoire aura été quoi qu'il arrive marquée par cette saison 2025, avec l'éviction de son Team Principal de toujours, Christian Horner. Horner remercié par Red Bull La guerre des clans semble de plus en plus intense chez Red Bull et cela a des conséquences, avec la fuite des cerveaux, et des performances en berne. Sans parler du problème du deuxième pilote : le pauvre Liam Lawson a été dégagé après deux courses, son remplaçant Yuki Tsunoda est en train de couler (aucun top 10 sur les sept dernières courses). On espère juste pour Hadjar qu'il ne sera pas promu avant la fin de la saison dans cette équipe en complète perte de repères, et qui risque fort de finir 4e du Championnat, ce qui ne lui était plus arrivé depuis 2015. Alpine : 2/10 Saison après saison, Alpine semble creuser encore un peu plus profond. Et on voit mal comment l'écurie française pourrait éviter la dernière place du Championnat cette année, alors qu'elle avait fini 6e en 2024. Alors que ses rivales progressent, notamment Sauber et Racing Bulls, Alpine régresse. Dans les coulisses, c'est toujours aussi complexe, avec la prise en main de Flavio Briatore, l'arrivée d'un nouveau directeur, Steve Nielsen, et pas mal d'incertitudes sur l'avenir de l'écurie. Sur la piste, l'A525 est encore moins performante que sa devancière, Jack Doohan a été évincé après six courses et remplacé par Franco Colapinto, qui n'est pas plus rapide. Et Pierre Gasly fait, lui, tout ce qu'il peut pour que son écurie ne se noie pas totalement. Il a inscrit tous les points d'Alpine (20), garde la tête haute lors des interviews mais doit commencer à sérieusement trouver le temps long.

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