
Dans la tête de Céline, atteinte du syndrome de Peter Pan : « On me reproche souvent de me comporter comme un bébé »
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Figaro
22 minutes ago
- Le Figaro
Sting se confie au Figaro : « En France, je suis chevalier des Arts et des Lettres, la classe ! »
À LA UNE - Immense star internationale, l'ex-leader du groupe The Police voue une réelle admiration aux ambassadeurs de la culture française : Ravel, Debussy, Perec, Aznavour et… Johnny Hallyday. Le rendez-vous est fixé le 10 juin, dans la cour du Royal Monceau, où il séjourne à Paris. Trente minutes et pas une de plus. Largement suffisant pour Sting, si généreux et aguerri aux entretiens. Son spectacle musical, sa participation à la saga cinématographique Kaamelott, son souvenir de David Lynch avec qui il a tourné Dune, son rapport à la France et son inquiétude face au monde… Le chanteur de 73 ans, ex-leader du groupe The Police il y a près de cinq décennies, n'élude aucun sujet. Rencontre. LE FIGARO. - Du 18 février au 7 mars 2026, vous vous produisez à la Seine Musicale à Paris dans The Last Ship, un spectacle musical qui raconte votre vie. Vous n'êtes pas seulement l'auteur, vous jouez aussi sur scène. Une première ? STING. -Je n'ai jamais eu l'intention de jouer dans ce spectacle. À l'origine, je l'ai écrit pour d'autres acteurs dont un ami à moi. Par un concours de circonstances, j'ai fini sur la scène à Broadway après seulement une journée de répétitions. Et j'ai vraiment…


Le Figaro
22 minutes ago
- Le Figaro
Amanda Sthers : «La littérature a fait entrer la Finlande dans mon imaginaire, et je ne voulais pas la rencontrer pour continuer à l'idéaliser»
Au mois de juin, je me suis pourtant décidée à embarquer pour la côte baltique ; le cœur battant, comme si je partais rencontrer un amoureux avec lequel j'avais entretenu une correspondance secrète pendant des années… Amanda Sthers : «La littérature a fait entrer la Finlande dans mon imaginaire, et je ne voulais pas la rencontrer pour continuer à l'idéaliser» Amanda Sthers : «La littérature a fait entrer la Finlande dans mon imaginaire, et je ne voulais pas la rencontrer pour continuer à l'idéaliser» Cette semaine, Le Figaro a proposé à des écrivains de se confronter à une destination à l'opposé de leur géographie du voyage idéal. En effet, qui mieux qu'une plume littéraire saurait sublimer cette sortie radicale de zone de confort ? Center Parcs, Saint-Tropez, Dubaï... Ces destinations inédites où les écrivains n'ont pas envie de se rendre En savoir plus sur notre série me solaire dans une forêt polaire Il y a plus de vingt ans, Amanda Sthers publiait son troisième livre, Le Vieux Juif blonde, un texte de théâtre au succès international, aujourd'hui étudié à Harvard. Le 1er octobre, son prochain roman C. paraîtra chez Grasset. Entre les deux, une œuvre pléthorique, protéiforme. Dramaturge, romancière, biographe, réalisatrice, parolière… cette intellectuelle n'est pas du genre à se laisser enfermer dans une case. De Paris à Los Angeles, où elle s'est installée en 2016, elle trace sa route, libre et déterminée. Dans quelle aventure pouvions-nous l'embarquer pour la faire sortir de sa zone de confort ? «Las Vegas, si vous voulez me confronter à l'extrême de ce que je déteste ! Ou un pays nordique…J'ai une sorte de peur du froid et des lutins magiques !» répond-elle. Un circuit kayak et camping sauvage au Danemark ? « Camper ? Seule ? Impossible ! En plus d'avoir peur, je ne sais même pas monter un meuble Ikea ! Il va falloir un peu moins roots». Ce…


Le HuffPost France
an hour ago
- Le HuffPost France
En tournant dans « Titanic », Leonardo DiCaprio a aussi eu le « plus grand regret » de sa carrière
CINÉMA - S'il n'avait pas joué dans Titanic, Leonardo DiCaprio serait-il devenu la même superstar de Hollywood? L'acteur s'est confié au réalisateur Paul Thomas Anderson au cours d'une interview publiée le 13 août dans le magazine Esquire. Dès le début de la discussion, il a révélé quel a été le « plus grand regret » de toute sa carrière. L'entretien entre les deux stars démarre avec une question simple de la part du cinéaste : « Des regrets ? ». « Mon plus grand regret est de ne pas avoir fait Boogie Nights (film réalisé par Paul Thomas Anderson, NDLR). C'était un film important de ma génération », a expliqué Leonardo DiCaprio. Sauf qu'en 1997, le comédien s'était déjà engagé pour incarner un certain Jack dans un film qui deviendra l'un des plus gros succès du cinéma. « Je ne peux imaginer personne d'autre que Mark [Wahlberg] dans ce rôle. Quand j'ai enfin pu voir ce film, j'ai tout simplement pensé que c'était un chef-d'œuvre. C'est ironique que ce soit toi qui poses cette question, mais c'est la vérité », a-t-il ajouté. À l'origine, Leonardo DiCaprio était le premier choix de Paul Thomas Anderson. Quand il a décliné l'offre, la légende raconte qu'il a proposé au réalisateur de choisir Mark Wahlberg avec qui il avait joué dans Basketball Diaries deux ans plus tôt selon Variety. « Pourquoi est-ce que ça nous a pris autant de temps ? » Mais 28 ans plus tard, les deux hommes ont enfin pu travailler ensemble dans Une bataille après l'autre, le prochain film du réalisateur de There Will Be Blood qui sort le 24 septembre au cinéma. « Pourquoi est-ce que ça nous a pris autant de temps ? », s'est demandé Paul Thomas Anderson. « Ma motivation pour faire ce film était assez simple : cela fait environ 20 ans que je veux travailler avec toi », a simplement répondu l'acteur oscarisé. Comme vous pouvez le voir dans la bande-annonce ci-dessous, Leonardo DiCaprio est accompagné à l'écran par Sean Penn (Mystic River, Harvey Milk), Benecio del Toro (The Phoenician Scheme), Alana Haim (Licorice Pizza) ou Teyana Taylor. Sa fille est interprétée par Chase Infiniti que l'on a pu découvrir dans la série d'Apple TV+ Présumé innocent. Dans ce long métrage, Bob Ferguson, un ancien révolutionnaire raté, tente d'effacer son passé pour disparaître et élever sa fille normalement. Mais quand son ennemi refait surface des années plus tard et kidnappe sa fille, un groupe d'anciens révolutionnaires se réunit pour la sauver. Le cinéaste l'a décrit comme « quelqu'un d'extrême gauche qui commence par vouloir changer le monde mais qui devient de plus en plus grincheux et renfermé à mesure qu'il vieillit ». Pour Leonardo DiCaprio, la boucle est enfin bouclée.