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Mercato : De retour au pays, l'ancien Marseillais Alvaro Gonzalez rejoint Tenerife

Mercato : De retour au pays, l'ancien Marseillais Alvaro Gonzalez rejoint Tenerife

L'Équipe2 days ago
Cinq ans après son départ définitif de Villarreal, Alvaro Gonzalez est de retour en Espagne. Ce samedi, le défenseur central s'est engagé pour deux ans avec le club de Tenerife, qui évolue en D3 espagnole.
Alvaro Gonzalez retrouve l'Europe. Libre de tout contrat, l'Espagnol a signé à Tenerife, en Troisième Division espagnole, cinq ans après son départ définitif de Villarreal. À l'issue de son passage de trois saisons à l'Olympique de Marseille, le défenseur central a voyagé entre l'Arabie saoudite et la Malaisie. Aujourd'hui âgé de 35 ans, il a porté les couleurs d'Al-Nassr, Al-Qadisiyah et de Johor Darul Ta'zim.
L'arrière s'est engagé pour deux saisons. Après le Racing Santander, le Real Saragosse, l'Espanyol Barcelone et Villarreal, il s'apprête à découvrir un cinquième club ibérique. L'an passé, Tenerife s'est classé 20e de la D2, ce qui a entraîné sa relégation au troisième échelon national.
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L'Équipe

time28 minutes ago

  • L'Équipe

« On n'est pas des perdants » : Luis Enrique après la défaite du PSG en finale de la Coupe du monde des clubs

Luis Enrique, l'entraîneur du PSG battu dimanche par Chelsea en finale de la Coupe du monde des clubs (0-3), défend son bilan malgré tout. Il assure avoir voulu « éviter que cela ne dégénère » lors des tensions après le coup de sifflet final. « Comment expliquez-vous cette défaite ? Est-ce le match de trop dans une saison très longue ?C'est comme ça le foot. Je pense qu'on doit revoir le match pour analyser parfaitement ce qui s'est passé. Chelsea a très bien commencé le match avec une pression très haute. Ils nous ont mis en difficulté. On a eu des occasions pour marquer mais on ne l'a pas fait. Sur l'ensemble du match ils ont mérité leur victoire. Vendredi, je vous disais que Chelsea a une bonne équipe, ils l'ont montré. On vous a vu très énervé à la fin et en venir aux mains avec des joueurs de Chelsea. Pouvez-vous nous expliquer votre réaction ?À la fin du match, il y a eu une situation complètement évitable pour tout le monde. J'ai essayé de séparer les joueurs pour éviter que la tension ne monte. Différentes personnes ont participé à ça. On devait éviter les problèmes. J'ai voulu éviter que cela ne dégénère. Votre équipe est jeune. Est-elle tombée dans leurs provocations ?Sur le match, je pense que ça a été difficile pour nous dans les premières minutes. Ils ont mis beaucoup d'énergie, mais ça dépend comment tu es capable de profiter des situations de jeu. « C'est un format intéressant. Ca peut devenir un tournoi de très haut niveau. Ca m'a plu » Vous sortez d'une saison à quatre trophées. Malgré cette défaite, êtes-vous optimiste pour la saison prochaine ?Qu'en pensez-vous ? C'est joli d'être l'entraîneur du PSG, parce qu'on sait qui sont les personnes qui aident l'équipe. Je pense que l'important est de profiter des vacances, ce sont des vacances courtes, très courtes. Savoir savourer est important. Malgré cet échec final, tous les gens qui se félicitent de votre défaite, vous les attendez au tournant ?On n'est pas des perdants, on n'a pas échoué. Il y a eu un champion. On a chuté mais le perdant, c'est celui qui ne se lève pas. En tant qu'entraîneur, quel est votre avis sur cette Coupe du monde des clubs ?Il faut toujours essayer de savoir qui est la meilleure équipe du monde. C'est un format intéressant. Ça peut devenir un tournoi de très haut niveau. Ça m'a plu. On aurait aimé mieux jouer la finale, c'est comme ça. »

Un footballeur a-t-il le droit de se plaindre ? Jules Koundé a déclenché une tempête
Un footballeur a-t-il le droit de se plaindre ? Jules Koundé a déclenché une tempête

Le HuffPost France

time30 minutes ago

  • Le HuffPost France

Un footballeur a-t-il le droit de se plaindre ? Jules Koundé a déclenché une tempête

FOOTBALL - Alors qu'il profitait des derniers moments de ses vacances passées en Jamaïque, Jules Koundé a décidé de lâcher deux tweets, qui ont fait l'effet d'une bombe. « C'est tellement bien d'être en vacances », suivi quelques minutes plus tard d'une publication claire : « Il y a des équipes leur saison elle a commencé mi-juillet 2024… On est le 4 juillet 2025 et ils jouent encore… ». Deux messages qui ont suscité de nombreuses réactions et parmi elles, cette idée qu'il serait indécent de se plaindre quand on est un footballeur professionnel, que l'on vit de sa passion et que l'on gagne des millions d'euros pour taper dans un ballon. On peut bien sûr regretter que ces prises de parole régulières contre les cadences infernales (pour une minorité de joueurs évoluant dans les meilleures équipes, en tout cas dans les cinq grands championnats) ne soient pas accompagnées d'actes concrets ou de mouvements collectifs de joueurs qui finissent toujours par se plier à la volonté de leurs employeurs, désireux de remplir leurs caisses et de prendre les millions, quitte à enchaîner les compétitions. Pour autant, faut-il exiger des joueurs qu'ils se taisent ? Doivent-ils seulement être bons à se présenter sur un terrain, jouer au foot et la fermer dans la vie de tous les jours ? À une époque où la communication ultra-contrôlée est à la mode, partager son avis devrait être encouragé. « Il est tout à fait légitime de critiquer cette compétition, il est dans son droit de le faire, pose Johan Djourou, l'ancien défenseur devenu consultant. Et même s'il ne participe pas directement à la compétition, il est l'un des principaux concernés par ce calendrier surchargé. Pourquoi il n'aurait pas le droit de se plaindre ? » 75 matchs pour Hakimi depuis les JO En se qualifiant pour la finale du Mondial des clubs avec le Paris-Saint-Germain, Achraf Hakimi a disputé pas moins de 75 matchs depuis juillet 2024, entre le PSG, le Maroc et la sélection olympique marocaine. « Il faut être honnête, quand on est joueur, on préfère jouer tous les trois jours plutôt que de s'entraîner cinq fois dans la semaine et jouer un match par semaine », estime Djourou. Mais pour l'ancien latéral d'Arsenal, cette Coupe du monde des clubs est de trop : « Quand tu es joueur, tu restes un compétiteur donc forcément, tu vas disputer cette compétition à 100 %, c'est normal. Mais mentalement, ne pas avoir de coupure et enchaîner les matchs, ça peut devenir très usant. Les gens ne se rendent pas compte de l'exigence que ça demande d'être toujours au top. Au-delà de l'aspect physique, il ne faut pas oublier qu'un joueur doit bien aller mentalement pour être performant. » « Être footballeur professionnel, ça ne donne pas des droits supplémentaires, mais ça n'en enlève pas non plus. » Gilles Vervisch, philosophe auteur du livre De la tête aux pieds – philosophie du football D'où l'importance des vacances pour recharger les batteries, couper pendant quelques semaines, passer du temps avec les siens, tout ce qui est essentiel à un être humain pour aller mieux. Ce calendrier surchargé, l'international français n'est pas le seul à s'en plaindre, de Toni Kroos, à Pep Guardiola, en passant par Jürgen Klopp, Raphaël Varane, ou encore Kevin De Bruyne. En septembre dernier, avant un match de Ligue des champions contre l'AS Monaco, Jules Koundé soulignait déjà l'inaction des instances à propos des cadences : « Ça fait trois ou quatre ans qu'on le dit et personne ne nous écoute. Il va arriver un moment où on va faire grève. » Pour la grève, on attend toujours. Pour beaucoup, les arguments avancés par le latéral blaugrana sur le calendrier surchargé ne sont pas valables. Néanmoins, et jusqu'à preuve du contraire, les footballeurs restent des travailleurs (certes pas tout à fait comme les autres) et ont donc le droit de demander des meilleures conditions de travail. « Être footballeur professionnel, ça ne donne pas des droits supplémentaires, mais ça n'en enlève pas non plus », introduit le philosophe Gilles Vervisch, auteur du livre De la tête aux pieds – philosophie du football.

«Ce n'est pas la meilleure manière d'attirer l'attention» : le PSG perd ses nerfs et rate sa sortie
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Le Figaro

time30 minutes ago

  • Le Figaro

«Ce n'est pas la meilleure manière d'attirer l'attention» : le PSG perd ses nerfs et rate sa sortie

Réservé aux abonnés HUMEUR – Les Parisiens ont affiché une étonnante nervosité dimanche soir, en finale du Mondial des clubs, à commencer par Luis Enrique, l'entraîneur du Paris-SG. «C'est vraiment évitable», regrette Luis Enrique. Ce n'est pas du contenu de la finale de la Coupe du monde des clubs, remportée 3-0 par Chelsea, auquel le coach parisien fait référence. Plutôt de l'échauffourée qui s'est déroulée à la fin de la rencontre. Échauffourée lors de laquelle le technicien espagnol a joué le premier rôle. Et ce n'était pas le seul écart des Rouge et Bleu dimanche… Tout au long de la saison, on a loué l'état d'esprit irréprochable des Parisiens, leur attitude sur et en dehors du terrain. De petits anges qui donnaient envie de les aimer, de les soutenir. On ne les a pas reconnus. «Chelsea a très bien joué et a mérité le trophée», a convenu le coach parisien. Et d'ajouter : «C'est comme ça le foot, tu ne peux pas tout expliquer, on doit revoir le match pour analyser parfaitement ce qu'il s'est passé». Après avoir revu les images, l'ancien entraîneur du Barça aura sans doute deux ou trois choses à redire en termes de gestion des émotions. Et ça vaut pour lui aussi…

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