
Non-lieu attendu dans la gestion du Covid-19, un cortège de mariage dégénère au sud de Lyon, réforme du statut de l'élu local... Les 3 infos à retenir à la mi-journée
LE POINT DE MIDI - Retrouvez l'essentiel de l'actualité parue ce lundi 7 juillet au matin sur notre site.
Gestion du Covid-19 : non-lieu attendu ce lundi pour trois ex-membres du gouvernement
Le maire du Havre, président du parti Horizons et ancien Premier ministre Édouard Philippe à l'hôtel Matignon, bureau du Premier ministre à Paris, le 22 mai 2025.
Stéphane DE SAKUTIN / AFP
Le 21 mai, un non-lieu avait été requis en faveur de l'ancien Premier ministre Édouard Philippe, l'ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn et son successeur Olivier Véran. Il doit être prononcé ce lundi dans l'enquête menée à la Cour de justice de la République (CJR) sur la gestion du Covid-19.
Un cortège de mariage dégénère au sud de Lyon : 26 contraventions et 4 véhicules saisis
22 verbalisations ont été effectuées par la police municipale. 4 par les gendarmes.
ADOBE STOCK
Un cortège de mariage a commis de nombreuses infractions vendredi 4 juillet sur la commune de Saint-Genis-Laval, au sud de Lyon. Trois équipages de gendarmerie, dont deux du Psig, ont été mobilisés à Saint-Genis-Laval pour accompagner la police municipale.
Augmentation des indemnités, création d'un «congé électif»... La réforme du statut de l'élu local arrive à l'Assemblée
La proposition de loi, adoptée par le Sénat en mars 2024, sera débattue par les députés à partir de ce lundi.
Tom NICHOLSON / REUTERS
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Les députés s'emparent lundi d'une proposition de loi visant à encourager l'engagement des élus locaux. Dès l'entame des discussions, ils débattront sur l'augmentation des indemnités des maires et de leurs adjoints, que le gouvernement souhaite contenir pour des raisons budgétaires.
Le chiffre du jour : 865.881
C'est le nombre de collégiens inscrits au brevet des collèges cette année et qui attendent désormais leurs résultats. Ces derniers doivent être annoncés entre le lundi 7 et le jeudi 10 juillet 2025, selon l'académie d'affectation des collégiens.
Notre enquête
Fiscalité : au Portugal, la fin progressive d'un eldorado pour les retraités français
Longtemps privilégié par les retraités pour son cadre de vie et son régime de faveur, le Portugal a dû revoir sa politique fiscale face à la crise des prix immobiliers.
NOTRE ENQUÊTE
La photo à retenir
Des pompiers luttent contre un incendie proche de la ville côtière de Lerapetra, dans le sud-est de l'île grecque de Crète.
Costas METAXAKIS / AFP
La vidéo du jour
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Législative partielle à Paris : « Je serai quoi qu'il arrive candidate »… Dati, prête à entrer en dissidence
Ira, ira pas ? Ces dernières heures, l'hypothèse d'un retrait de Rachida Dati de la bataille pour briguer la 2e circonscription de Paris circulait dans les états-majors de LR. Un retrait stratégique, pour laisser la place à Michel Barnier , lui aussi sur les rangs, et la garantie pour elle de pouvoir défendre sa propre candidature aux municipales de 2026 dans la capitale ? Il n'en est rien… Alors que la commission nationale d'investiture du parti (CNI) se réunit ce lundi 28 juillet, à partir de 17 heures, pour trancher sur cet épineux dossier, la ministre de la Culture et maire du VIIe arrondissement confie au Parisien - Aujourd'hui en France que, coûte que coûte, elle défendra ses chances dans la législative partielle programmée, au plus tard, début octobre, après l'invalidation des comptes de campagne du député sortant, Jean Lassuq (Renaissance).


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François Bayrou réduit en « commentateur » après sa réaction sur l'accord entre l'UE et les États-Unis
POLITIQUE - Une réaction qui arrive à mettre d'accord la France insoumise, le Parti socialiste, le Rassemblement national et bien d'autres. Ce lundi 28 juillet, après l'annonce de l'accord douanier conclu entre Ursula von der Leyen et Donald Trump, François Bayrou a (comme d'autres avant lui) donné sa lecture de ce projet, avantageux pour les États-Unis. Et autant sur la forme que sur le fond, le Premier ministre s'est attiré les foudres des oppositions. Car outre une vilaine faute d'orthographe sur le nom de la présidente de la Commission européenne (ce qui n'est jamais du meilleur effet lorsqu'il s'agit de relations internationales), le maire de Pau a donné l'impression de réagir comme le ferait un parlementaire de l'opposition. « C'est un jour sombre que celui où une alliance de peuples libres, rassemblés pour affirmer leurs valeurs et défendre leurs intérêts, se résout à la soumission », a-t-il dénoncé, alors que ses ministres impliqués dans le dossier ont salué la « stabilité temporaire » de cet accord, lequel reste pour autant « déséquilibré » à leurs yeux. Une analyse formulée comme s'il demeurait loin des affaires du pays qui a littéralement ulcéré les oppositions. « Monsieur le Premier ministre, vous n'êtes pas un commentateur. Votre propre ministre des affaires européennes salue les mérites de cet accord ! », a dénoncé le député socialiste Philippe Brun. « Il y a des tweets qui résonnent comme des aveux d'impuissance. Un Premier ministre de la France ne se contente pas de pleurnicher sur X. Il prend des positions, défend nos intérêts et organise la confrontation avec Ursula von der Leyen au sein de l'Union européenne », a renchéri le premier secrétaire du PS, Olivier Faure. « Êtes-vous Premier ministre ? » « Ne pas savoir orthographier correctement le nom de la Présidente de la Commission européenne que vous soutenez pourtant, ni défendre nos intérêts. Êtes-vous Premier ministre de la France ? », interroge directement l'eurodéputée socialiste Chloé Ridel. Même indignation exprimée par la France insoumise. « Le menteur François Bayrou est aussi un commentateur », a cinglé le député LFI Paul Vannier. « La France doit refuser cette capitulation plutôt que de se comporter comme une bande de commentateurs sans influence », dénonce le coordinateur de la France insoumise, Manuel Bompard. « Il tweete comme s'il n'était pas le chef du gouvernement », tacle pour sa part le député LFI Raphaël Arnault. Ce reproche en impuissance est également formulé par le Rassemblement national. « Quel éclair de lucidité, il faut absolument partager ces analyses avec le Premier ministre de la France pour qu'il agisse », ironise le député RN Laurent Jacobelli. Plus largement, la question posée par les oppositions est celle de la capacité de Paris à s'opposer à cet accord jugé déséquilibré. Déjà, parce que ce projet d'accord doit être ratifié au niveau national, et ensuite parce qu'il semble exister des brèches qui pourraient permettre à la France d'attaquer le projet. C'est du moins ce que note le politologue, et expert des questions climatiques, François Gemmenne, qui souligne sur le réseau social X que l'accord « fait sortir l'Europe de ses objectifs climatiques » en comprenant l'import massif d'énergies fossiles, et que celui-ci s'avère « donc illicite selon la Cour Internationale de Justice ». Et, qu'à ce titre, un exécutif réellement hostile à la copie rendue par Donald Trump et Ursula von der Leyen, aurait un coup à jouer, en attaquant l'accord. « C'est ici qu'on va voir si François Bayrou est sérieux », prévient le chercheur. Charge maintenant au maire de Pau de sortir de son rôle de commentateur.


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Le directeur du Crous de Bordeaux suspendu pour « comportements inappropriés » envers plusieurs femmes
Le directeur général du Crous de Bordeaux suspendu à titre conservatoire. Le ministère de l'Enseignement supérieur l'a annoncé ce lundi, en raison de « comportements inappropriés » envers des membres féminins du personnel. Une enquête administrative visant le directeur général du Crous (Centre régional des œuvres universitaires et scolaires) de Bordeaux-Aquitaine avait été lancée en février après le signalement à son encontre de faits de harcèlement et d'agressions sexuelles. Celui-ci avait affirmé contester « fermement » ces accusations, dans un mail adressé à l'AFP en mai. Selon une source proche du dossier, quatre collaboratrices à Bordeaux avaient signalé quatre agressions sexuelles et une « relation forcée qui a abouti sur des rapports sexuels à plusieurs reprises ». Trois autres victimes auraient été identifiées à Grenoble, où le directeur en question était en poste précédemment. L'enquête, confiée à l'Inspection générale de l'éducation, du sport et de la recherche (IGÉSR) a « démontré que la plupart des mentions relatives à de potentielles violences sexistes et sexuelles évoquées dans le courriel anonyme sont en grande partie inexactes », indique le ministère chargé de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. Les « affirmations relatives à sept signalements qui auraient été effectués auprès du Cnous (Centre national des œuvres universitaires et scolaires, ndlr) sont fausses et les accusations à l'égard de sa présidente infondées », poursuit le communiqué. Cependant, l'enquête a permis d'identifier des « comportements inappropriés » de la part du directeur général « envers plusieurs personnels féminins du Crous de Bordeaux », conduisant à sa « suspension immédiate à titre conservatoire » et au « lancement d'une procédure disciplinaire à son encontre ». L'enquête de l'IGÉSR « ayant établi des faits susceptibles de revêtir une qualification pénale », le rapport a été transmis au procureur de la République de Bordeaux conformément à l'article 40 du code de procédure pénale, précise le ministère. Dominique Froment, directrice générale du Crous de Toulouse, est nommée directrice générale par intérim de celui de Bordeaux.