« On l'a enregistré dans une chambre » : « Soleil Bleu », le tube de l'été qu'on n'a pas vu venir
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Le Parisien
2 minutes ago
- Le Parisien
« Bourrez-vous la gueule à ma santé, je ne veux pas autre chose » : l'ultime élan de liberté de Nicole Croisille
« Bourrez-vous la gueule à ma santé, je ne veux pas autre chose » : l'ultime élan de liberté de Nicole Croisille Série Épisode 4 À la fois danseuse, chanteuse et comédienne de talent, l'artiste d'une élégance folle, disparue le 4 juin à l'âge de 88 ans, a vécu mille vies. Quatrième volet : ses dernières années, à l'image de sa vie, passées dans un grand esprit d'indépendance à faire valser les tabous. Par Emeline Collet Le 7 août 2025 à 11h00, modifié le 7 août 2025 à 11h00
Le Figaro
2 minutes ago
- Le Figaro
«Je hurlais de douleur» : au plus mal, Christina Applegate donne de ses nouvelles depuis son lit d'hôpital
La comédienne, connue pour ses rôles dans Dead To Me, Mariés, deux enfants, Friends et Bad Moms, a été hospitalisée ce samedi 2 août. Elle est atteinte d'une sclérose en plaques et souffre d'une infection rénale. «Comment est-ce que je vais ? Vous savez qu'on parle beaucoup de mes visites à mon pied-à-terre (l'hôpital, NDLR)... Et j'y suis ! Pour info, je ne fais pas un podcast depuis l'hôpital parce que je trouve que c'est une super idée, on devait juste tourner et les médecins ne veulent pas me laisser partir», entame Christina Applegate, au micro de son podcast «MeSsy» créé avec Jamie Lynn Sigler (Les Soprano). «En ce moment, j'attends de recevoir des médicaments pour me sentir mieux.» Comme elle l'avait annoncé en 2021, l'actrice, connue pour ses rôles dans Mariés, deux enfants, Friends, Bad Moms et Dead To Me, est atteinte d'une sclérose en plaques, maladie auto-immune touchant le système nerveux central. Hospitalisée depuis samedi dernier, la comédienne donne de ses nouvelles ce mercredi 6 août . «Au retour d'un voyage en Europe pour rendre visite à de la famille, je me sentais mal pendant le vol retour vers les États-Unis. J'avais peur d'arriver au point où un ami devrait me conduire à l'hôpital à trois heures du matin, confie-t-elle. Et c'est ce qui est arrivé.» À lire aussi Christina Applegate a tourné la dernière saison de Dead to me malgré sa sclérose en plaques Publicité Elle poursuit : «Mes amis m'ont déposée, et j'ai finalement décidé de rester jusqu'à ce que les médecins me disent ce qui ne va pas, cette fois-ci. Je vais être admise, on ne va pas juste me donner des médicaments et dire que c'est réglé. Je veux des réponses. Faites tous les tests possibles, même ceux auxquels vous ne pensez jamais.» « Je ne veux pas que ça vous fasse peur » Christina Applegate à propos du potentiel diagnostic qui l'attend Christina Applegate livre ensuite qu'elle a été envoyée en urgence pour un examen via scanner après avoir été en proie à «une douleur atroce» au flanc droit. «Je hurlais de douleur, ils m'ont envoyé le faire à deux heures du matin, et j'ai une infection rénale, relate-t-elle. Je reçois donc des antibiotiques via intraveineuse, on en est là.» Si elle partage habituellement son combat contre la maladie, la femme de 53 ans préfère garder les spéculations de ses médecins pour elle, cette fois-ci : «Ils pensent que ça pourrait être quelque chose d'autre, mais je n'ai pas envie de le dire, parce que je ne veux pas que ça vous fasse peur».
Le Figaro
32 minutes ago
- Le Figaro
Afterworks, apéros, influenceurs vedettes… La pétanque fait carton plein chez les jeunes
Réservé aux abonnés ENQUÊTE - Accessible à tous, le jeu est redevenu tendance et s'invite dans les afterworks, les bars et les mariages. Des lignes de vêtement lui sont consacrées et les influenceurs spécialisés sont suivis par des centaines de milliers de fans. Tous les regards sont tournés vers le terrain. Au centre de la place Dauphine, dans le 1er arrondissement de Paris, les boules s'entrechoquent sous les encouragements. Au milieu des arbres, des dizaines de jeunes gens, principalement étudiants ou trentenaires, s'affrontent à la pétanque. Ici, l'un d'entre eux, canette à la main, mesure en marchant la distance entre deux boules. Là, un autre s'inquiète : « Tu l'as mis où, le cochonnet ? » Plus loin, depuis le bar qui jouxte le terrain, un couple apporte une assiette de frites à des amis engagés dans un point décisif. L'ambiance est bon enfant, festive, estivale. Avec ses amis, Lucas, un étudiant de 23 ans en droit, fréquente souvent cette place iconique, devenue un spot incontournable du jeu de boules pour la jeunesse parisienne. « Ici, c'est notre 'QG'. On a tous des horaires décalés avec nos cours, donc c'est pratique pour se retrouver. On arrive et on repart quand on veut, on boit un verre, ça permet de décompresser et de…
